Annonce

Réduire
Aucune annonce.

IMAGINEZ: Homme battu par sa/une femme

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #61
    Chaarar, elles prévenaient de l'arrivée de l'ennemi, pour que les combattants se sauvent
    Je parle de la force physique, de la présence, qui procure la sécurité.

    Je ne dis pas qu'une femme sans homme n'est pas en sécurité, les femmes sont courageuses et sont trés malines lol, mais le propos de Lynas parlais du coté protecteur de l'homme en comparant cela avec l'effet du père, du mari, du frère et de ce point de vu la je suis d'accort avec elle.
    Je n'ai que mes mots pour pleurer...

    Commentaire


    • #62
      machisme femenin ^^
      hmmm ... faites des bébés toutes seules alors
      ... Encore un autre qui dit n'importe quoi
      « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

      Commentaire


      • #63
        si elle doit battre son homme, qu'elle le fasse légèrement avec un bâtonnet de swak...
        ¬((P(A)1)¬A)

        Commentaire


        • #64
          GLP... wakila el gaz atla3lak la dmagh.

          Commentaire


          • #65
            Sidi

            ... Ou de cannelle
            « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

            Commentaire


            • #66
              Je ne dis pas qu'une femme sans homme n'est pas en sécurité, les femmes sont courageuses et sont trés malines lol, mais le propos de Lynas parlais du coté protecteur de l'homme en comparant cela avec l'effet du père, du mari, du frère et de ce point de vu la je suis d'accort avec elle.
              J'ai bien compris.
              C'est sûr que si elle passe de "la protection" de l'un à l'autre comme une patate chaude, une femme n'a jamais de l'occasion de se rendre compte qu'elle peut se sentir en sécurité seule ou pas.

              GLP, ce n'est pas de cela qu'il s'agit.

              Commentaire


              • #67
                ... Ou de cannelle
                s'il fait la cuisine aussi...
                ¬((P(A)1)¬A)

                Commentaire


                • #68
                  J'en ai connu une qui battait un de mes cousins !
                  Ya latif menha, char ou bla !

                  Commentaire


                  • #69
                    un sondage viiiiiiiiiiite

                    Commentaire


                    • #70
                      Ya latif menha, char ou bla !
                      Je vois le genre une vraie furie !
                      Je n'ai que mes mots pour pleurer...

                      Commentaire


                      • #71
                        Pour moi l'homme est mon protecteur
                        T'es un être vulnérable et faible et incapable de se défendre ? Tu ne peux pas vivre sans l'autorité du mâle ? Tu aimes bien jouer aux princesses en détresse ?

                        Témoignage intéressant :

