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La philosophie de nos jours

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  • #46
    Argelina

    ce que j'aime en Philosophie c'est qu'elle appartient entièrement a la personne qui l'utilise, personne ne peut se l'approprié car personne ne peux avoir les même angle de vue ou le même raisonnement que l'autre, donc chacun a sa vision propre a lui, ce qui nous offre des tonne et des tonne d'avis différents qu'on peut classer selon leurs degré de pertinence par rapport a la logique car parfois certains philosophe sortent des rails et dérailles complètement d'où la comparaison de Philosophe = fou mais y a bien des fous qui ont réussi a exploré certains recoins sombre de la pensée humaine mais la majorité se sont perdu car a trop repoussé les limites on perds les limites

    d'un autre coté ce qui anime la philosophie c'est un peu ce caractère égocentrique des esprit philosophe, ce qui pousse ces personne a debatre, et défendre a tout prix leur avis, leurs vision, leurs analyse, et peu importe l'effort déployer, ils préfèrent aller jusqu'au bout d'où parfois ca frise le ridicule car voir deux philosophe qui se chamaille aura le meme intérêt que deux enfant qui se dispute la plus grande barre de chocolat dans une même boite, alors certe la philosophie marche de paire avec l'ego mais plus l'ego est volumineux et plus le philosophe se retrouve isolé car petit a petit il va réfuter tout les avis des autres et quelqu'un qui cultive qu'un seul ange de vue ne voit pas grand chose enfin de compte, puisque le bon philosophe c'est celui qui peut se mettre a la place des autres, qui perçoit les chose a leurs manière et qui arrive a juxtaposé, superposé ou même extrapolé leurs avis sur son propre avis et sortir avec des constat, des analyse et des conclusion

    alors je dirais que la philosophie c'est un sport cérébrale mais qu'il faut contrôlé, essayer de trouver un équilibre, d'accepter les critiques et surtout de continué a pensé sainement suivant la logique !!

    et enfin la philosophie sert a connaitre mieux ce qui nous entoure, les mécanisme de la vie, les automatisme de l'être humain et la façon de pensé de ce dernier
    Oo >-- Divinement Maudit et Diaboliquement vivant --< oO
    **ALGERIA**
    ~ me ~

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    • #47
      T'as lu ça Psychos?

      Oué.

      Mais je t'ai posé la question à savoir en quoi la philosophie est utile tu m'as dit "la philosophie touche à beaucoup de choses".
      Classique, à chaque fois que je pose cette question à un pro philosophie il me répond de la même manière, mais c'est généralement (comme ce fut le cas avec toi) tellement vague que ça ne me convainc pas.

      Tu ne fais apparemment pas excpetion à la règle.


      Ceci étant dit, intéressant le post de Dandy (oui oui, j'ai tout lu).
      Mais dès lors, un débat sémantique devra s'imposer, qu'est-ce que que la Philosophie ?

      Quand je dis que la philosophie est inutile, il est évident que je ne fais pas allusion aux génies de la pensée que peuvent être les Kant, Hegel, Marx, Nietzsche etc, pour qui j'ai beaucoup de respect car ayant tous marqués l'histoire de l'humanité, d'une façon ou d'une autre, et pourtant ce sont tous des philosophes.


      A vrai dire, je pense qu'ouvrir la philosophie au marché de masse l'a définitivement desserve et pas qu'un peu. Et c'est sans doute ça qui m'en a dégouté.

      Tous le monde n'est pas apte à être philosophe, il ne suffit pas de se demander pourquoi vit-on sur terre pour se prétendre philosophe, peut de personnes sont aptes à vraiment assumer cette tache, autrement on tombe dans le médiocre et le ridicule, plus que dans la pensée, comme actuellement et ça pousse forcement certains comme moi à la qualifier de "inutile".

      Donc oui tout dépend de quel point de vu on regarde la Philosophie.



      Sinon oui je confirme, la philosophie ne sert à rien.
      Récemment Michel Onfray a flingué Freud et la Psychanalyse, mais cet idiot a oublié de proposer une alternative crédible à la Psychanalyse, car si la philosophie soigné les gens, ça se saurait.

