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Quelle devait-être l'attitude de notre diplomatie?

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  • #61
    Talk to my hand

    je ne vais pas exploiter mon génie sur un forumiste en herbe mais je te conseille de lire Machievel (le prince) comme premier pas dans le domaine, puis.......................................je te donnerai d'autres livres (50 pas trop) à lire afin que nous soyons sur la même longueur d'onde entre temps, ne touche pas au feu sacré, Prométhée se fâchera...

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    • #62
      Talk to my hand

      je ne vais pas exploiter mon génie sur un forumiste en herbe mais je te conseille de lire Machievel (le prince) comme premier pas dans le domaine, puis.......................................je te donnerai d'autres livres (50 pas trop) à lire afin que nous soyons sur la même longueur d'onde entre temps, ne touche pas au feu sacré, Prométhée se fâchera...
      c'etait pas contre toi, au contraire j'approuve ta réponse citée plus haut, sauf que certains pensent mieux faire et ne tolèrent pas ce silence, et s'érigent en donneurs de leçons.....pour les livres je suis preneurs qd mm

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      • #63
        pardon aboumou, j'ai mal interprété l'anti-phrase....Thanks a lot
        Dernière modification par rossinhol, 21 novembre 2009, 21h45.

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        • #64
          Dernière modification par mob_dz, 22 novembre 2009, 00h25.
          Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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          • #65
            A lire

            réaction adressé à la presse nationale


            J’ai entendu des insanités

            Par Abdelaziz Rahabi (*)


            J e viens d’écouter le ministre égyptien de l‘Information, Anas Ahmed Nabil El Fakki, sur plusieurs chaînes publiques de télévision qualifier l’Algérie de «peuple de barbares qui manifeste ses valeurs par des actes de violence», puis de traiter nos supporters de repris de justice et d’appeler enfin à prendre des mesures appropriées contre notre pays.

            Je l’ai encore entendu répéter les mêmes insanités en sonnant le rappel d’une procession d’officiels, de journalistes, de réalisateurs, comédiens et autres chanteurs.

            Comment peut-on concevoir un instant qu’un imbécile, fut-il membre du gouvernement d’un pays ami, emprunte son vocabulaire à l’anthropologie coloniale pour qualifier notre valeureux peuple ? Il se prévaut, dit-il, des instructions de son chef d’Etat qui avait pourtant donné, le 13 novembre, des garanties d’Etat qu’il n’a pas respectées et que son homologue algérien n’aurait – par expérience – jamais dû accepter. Comment a-t-on pu se contenter de telles assurances et laisser notre équipe nationale évoluer dans de telles conditions ?

            Pourquoi la forte mobilisation sociale et celle des médias non-gouvernementaux contraste-t-elle avec celle des officiels, des institutions et des forces politiques ?

            Le gouvernement d’Egypte est confronté à des questions délicates de succession à la tête de l’Etat, à l’impasse du processus de paix au Moyen-Orient, à la perte du leadership arabe en termes d’influence audiovisuelle avec l’émergence des offres des pays du Golfe (Al Jazeera,Art, Rotana…) et, comme tout le monde, à la crise économique. Il n’a pas trouvé mieux que sa mauvaise foi et notre naïveté pour mobiliser son peuple et ses appareils de propagande autour des enjeux internes et régionaux bien réels en s’offrant un ennemi virtuel et de circonstance, l’Algérie. Il est parfois des effets inattendus dans l’histoire des nations.

            Cette fois-ci, les Algériens se sont réapproprié le drapeau, symbole de la souveraineté, jusque-là monopole des édifices publics et des cérémonies officielles. Ils ont réoccupé la rue interdite et l’ont restituée à sa vocation d’espace d’expression sociale. Ils ne relâcheront plus ni l’emblème ni l’espace et c’est là peut-être le message le plus fort de ces manifestations car loin d’être spontanées, elles sont l’aboutissement d’un laborieux processus sociopolitique porté par un désir profond de liberté et une quête permanente de justice.

            A. B.
            (*) Ancien ministre de la Culture
            et de la Communication

            Dernière modification par mob_dz, 21 novembre 2009, 23h40.
            Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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            • #66
              A lire

              A lire toujours
              Maamar Farrah in Soir d'Algérie


              Rouges, du sang
              des martyrs !


              C’est en fouillant dans les poubelles
              d’Internet et en diffusant en boucle ces
              petites vidéos filmées à l’aide de
              téléphones portables, que les médias
              égyptiens font feu de tout bois contre
              notre pays. Où est
              le professionnalisme de ces
              «professeurs» ?

              Nos lecteurs leur répondent de la
              meilleure manière qui soit, en répétant à
              l’unisson : «Quand la caravane passe…»
              Mais là où ça dérape sérieusement, c’est
              quand le fils aîné du Président Moubarak
              insulte publiquement notre pays et ses
              symboles. Là, ça dépasse les bornes et il
              faut une réaction ferme et vigoureuse de
              notre part !

              Que la fibre patriotique, qui a poussé nos
              dirigeants à envoyer 10 000 Algériens au
              Soudan pour pousser les nôtres dans le
              bon sens, ne s’endorme pas sur le lit
              moelleux de la diplomatie. Réveillée pour
              de bon, elle peut unir ce peuple autour
              d’objectifs patriotiques… Aujourd’hui,
              elle a besoin de s’exprimer publiquement
              pour dire : «Halte, là ! il y a des limites
              rouges — du sang des martyrs — à ne
              pas dépasser !»

              [email protected]

              «Le pire de certaines haines, c'est
              qu'elles sont si viles et rampantes qu'il
              faut se baisser pour les combattre.»
              (Marie d'Agoult)

              Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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