                        Je viens de rencontrer, en coaching, un jeune homme qui, lui, a gagné de nombreux points dans son couple, de 17 à 19 ans… des points de suture ! Celle qu’il trouvait « trop belle » et qu’il croyait ne pas « mériter » lui a, entre autres, ouvert la tête avec de la vaisselle puis le bras avec un couteau. Résultat : 13 points de suture en tout et 9 cicatrices sur tout le corps, sans compter les yeux au beurre noir (la douce le frappait à coups de poings à la moindre occasion), elle l’a trompé avec son meilleur ami, fait embarquer 6 fois au poste de police, il s’est retrouvé une fois en maison de transition et deux fois en prison. Un ange… de l’enfer, cette petite ! Ce jeune adulte était tout simplement un homme battu, rattaché à son bourreau par la dépendance affective, incapable de lui résister et, surtout, terrifié à l’idée de riposter lorsqu’elle l’agressait : ça n’est pas correct de frapper une fille et il avait peur qu’elle le fasse embarquer par la police. C’est pourtant ce qu’elle faisait, dès qu’il ne se soumettait pas. Par peur de la perdre (encore et toujours la peur !), il s’est refusé à avouer que c’est elle qui l’avait blessé avec un couteau ou à la tête, bien que la police, pas dupe, avait compris toute l’histoire. Au poste, il était presque devenu un habitué (au bout de 6 fois !) et aucune charge n’a jamais été retenue contre lui, malgré les plaintes qu’elle portait, autant de coups d’épée dans l’eau, qui l’ont tout de même envoyé en prison.
                        N’allez pas croire que ce garçon soit un délinquant : bon élève, sportif (il pratiquait le biathlon), beau mec, avec une famille très présente, il avait une vie saine et équilibrée. Jusqu’au jour où ses yeux se sont posés sur celle « qui était trop belle ». Son manque de confiance en lui envers les filles l’a poussé à être en admiration devant celle qui lui ferait connaître un petit début de paradis, pour finir en enfer. Surveillez vos enfants et vous-même : entrer dans une relation où vous mettez l’autre sur un piédestal est le début des ennuis ! Personne n’est au-dessus de vous, surtout pas une conjointe, sinon vous serez prêt à tout pour garder celle que vous trouvez tellement belle ! Je l’ai fait avec Jim, beau garçon et 15 ans de moins que moi, je me sentais flattée et me demandais quel autre jeune homme beau et sportif voudrait de moi après lui. Je l’ai laissé me faire tout et n’importe quoi, par peur de le perdre. C’est moi que j’avais perdue !
                        Je t’aime, je te hais, c’est toute l’histoire de la dépendance affective. Je t’humilie pour te soumettre, sans moi tu n’es rien, personne ne voudra de toi, et surtout pas une jolie fille comme moi. Et si je te frappe, c’est parce que tu m’as énervée. Mais je t’aime, tu es l’homme de ma vie ! Et hop, un petit coup de sexe par-dessus tout ça, emballé, c’est pesé ! On repart pour un tour, dans le cercle vicieux de l’horreur. Bien sûr qu’il a essayé de la quitter, mais elle revenait le chercher suppliante, adorable, craquante et offerte. Comment résister ? Elle était « trop belle »… L’homme frappé ne peut pas se défendre, prisonnier de son éducation (sa mère lui a appris à respecter les femmes), terrifié de se retrouver au poste (la peur du policier) et au tribunal (l’engrenage de la justice injuste) et ligoté par la dépendance affective : il se laisse frapper, il se tait.
                        Bien sûr, une fois de plus, vous allez juger hâtivement : c’est un lâche ! Pas plus que celui qui a une compulsion à l’alcool, la drogue, le jeu : c’est une dépendance. Et cessez de me dire « il n’a qu’à s’en aller ! ». Si je vous emmène en haut du Grand Canyon et je vous place sur le bord du précipice. Je vous dis ensuite : « Je te frappe ou tu sautes ». Que faites-vous ? Vous endurez les coups. Parce que pour la personne en dépendance affective, quitter l’autre, c’est sauter dans le vide et crever. « Méfiez-vous des jugements trop hâtifs », comme disait Jean de La Fontaine ! Vous qui vous moquez de ces personnes en attachement névrotique, nous verrons bien ce que vous ferez, le jour où l’autre vous quitte… Peut-être que vous ramperez, prêt à vous avilir pour la garder. D’ailleurs, réfléchissez, c’est peut-être vous qui devriez la quitter. Il n’y a pas que la violence physique, la violence psychologique, frappe aussi !
                        Le manque de confiance et d’estime vous pousse à accepter l’inacceptable, par peur du vide affectif créée dans l’enfance et qui grandit chaque jour. Réveillez-vous, vous valez mieux que ça ! Vous ne méritez pas, personne ne mérite le malheur. C’est le résultat de mauvaises programmations, que vous pouvez déprogrammer. En revanche, le Bonheur, lui, se mérite car c’est un chemin qui se choisit. Et si les hommes qui frappent, les femmes peuvent au moins appeler la police. Certaines l’appellent d’ailleurs trop facilement, c’est un chantage, une menace pour tenir, soumettre celui qui nourrit leur névrose. Imaginez : la police au service des névrosées !

                        Commentaire


                        • #72
                          J'en ai connu une qui battait un de mes cousins !
                          Ya latif menha, char ou bla !

                          et bien en voila le specimen d'une qui ne voit pas en l'homme un protecteur. et elle le lui dit clairement.

                          Commentaire


                          • #73
                            et bien en voila le specimen d'une qui ne voit pas en l'homme un protecteur. et elle le lui dit clairement.
                            Et apparemment elle a des arguments frappant
                            Je n'ai que mes mots pour pleurer...

                            Commentaire


                            • #74
                              T'es un être vulnérable et faible et incapable de se défendre ? Tu ne peux pas vivre sans l'autorité du mâle ? Tu aimes bien jouer aux princesses en détresse ?

                              OUI

                              T'as un probleme avec ça?

                              Commentaire


                              • #75
                                Et apparemment elle a des arguments frappant
                                Pauvre homme il doit regretter de l'avoir rencontré.

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X