Quand la France arabisait la région Kabylie

[zwina]

Myra

La realité est tout autre:
Alger est conquis dés 1832
La Kabylie sous la responsabilité du Bachagha Mohamed El Mokrani n'a pas resisté le bachagha a tout simplement accepter la domination coloniale dés 1838.
El Mokrani (fils) se revolte dés 1869 et meurs sous les Balles ennemis en 1870 a Palestro.

La Kabylie n'a jamais été sous la responsabilité d'El Mokrani. Il était un chef de tribu égal aux autres et en 1869 c'est un rassemblement de chefs de tribus qui a mené la révolte en 1869.

Quand a Fatma N'Soumer Fille d'un M'Rabet et qui a appris le Coran rien qu'en écoutant derrière le mur donnant sur la Madrassa dirigé par son père et un de ces frères .
Vers ces 23 ans elle a pris la direction de la resistance face aux e"nvahisseurs et malgre son heune age elle arrivait à harenguer la foule et l'entrainer dans le combat
Ceci se passa en 1854........................
Elle fut banni de sa region et elle trouve refuge dans une tribu aux environs de Tablat elle est morte de maladie à 32 ans ALLAH YAR HAMHA.

Fadma N' Soummer n'a jamais été bannie de la région mais arrêtée par les français et mise en résidence surveillée où elle mourra. Elle a pris la direction de la résistance avec à ses côté Cheick Boubaghla qui avait trouvé refuge en Kabylie et ensemble ils ont sollicité tous les chefs de tribu de la région. Hommes et femmes partirent au combat avec eux.

[myra21]

Famille El-Mokrani:
Est une famille Kabyle installé dés le 15em siècle ,s'etant constutuer une sorte de principauté s'étendant de Oued Sahel jusqu'au Hodna.
Quand a Fatma N'Soumer oui elle est expulser de Aïn El Hammam et trouva refuge chez une tribu aux environs de Tablat , et c'est là quelle est morte aux environs de 1863 ;

[zwina]

Myra

Famille El-Mokrani:
Est une famille Kabyle installé dés le 15em siècle ,s'etant constutuer une sorte de principauté s'étendant de Oued Sahel jusqu'au Hodna.

Comment était constituée cette principauté ?

Quand a Fatma N'Soumer oui elle est expulser de Aïn El Hammam et trouva refuge chez une tribu aux environs de Tablat , et c'est là quelle est morte aux environs de 1863 ;

Expulsée par qui ?

[myra21]

Et quand a F-N'Soumer :elle fut expulser par tes nouveaux comlpatriotes

[absent]

pour remettre un peut d'ordre .....
et redonner ces lettres de noblesse à une grande Femme ...


Fatma N'Soumer .....

L'adolescence

Née en 1830 en Haute Kabylie, région nord-est de l'Algérie, dans un village du nom de Ouerdja, proche de Ain El Hammam. Fille du cheikh Ali Ben Aissi et de Lalla Khlidja, son père est le chef d'une école coranique liée à la zaouïa Rahmania de sidi Mohamed ibn Abderahmane Abu Qabrein. Fathma mémorise le Coran très jeune en écoutant son père psalmodier les versets. Elle est de souche maraboutique, d'une grande beauté, d'après la tradition orale et les icônes qui lui sont consacrées. Comme il est de coutume dans ces régions et à cette époque, on veut la marier. Malgré la multitude de prétendants, elle refuse. Ses parents déclarent qu'elle est possédée et l'enferment dans un réduit. Elle en sort transformée : Dieu lui a révélé sa foi. Sa famille insiste pour la marier refusant de voir que leur fille est déjà ailleurs. Elle est mariée de force à son cousin, refuse de consommer le mariage et se retrouve rapidement répudiée. Effet fatal, elle est mise en Quarantaine ainsi que sa famille. A cette période de sa vie. Fathma est prise pour folle. Elle passe des journées à marcher, elle arpente entre le lever et le coucher du soleil les montagnes de son village. Elle demande à quitter son village pour rejoindre son frère, cheikh du village de Soumer. Sous sa protection elle se met à apprendre le Coran et l'astrologie. Après la mort de son père, elle dirige avec son frère l'école coranique. Elle enseigne le Coran aux enfants et s'occupe des pauvres.
La combattante