      C'est bien facile d'être dans le blabla en nom de la philosophie, mais quand il s'agit de proposer du concret il y a plus personne.

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      • #48
        La philosophie pour moi est une forme de dépassement de soi , de ses idèes , ses craintes , ses peurs et de ses insuffisances
        « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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        • #49
          Envoyé par not me

          et enfin la philosophie sert a connaitre mieux ce qui nous entoure, les mécanisme de la vie, les automatisme de l'être humain et la façon de pensé de ce dernier
          Cette définition me va...

          Envoyé par Psychos
          Tu ne fais apparemment pas excpetion à la règle.
          Je renouvellerai la tentative une autre fois peut etre, et j'espère pouvoir y arriver...

          Envoyé par Psychos
          Tous le monde n'est pas apte à être philosophe, il ne suffit pas de se demander pourquoi vit-on sur terre pour se prétendre philosophe, peut de personnes sont aptes à vraiment assumer cette tache,
          Je crois que c'est le seul point sur lequel on est d'accord.

          Envoyé par Psychos
          Récemment Michel Onfray a flingué Freud et la Psychanalyse, mais cet idiot a oublié de proposer une alternative crédible à la Psychanalyse, car si la philosophie soigné les gens, ça se saurait.
          Il est philosophe certe, mais pour démontrer ses théories sur Freud, il s'est appuyé sur l'analyse de sa réflexion et surtout sur la chronologie... Il n'a pas traité la psychanalyse selon une logique philosophique à ce que je sache, ni il a voulu arriver à la substituer ! En fait c'était juste une analyse critique...
          Dernière modification par Argelina, 21 mai 2010, 19h21.

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          • #50
            Envoyé par Argelina
            Quoi? Tu ne connais pas la méthode de ami Tod ?!
            à ma grande honte, j'avoue que non !
            et je suis même prêt à donner ma langue à toutes les chattes du monde pour savoir de quoi il retourne
            mais au vu de ton enthousiasme, je sens que tu ne vas pas tarder à éclairer ma lanterne...

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            • #51
              Envoyé par Hidhabi
              à ma grande honte, j'avoue que non !
              et je suis même prêt à donner ma langue à toutes les chattes du monde pour savoir de quoi il retourne
              mais au vu de ton enthousiasme, je sens que tu ne vas pas tarder à éclairer ma lanterne...
              Hum hum...

              Tu gardes ta langue pour une autre chatte car moi vois-tu, je ne suis pas aussi enthousiaste que tu le penses...

              Commentaire


              • #52
                Il est philosophe certe, mais pour démontrer ses théories sur Freud, il s'est appuyé sur l'analyse de sa réflexion et surtout sur la chronologie... Il n'a pas traité la psychanalyse selon une logique philosophique à ce que je sache, ni il a voulu arriver à la substituer ! En fait c'était juste une analyse critique...

                Heu il a écrit son livre en tant que philosophe flinguant la psychanalyse car en vérité tout le monde sait qu'il y a conflit d'intérêt entre ces deux disciplines.

                J'ai lu dans un magasine où il disait qu'on pouvait remplacer la psychanalyse par la philosophie.

                Cela veut tout dire.

                Or, comme j'ai dit si la philosophie soignait les gens, ça se saurait.


                Puis bon, lisons entre les lignes, dire que Freud est un charlatant qui n'a jamais soigné personne et que la Psychanalyse est une imposture, j'ai vu mieux comme analyse critique objective.

                Commentaire


                • #53
                  Envoyé par Psychos
                  Puis bon, lisons entre les lignes, dire que Freud est un charlatant qui n'a jamais soigné personne et que la Psychanalyse est une imposture, j'ai vu mieux comme analyse critique objective.
                  Maintenant que je remarque ton psoeudo, je pense que toi aussi tu as un parti pris... Alors, laissons l'objectivité pour une prochaine fois si tu le veux bien...

                  Commentaire


                  • #54
                    Facile ça l'argument du pseudo.

                    Commentaire


                    • #55
                      Facile ça l'argument du pseudo.
                      Faut dire que ta ferveur pour défendre la psychanalyse, palpable dés le départ, m'a aussi mise sur la piste...

