Un nouveau sujet pour explorer vos personnalités. Que voulez vous je me passionne de l’humain.
Vous êtes plutôt initiateur ou perfectionniste ?
A quel point vous préoccupez-vous de la finition des différents aspects d'une tâche?
Vous examinez principalement les grandes lignes de l'ensemble, vous faites alors partie du groupe des initiateurs. Mais si tout doit être fignolé dans les moindres détails, vous vous reconnaissez très probablement dans le perfectionniste.
La définition du dictionnaire : Qui recherche la perfection de manière excessive.
Le perfectionnisme n’est pas nécessairement aussi mauvais qu’on voudrait nous le faire croire ; c’est aussi ce qui nous pousse à l’excellence. Qui, aujourd’hui, peut se contenter d’être « aussi bon que les autres » ? Un sportif ne s’entraîne pas pour être « dans les premiers » ; un acteur ne s’efforce pas de retenir « l’essentiel de son texte » …
Mais là où certains s’efforcent de bien faire et, conscients de leurs capacités, voient ce qu’ils ont accompli, le perfectionniste ne verra que « ce qui manque », ce qu’il aurait pu atteindre, le petit détail qui « aurait fait que tout soit parfait ». Le manque de confiance en soi qui peut en résulter peut même l’amener à ne pas tenter … pour ne pas risquer d’échouer.
Il est difficile, pour le perfectionniste, de changer, car cela lui demande de faire ce qu'il essaie de ne pas faire : considérer qu'il n'est pas parfait. Pourtant, "pour être le meilleur, il suffit parfois que les autres soient moins bons." (Philippe Geluck)
Le perfectionniste est il inadapté à un monde médiocre ?
Est-ce un avantage ou un inconvénient ?
Vous êtes plutôt initiateur ou perfectionniste ?
A quel point vous préoccupez-vous de la finition des différents aspects d'une tâche?
Vous examinez principalement les grandes lignes de l'ensemble, vous faites alors partie du groupe des initiateurs. Mais si tout doit être fignolé dans les moindres détails, vous vous reconnaissez très probablement dans le perfectionniste.
La définition du dictionnaire : Qui recherche la perfection de manière excessive.
Le perfectionnisme n’est pas nécessairement aussi mauvais qu’on voudrait nous le faire croire ; c’est aussi ce qui nous pousse à l’excellence. Qui, aujourd’hui, peut se contenter d’être « aussi bon que les autres » ? Un sportif ne s’entraîne pas pour être « dans les premiers » ; un acteur ne s’efforce pas de retenir « l’essentiel de son texte » …
Mais là où certains s’efforcent de bien faire et, conscients de leurs capacités, voient ce qu’ils ont accompli, le perfectionniste ne verra que « ce qui manque », ce qu’il aurait pu atteindre, le petit détail qui « aurait fait que tout soit parfait ». Le manque de confiance en soi qui peut en résulter peut même l’amener à ne pas tenter … pour ne pas risquer d’échouer.
Il est difficile, pour le perfectionniste, de changer, car cela lui demande de faire ce qu'il essaie de ne pas faire : considérer qu'il n'est pas parfait. Pourtant, "pour être le meilleur, il suffit parfois que les autres soient moins bons." (Philippe Geluck)
Le perfectionniste est il inadapté à un monde médiocre ?
Est-ce un avantage ou un inconvénient ?
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