Fathma, alors à la fin de l'adolescence, acquiert une bonne réputation, surtout elle développe une grande capacité à la prédiction et au règlement des litiges. C'est ainsi qu'elle confie à son frère ses rêves tourmentés. Elle lui dit : « Toutes les nuits je vois des armées venir nous envahir, nous devons nous préparer. » Son frère entend ses prédications et lance un appel à la mobilisation dans les villages avoisinants. Les batailles qui ont eu lieu en Kabylie furent nombreuses et sanglantes à cette époque; celles que Fathma N'Soumer a menées sont restées mémorables. Fathma donne lors de la bataille de Oued Sebaou en 1854 une leçon de courage et de détermination alors qu'elle n'avait que vingt-quatre ans. Elle passe des années à organiser une armée de femmes et d'hommes pour riposter au conquérant. En 1847, elle a accepté de se joindre aux résistants de la région, les Chérifs Si Mohamed EI-Hachemi et Bou-Baghla. A la mort de ce dernier, en 1854, la résistance contre les troupes du maréchal Randon, estimées à 13 000 hommes dirigés par les généraux Mac Mahon et Maissiat. Le marchal Randon, dépité par la défaite, tente de trouver des appuis en Kabylie pour trouver la cachette de Fathma et de son armée. Cela ne fait qu'accentuer la réputation de l'héroïsme de Fathma qui est transmise par les chants et des louanges à travers les montagnes, Plusieurs batailles ont été livrées, dirigées par cette femme dont la renommée s'étendait de plus en plus à travers la Kabylie. Les défaites successives ont mené le général Randon à déclarer le cessez-le-feu. Fathma profite de ce repli pour préparer ses troupes. Des appuis s'organisent à travers le pays : fabriques d'armes, entrainement des troupes, réserves alimentaires. Après trois ans, l'armée française qui est aussi renforcée constitua des « goums » avec des chefs ralliés, Randon demanda des renforts lorsqu'il attaqua par surprise les Aït Iraten, ses forces atteignirent 35 000 hommes. les combats furent féroces. Fathma appelle ses troupes à lutter pour la liberté et à un ultime effort pour battre l'ennemi. Les batailles sont perdues. Les chefs furent contraints de se rendre : Si Hadj Amar, Si Seddik Ben Arab, Si El-Djoudi et Sidi Tahar. Fathma trouva refuge dans la zaouïa de Si Tahar Ben Mahieddiene à Tourtatine, près de Tablat (à 100 km à l'est de Médéa, dans la commune d'EI-Aïssaouia). Arrêtée le 27 juillet 1857 dans le village de Takhlijt Ath Atsou, près de Tirourda et incarcérée. Sa riche bibliothèque contenant des travaux religieux et scientifique est détruite par l'armée française. Affectée par la mort de son frère en 1861, elle meurt en 1863 à Béni Slimane à l'age de trente-trois ans, suite à l'épreuve de son incarcération.

Ses cendres ont été transférées en 1994 de Kabylie vers le Carré des martyrs à Alger.

[zwina]

Myra

Tu parles de tes maitres ?

[myra21]

Voila ya zina:
rien a rajouter tout a été dit.
Quand a mes maitres je n'en connais qu'un IEU

[absente]

Salut

Il faut comprendre une chose
pour les gwar
les gens musulmans
sont automatiquement arabes
Pourquoi?
Ben parceque le livre SAINT est en Arabe
et si tu es musulman tu es
automatiquemt arabe
a leur yeux quoi que tu fasses
pour t'en defaire

voila

erreur?
Non manque de terminologie

[traks]

son histoire ressemble un peut a celle de jeanne d'arc non ?? la jeunesse ..les vision ..enfin l'autre c'était des voix ...mais bon ..une heroine de la résistance a l'occupant ,par contre il lui on est arrivé des truc en seulement 33 ans de vie

[Arbefracom]

L'Algérie est un pays ARABE et BERBERE! C'est un fait. Les Algériens sont arabes et berbères.
C'est aussi simple que cela, en vérité le plus important c'est l'Islam.

75 à 80% se déclarant arabe, 25 à 20% se déclarant berbère, mais 100% algérien.

[Passant]

Nombreux étaient les Kabyles à participer à la création en 1931 de l'association des Oulémas algériens, trouvant dans l'islam le vecteur d'un renforcement identitaire face au colonialisme français. Plus tard les membres fondateurs de l'Étoile nord-africaine seront aussi pour moitié originaires de Kabylie.

source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Kabylie

Euh... je crois que cet article de Wikipédia a besoin d'être actualisé. Ou alors c'est une histoire à reculons qu'on nous présente ici. Je rappelle, à toutes fins utiles, que l'Etoile Nord-Africaine a été fondée en 1926...

[Foughalia75]

Les écoles coraniques étaient un lieu où pouvait se réfugier nos Moudjahidins et l'enseignement était la couverture. La France a voulu imposer leurs hommes pour les diriger mais c'est heureusement souvent heurté à plus malins qu'elle.

