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Victor Hugo s'est-il converti à l'Islam

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  • #76
    tiens, Thierry Henry lui aussi songe a se convertir (incha Allah)
    non????????????
    on fait avec..........

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    • #77
      non????????????
      si

      Thierry Henry l' Islam est la religion la plus proche mon coeur selon lui et qu'il pensera a l'islam une fois il décide a appliqué une religion , et qu'il trouve que c'est une belle religions et il dit dommage que bcp veulent salir son image , il n'annonce rien mais qu'il comprend l'islam mieux que les autres religions ; et que les musulmans sont gentils .




      en faite mnt c'est question seulement qui veut etre membres en islam avant l'autre
      c'est tout

      moi ce qui me fait plus peur pour mon pays refait la même erreur que le passé , j'ai jamais compris que l'andalous été si proche mais en algérie y a pas eu grand chose

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      • #78
        coucou Nad!
        c'est plus une mode c'est une maladie!

        qu'il se concentre sur son ballon ca sera deja pas mal!
        on fait avec..........

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        • #79
          coucou momette

          qu'il se concentre sur son ballon ca sera deja pas mal!
          le balon c'est un hobby comme dit jamel debouz
          ou plutot son job .il a le temp pour ce concentré et il a eu se qu'il voulé avec tout son possible .

          l'islam c'est une foie et un mode de vie , car deriere thiery le joueur de foot , y a thierry l'humain avant

          mais ce qui es bizzar c'est de gens comme cela que la vie les a ouvert ses bras embrasse l'islam
          car si on vois le tiers monde la pauveroté etc on comprend un peut que la religion aide a surmonté cela

          mais c'est pas nouveau en islam c'est plutôt la mm chose qui c'est réalisé dans le passé
          Dernière modification par Nadyr, 21 mars 2010, 14h32.

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          • #80
            C'est très probablement un hoax. Rien ne prouve que Victor Hugo était musulman.
            Certes, Victor Hugo a écrit un poème sur le prophète Mohamed (QSSL) mais il a aussi écrit d'autres poèmes sur Jésus-Christ, le paganisme...etc dans le recueil "La légende des siècles", mais cela ne signifie pas forcément qu'il soit devenu musulman!

            L'An neuf de l'Hégire par Victor Hugo (Poème sur le prophète Mohamed QSSL)
            Comme s’il pressentait que son heure était proche,
            Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
            Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
            On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
            A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
            Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
            Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
            Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
            Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
            Il avait le front haut, la joue impériale,
            Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
            Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
            L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
            Si des hommes venaient le consulter, ce juge
            Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
            Ecoutait en silence et parlait le dernier.
            Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
            Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
            Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
            Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
            Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
            Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
            A soixante-trois ans une fièvre le prit.
            Il relut le Coran de sa main même écrit,
            Puis il remit au fils de Séid la bannière,
            En lui disant : ' Je touche à mon aube dernière.
            Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. '
            Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
            D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
            Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
            Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
            Et l’étendard sacré se déployait au vent.
            Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
            ' Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
            La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
            Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
            Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. '
            Un cheikh lui dit : ' o chef des vrais croyants ! le monde,
            Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
            Le jour où tu naquit une étoile apparut,
            Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. '
            Lui, reprit : ' Sur ma mort les Anges délibèrent ;
            L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
            Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
            Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
            Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. '
            Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
            Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
            Assise sur un seuil, lui cria : ' Dieu t’assiste ! '
            Il semblait regarder quelque vision triste,
            Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : ' voilà,
            Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
            Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
            J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
            Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
            Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
            Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
            Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
            Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
            Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
            J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
            Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
            Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
            O vous tous, je serais bien vite dévoré
            Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
            Chaque faute engendre un ver de terre.
            Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
            Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
            Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
            Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
            Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
            Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
            Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
            Comme dans le désert le sable et la citerne ;
            Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
            Tenu tête dans l’ombre au x Anges effrayants
            Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
            J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
            Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
            Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
            Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
            Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
            Et, comme je sentais en moi la vérité,
            Je les ai combattus, mais sans être irrité,
            Et, pendant le combat je criais : ' laissez faire !
            Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
            Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
            Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
            Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
            Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
            Ils ne me feraient point reculer ! ' C’est ainsi
            Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
            Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
            Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
            Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
            Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
            Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
            Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
            Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
            Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
            Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
            Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. '
            Il ajouta ; ' Croyez, veillez ; courbez le front.
            Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
            Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
            Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
            Presque personne n’est assez pur de péchés
            Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
            En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
            L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
            Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
            A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
            Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
            Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
            Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,
            Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
            Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
            Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
            Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
            Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
            Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
            La face des élus sera charmante et fière. '
            Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
            Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
            ' O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
            Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
            Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
            Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
            Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. '
            La foule s’écartait muette à son passage.
            Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
            Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
            Disant : ' Mieux vaut payer ici que dans la tombe. '
            L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
            En le regardant cet homme auguste, son appui ;
            Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
            Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
            Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
            Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
            ' Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
            Tu vas prendre le livre et faire la prière. '
            Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
            Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
            Et souvent à voix basse achevait le verset ;
            Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
            Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
            Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
            ' Qu’il entre. ' On vit alors son regard s’éclairer
            De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
            Et l’Ange lui dit : ' Dieu désire ta présence.
            - Bien ', dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
            Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

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            • #81
              j'ai entendu dire que bush vient de se convertir a l'islam mais qu'il le cache aux républicains pour éviter de faire un scandale
              l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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              • #82
                Pour Bush, c'est vrai, j'ai une preuve

                « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                • #83
                  Pour Bush, c'est vrai, j'ai une preuve
                  hahhaaaaaaaaaa mdr ca lui va tres bien j'trouve!
                  on fait avec..........

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                  • #84
                    Magnifique le poème ! Merci nassim
                    en tout cas même s'il n'était pas musulman avec ces vers il a rendu au prophète mohammmad saws un bel hommage
                    et puis on dirait qu'il a lu des hadith du sahih elboukhari surtout en ce qui concerne la mort du prophète
                    Celui qui ne possède pas la chose ne peut la donner

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                    • #85
                      en tout cas même s'il n'était pas musulman avec ces vers il a rendu au prophète mohammmad saws un bel hommage
                      enfin on pourrait nuancer la nature de cet hommage surtout si on y lit davantage à partir de là:
                      'passage en général bizarrement supprimé sur les sites islamique:22: ) alors pour sa conversion il a du s'en repentir d'abord
                      Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,

                      Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;

                      J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;

                      Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,

                      Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;

                      O vous tous, je serais bien vite dévoré

                      Si dans l’obscurité du cercueil solitaire

                      Chaque faute engendre un ver de terre.

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