                      Sérieusement, je pense que tu parles d'objectivité alors que dans tes interventions il n'y a rien d'objectif !!!

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                      • #56
                        Imaginez que je suis un petit garçon de 5ans

                        maintenant, si quelqu'un veut bien m'expliquer ce qu'est la philosophie !?

                        Commentaire


                        • #57
                          hi folks

                          Merci pour vos contributions.

                          qu'est-ce que que la Philosophie ?
                          La philosophie, c'est cogiter sur l'existence. C'est la recherche de la 'vérité'. C'est vouloir comprendre le sens de la vie d'où l'incessant questionnement sur le monde qui nous entoure.


                          Je pense que vous avez raisons tous les deux (toi un peu plus que lui selon moi) ;-)
                          On ne peut dire qu'un concept est plus juste qu'un autre. Aucun philosophe ne détient la 'vérité'. Il n'y pas de pensée meilleure que l'autre. Il n'y pas de cogitation plus vraie que l'autre. Chacun ses convictions, ses valeurs, sa vision du monde. Donc, pour moi toutes les idées se valent, toutes doivent être respectées. Rien ne nous empêche cependant de les discuter sans avoir à les juger.

                          Commentaire


                          • #58
                            A quoi sert la philosophie aujourd'hui ? Telle était la question initiale. Je l'ai peut-être mal formulée.

                            En fait, je voulais savoir si la philosophie avait - encore - sa place dans le monde d'aujourd'hui.

                            Commentaire


                            • #59
                              Envoyé par Myst
                              Imaginez que je suis un petit garçon de 5ans

                              maintenant, si quelqu'un veut bien m'expliquer ce qu'est la philosophie !?
                              Hey p'ti morveux, viens pas là...

                              Ce qu'on appelle "philosophie" c'est l'engrenage de toutes ces réflexions qui servent à trouver des réponses plus ou moins admissibles aux questions que tu te poses , aussi absurdes que puissent être ces questions...

                              Heuu, par contre la question "comment fait-on des bébés", celle là peut attendre encore un peu, philosophe sur autre chose pour le moment, ok?

                              Commentaire


                              • #60
                                Envoyé par Myst
                                Imaginez que je suis un petit garçon de 5ans

                                maintenant, si quelqu'un veut bien m'expliquer ce qu'est la philosophie !?
                                Bonjour,

                                A mon sens, cette question n'est pas bête du tout, même si on peut objecter dans un premier temps que 5 ans n'est pas du tout le bon âge pour philosopher, puisque des générations de penseurs autrement plus mûrs et plus aguerris s'y sont cassé les dents sans pour autant arriver à cerner la question de manière satisfaisante. D'ailleurs la philosophie, en tant que "discipline" n'est enseignée dans les lycées qu'à partir de la terminale (ou un peu avant selon les systèmes éducatifs), et ce n'est que très récemment qu'une réflexion a été engagée au niveau de l'UNESCO pour initier les petits enfants à la philosophie.

                                Mais alors, et quelqu'un y a déjà fait allusion plus haut, il faudra se mettre d'accord sur ce qu'on entend par "philosophie". Car si l'on part des spéculations interminables entre "philosophes" sur tel ou tel sujet, il y a de fortes chances pour qu'on ne retienne de la philosophie qu'un aspect purement technique, consistant à soupeser les arguments des uns et des autres, et à développer un certain art de la réflexion (certes,très utile), mais dont l'objet nous reste totalement extérieur. Je me rappelle, personnellement, que je m'ennuyais ferme dans les cours de philo au lycée, non pas que je trouvais les sujets traités inintéressants, mais surtout parce qu'ils ne correspondaient aucunement à un quelconque besoin réel chez moi. Ce n'est que plus tard que j'y suis revenu grâce à une démarche personnelle. Et cette démarche n'était pas tant le fruit de lectures "philosophantes" particulières que la conséquence de questionnements nés de l'expérience quotidienne.