Il n y a rien de nouveau dans ce paragraphe puisque c'était le cas de tous les Moudjahidines dans toutes les régions d'Algérie. Ceci en réponse au terme nos Moudjahidins ...
Les massifs forestiers de l'Est de l'Algérie dont certains étaient quasiment inaccessible pour l'armée française, est le facteur ayant fait que la concentration des Moudjahidines soient de ce coté là. La plupart des Moudjahidines des autres régions découvertes rejoignaient ces massifs là après validation de leur recrutement dans les rangs.
La rébellion des Algériens n'est le monopole d'aucune région, mais simplement certaines régions étaient plus propices aux actes de rébellion que d'autres, d'où la concentration dans les Aurès, Kabylie, Babor, etc.

Je parle des français et des harkis. Il y a toujours eu une présence Arabe en Kabylie et cela depuis des siècles où de nombreux étrangers venaient rendre visite à nos savants. Certains étaient même d'authentiques Qoreichi.

Au temps de ces savants, les algériens : kabyles, constantinois, tlemceniens, etc. d'un coté, et les arabes d'orient de l'autre coté, se rendaient mutuellement visite mais les uns ne s'installaient pas chez les autres. Les voyages étaient le caractère propre des savants de ces temps là et la pureté de leur foi ne prenaient pas en compte les origines des uns et des autres.

A cette période, le problème de la langue arabe ne se posait pas. Seul quelques intellectuels et les religieux la pratiquaient. Nul rejet à cette époque puisque nulle agression pour obliger les Kabyles à pratiquer uniquement cette langue.

Pas seulement quelques intellectuels, puisque la Kabylie abritait dans chaque village une école coranique reliée à une mosquée, et ce bien avant l'arrivée des Français.

cette présence Arabe dont tu parle me semble t'il étais présente
du fait même que la colonisation précédente étais Arabe ...
Par qui étais t'il tenue ces "bureaux arabes" si ce n'est par ceux la même qui voulaient opérer à ces changement d'identités à savoir ces même Français et ceux qui les aidaient dans leurs "opérations" parmi eux certains "Algériens" qui avaient "retourner leurs vestes"

C'est pas normal d'associer les événements des années 1700 et 1800 avec ceux des années 1900 comme s'il s'agissait de quelques mois qui les séparent.

La présence ottomane ? et bien dis toi bien que la gestion de la vie sociale dans les régions d'Algérie était bien leur dernier soucis. Intéressés par les villes côtières, le recrutement de soldats marins, le ramassage et stockage de tout ce qui a une valeur matérielle ou alimentaire pour l'armée, les turcs étaient plutôt orientés vers l'entretien de leur flotte de navires qui surveillaient les côtes algériennes face aux campagnes militaires des armées du nord de la méditerranée. Ils ont appris aux algériens le métier de construction navale que la france a fait disparaitre après.

les bureaux arabes ? le premier étant installé à Alger en 1833 ensuite généralisé à toute l'Algérie en totalisant une cinquantaine en 1870, je ne vois pas pourquoi tu associe ce fait uniquement à la Kabylie. Ils ne servaient pas du tout à favoriser la langue arabe mais simplement servait de relais entre l'administration française et les populations locales, en Kabylie comme partout en Algérie. Ils étaient tenus par des originaires de la région afin de bien recenser les habitants, ramasser les impots et espionner les échanges des villageois. Je ne vois pas un arabe espionner les conversation des kabyles

Et puisqu'avant l'occupation française, les kabyles adoptaient de bon gré les prénoms arabes, je ne vois pas ce que l'administration française ou ses bureaux aurait cherché à changer sur ce volet là, à part de tout reprendre en lettres françaises avec tous les dégâts qui se sont produits sur les noms de famille et lieux de naissance et ce dans toutes les régions d'Algérie et pas uniquement en kabylie.

J'ai donné l'exemple de Fatma N'soumer et sa famille comme référence de l'ouverture de la région à tout ce qui est arabe en ces temps là car ils n'avaient aucune crispation face à l'arabe mais faisait partie du patrimoine intellectuel et religieux de la région à côté du patrimoine socio-culturel kabyle. Les prénoms, noms, et l'école coranique qui était géré par elle et son frère après le départ de leur père Cheikh Ali Ben Aissi, témoigne de la place qu'avait l'arabe chez les kabyles bien avant l'occupation française.

La France en arrivant en Kabylie n'avait aucun besoin d'arabiser puisque les kabyles utilisaient l'arabe a coté du kabyle. Avant la France, je me répète, les Arabes d'Orient et Algériens s'échangeaient les visites pour l'amour du savoir, et les kabyles étaient mêlés à cette dynamique, par choix et pas du tout forcés.
Comme partout en Algérie, les écoles coraniques nombreuses en kabylie étaient des lieux de savoir où l'arabe était lu, écrit et parlé puisque ça tournait autour de la religion. C'était le mode de vie choisi de bon gré par les kabyles en ces temps là.
A l'arrivée des français, et partout en Algérie, ces écoles ont été un vrai relai entre les résistants et les villageois au temps des résistances populaires. Au temps de la révolution, les Moudjahidines y trouvaient refuge effectivement.