                                Ces questionnements, d'ailleurs, avaient cette particularité de procéder d'un certain étonnement au départ. C'est à dire que mes réflexions ont toujours été précédées par un moment où la pensée s'est, comme qui dirait, figée, laissant place à la réalité telle quelle, sans fioritures, sans idées préconçues, sans conditionnement culturel, etc. Comme si on partait d'une page blanche, où tout reste à inventer, à écrire. Comme si la page d'avant, déjà surchargée d'idées, de savoir, était déjà une page morte, inutile. Comme si je me rendais compte à un moment donné que, finalement, je croyais connaître les choses, alors qu'en vérité je ne les connaissais pas du tout. Des choses toutes simples et "banales" que j'avais l'habitude de côtoyer, à commencer déjà par le fait d'être, d'exister. La plupart des gens mènent leur vie ordinaire comme si cela allait de soi, comme si cela était évident, et très peu s'étonnent du fait même qu'il y ait une vie, qu'ils existent alors qu'ils auraient pu ne pas exister, déjà pour commencer. Cela rejoint d'ailleurs la question primordiale généralement posée en philosophie: "Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?"

                                Donc, de ce point de vue, un enfant de 5 ans est probablement mieux disposé à aborder la philosophie qu'un adulte abruti par le conditionnement social et encombré de tonnes de savoir acquis. L'enfant n'a pas encore perdu cette faculté de l'émerveillement devant le monde. Tout est encore tout neuf, tout frais. Il ne voit pas le monde en fonction des idées qu'on lui a inculquées à coups de dressage "éducatif" ou de matraquage idéologique. Il prend la réalité telle qu'elle se présente à lui: il est dans le présent. Il n'a pas besoin d'une quelconque autorité extérieure pour "interpréter" ce qu'il vit dans le moment. C'est pourquoi ses questions dérangent parfois, parce qu'elles touchent directement à l'essence des choses, et ne se contentent pas de surfer sur la surface, sur les apparences, sur les clichés et les opinions convenues.

                                Dans cette optique, la philosophie n'est plus une espèce de raisonnement de seconde main, emprunté à X ou Y, ou bien lu dans tel ou tel bouquin, mais une réflexion sincère induite par une expérience personnelle réelle. La plupart des grands philosophes ont élaboré leurs systèmes à partir d'un vécu personnel, et non à partir de développements surajoutés à d'autres systèmes, comme le font ceux qu'on appelle les sophistes. Les philosophes authentiques n'ont pas "fait de la philosophie", ils ont été amenés à réfléchir sur leur expérience, tant extérieure qu'intérieure, en ne se fiant pas aux opinions des uns et des autres, mais en questionnant ce qu'il y a d'essentiel dans cette expérience. C'est à dire ce qu'il y a de réellement universel dans l'expérience humaine, loin de toute subjectivité.

                                Arrivé à ce point, la question "utilitaire" (à quoi sert la philo?) tombe d'elle-même. La philosophie n'a pas à servir ou ne pas servir à quoi que ce soit. C'est le prolongement naturel de la conscience humaine qui se découvre capable de connaissance, contrairement à celle de l'animal. Seulement, il s'agit de connaissance vivante, fraîche et spontanée, et non de savoir livresque, mort aussitôt consigné (ce qui est d'ailleurs le sort réservé à ce post même! ). L'étymologie du mot français "connaissance" est à ce propos fort significative: co-naissance. C'est une capacité de saisir la réalité qui nous est donnée " avec la naissance ". Ce n'est pas quelque chose qu'on acquiert sur les bancs de l'école. D'ailleurs, chez les Grecs, le mot "sophia" contient à la fois l'idée de sagesse et de connaissance. Si on veut définir la philosophie comme "amour de la sagesse et de la connaissance", il ne faut pas oublier que pour qu'il y ait amour, il faut d'abord qu'il y ait désir, et donc ressentir un manque (de ce qui est désiré). Tant que ce désir de connaître, de rechercher la vérité ultime (si tant est qu'une telle vérité existe) n'est pas là, on ne peut pas parler de philosophie, même si le mot est galvaudé comme beaucoup d'autres.

                                Et ceci n'a rien à voir avec le temps, pour répondre à la question de l'OP. Les questionnements essentiels font partie intégrante de la nature humaine. Ils peuvent être relégués en arrière-plan, par ignorance. C'est tout. Mais ils seront toujurs présents, quelle que soit l'époque.
                                Dernière modification par Passant, 22 mai 2010, 19h18.

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