Ce fil d'événements remet en cause le mythe d'arabisation forcée de la Kabylie avant ou durant l'occupation française. Bien au contraire, la France en installant les écoles catholiques elle apprenait aux Kabyles la lecture et écriture en français, afin d'éradiquer toute présence de l'arabe ou de l'islam dans l'esprit collectif de la région. Les écoles coraniques et mosquées entretenues tant bien que mal par les valeureux kabyles, n'ont pas pu tenir tête à ce système, vu les moyens et avantages dont regorgeaient les écoles catholiques.

Toutes les bibliothèques que Randon et les autres ont trouvé ont été incendiées même celles des Pères blancs qui contenaient des documents très précieux.

C'est simplement faux parce que les Pères Blancs sont venus en Kabylie 16 ans après Randon.

Randon et ses soldats en accédant en Kabylie avaient brulé la bibliothèque de Fatma N'soumer, riche en livres religieux et scientifiques écrits en arabe.

.

[myra21]

Et la raison première de la revolte d'El-Mokrani fut la traitrise des Français qui lui ont promis une aide pour nourire sa population à la place de l'aide ils ont envoyhé les Père Blancs pour christianisée la popultion en profitant de la famine qui sevissait , ces fameux pères blans sont arrivées sous leurs burnous qques louis pour nourire les enfants de cette population demunis et au passage les alphabetisées dans la langue de Molière avec comme livre la bible?:22: :22:

[absent]

C'est simplement faux parce que les Pères Blancs sont venus en Kabylie 16 ans après Randon.

à tu une source pour cette affirmation ?

lorsque je prenais exemple des "bureaux arabe" c'etais en parti pour rester dans le sujet de la vidéo qui relatais de l'arabisation des noms de famille et des noms de villages et de villes
et pas autre choses ....

beaucoup de noms de familles et de villes et villages ont été changer en des noms plus à consonances "arabes" ce point ci est je pense indéniable ....

quand à ce que tu viens de souligner sur le fait que les kabyles utilisaient l'arabe a coté du kabyle. Avant la France
et que les Arabes d'Orient et Algériens s'échangeaient les visites pour l'amour du savoir, et les kabyles étaient mêlés à cette dynamique, par choix et pas du tout forcés
tout comme les écoles coraniques qui étais bien présente
aucune contradictions n'est à faire je pense sur ces faits .....

Ce fil d'événements remet en cause le mythe d'arabisation forcée de la Kabylie avant ou durant l'occupation française. Bien au contraire, la France en installant les écoles catholiques elle apprenait aux Kabyles la lecture et écriture en français, afin d'éradiquer toute présence de l'arabe ou de l'islam dans l'esprit collectif de la région. Les écoles coraniques et mosquées entretenues tant bien que mal par les valeureux kabyles, n'ont pas pu tenir tête à ce système, vu les moyens et avantages dont regorgeaient les écoles catholiques.

effectivement sur ce point tu à raison aussi mais permet moi de rajouter ....
comme tout colonisateur qui vient imposer au coloniser sa culture et sa religion ...

myra
ces fameux pères blans sont arrivées sous leurs burnous qques louis pour nourire les enfants de cette population demunis et au passage les alphabetisées dans la langue de Molière avec comme livre la bible?

tout comme la colonisation par les arabes à leurs arrivées avec la religions Musulmane ....

passant
Euh... je crois que cet article de Wikipédia a besoin d'être actualisé. Ou alors c'est une histoire à reculons qu'on nous présente ici. Je rappelle, à toutes fins utiles, que l'Etoile Nord-Africaine a été fondée en 1926...

à tu une source pour ces affirmations ?

[myra21]

C'est un fait certain et sur à 100%
Que la France n'a en rien cherché à Arabisé les Kabyles!
Par contre des leurs penetrations dans le coeur de la Kabylie ils ont tout fait non seulement pour francisée les Kabyles mais surtout les convertires au Christianisme.
Mais grace a des personnes comme El_Baghlia , N'Soumer, El-Mokrani et j'en suis sur que c'est aussi à la majorité Kabyle que le dessein de la France a en partie échouer .
Pour ce qui est des noms il suffit de lire leurs noms d'avant l'envahissement.
Preuve en est c'est que les kabyles de certains (patelins )reproche aux Kabyles Algerois d'avoir
oublier leurs langues maternelle?
Mais question de bonne sens :Paris et sa banlieue abrite plus de 2 millions de Kabyles est ce que les enfants et petits enfant de ces immigrées de la 1er generation ont-ils appris la langue Kabyle a leurs descendance?
He bien je peut vous certifier que je n'ai jamais connu un enfant d'immigré Kabyle parler Kabyle.
Le Kabyle ne peut se develloper et s'épanouir qu'en Kabylie et certainement pas a Alger ou Oran et encore moins en Europe.