Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La douceur de l'enfance

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    C'est drôle mais ton poste m'apprends que j'avais tout faux te concernant, et pourtant cela fait un bout de temps qu'on se connaisse
    ah oué ... il t'apprend quoi !

    Commentaire


    • #17
      Ben deux informations capitales

      1- Que t algérois (je te croyais de Tizi)

      2- Une approximation de ton age (tu semblais plus vieux)
      ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

      Commentaire


      • #18
        1- Que t algérois (je te croyais de Tizi)
        oui je suis algerois de naissance ... sinon les aventure de tizi ouzou je te les raconterais une autres fois c'est mémorable aussi

        2- Une approximation de ton age (tu semblais plus vieux)
        ah bon .. si tu le dis

        Commentaire


        • #19
          bein moi c'est simple, dès l'enfance je sèche mes cours

          j'étais en 2ème année primaire, une fois il a plu, le matin à l'entrée de l'école je suis tombée, et il y avait plein de boue sur mon pantalon j'ai bien regardé la tache, j'ai fait demi tour à la maison et j'ai dit oh la maitresse n'est pas venue

          bein oui il n'était pas question que je rentre en classe avec cette boue sur mon pantalon

          Commentaire


          • #20
            Une dernière avant de dormir,

            Avec mon frère, en l'absence de mes parents, on jouait aux toubib et la patiente, et il y avait un bistouri qui trainait donc il m'a ouvert la cuisse j'en garde toujours une cicatrice
            ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

            Commentaire


            • #21
              Avec mon frère, en l'absence de mes parents,on jouait aux toubib et la patiente,
              ah, les histoires de toubib et la patiente, je les jouais mais pas avec ma soeur, c etaient avec des filles de la famille de la famille ...et la je te raconte pas les details sinon je serai rapporte et banni .....

              Commentaire


              • #22
                lamia,

                oohhh :o

                Commentaire


                • #23
                  Trop mignon ce post...

                  Mdrr lamia j'imagine le pauvre âne écroulé

                  Un souvenir dans lequel je me replonge corps et âme quand je suis stressée par la modernité et la société de consommation, au printemps avec l'arrivée des premiers rayons de soleil, quand la nature nous déployait son tapis verdoyant, ma petite soeur et moi on se mettait en haut d'un de nos champs (du côté de chez moi c'est montagneux) et on se roulait dans l'herbe, on descendait en pente et on était morte de rire, car sur le chemin on se mangeait quelque herbes sauvages, mais on avait rien à cirer, même connaissant par avance les colères de ma mère à cause des tâches sur les vêtements, ça n'enlevait rien à notre bonheur...


                  ps; ça à duré jusqu'à l'adolescence...
                  Je vis de sorte que personne ne se réjouisse de ma mort ..
                  .................................................. .................................
                  Llah yerhmek notre rico.

                  Commentaire


                  • #24
                    Souvenirs souvenirs...c'était la belle vie. On se souciait de rien...
                    Ceux que j'aimais c'était la récré, les séances sport, musique et les travaux pratiques...

                    Commentaire


                    • #25
                      Il a un souvenir dont on reparle régulièrement avec mes cousins, et qui nous fait pleurer de rire chaque fois.
                      C'est l'heure de la sieste dans la maison, et mon oncle n'aime pas être réveillé de sa sieste... sauf qu'il y a quelques garnements qui ne veulent pas faire la sieste qui n'arrêtent pas de claquer les portes.
                      Mon oncle crie une fois "et alors, on ne peut pas dormir dans cette maison !"
                      On sait qu'il n'y a jamais deux avertissements avec lui, mais on continue à jouer et à claquer les portes.
                      Là mon oncle se lève, le visage en furie, il démonte toute les portes de l'étage de leur cadre en marmonnant contre nous, en nous menaçant... même celle des toilettes et il retourne se coucher.... y en a pas un qui a osé respirer devant lui et aucun de mes oncles n'a osé replacer les portes de la journée.
                      Je suis pliée de rire !

                      Commentaire


                      • #26
                        Envoyé par bricoultout
                        bonsoir misterover bonsoir tout le monde

                        je ne sais pas si c'est le même cas mais le morceau de matlou3 tres chaud qu'on pique avec un" oud" petit bâton pour ne pas se bruler les mains
                        on remplissait nos poches de raisins sec (zbib) seché maison puis on emmene les chevres paitrent
                        quand à l'ecole c'est lorsqu'on avait joué aux billes à la recre et qu'on faisait des taches au cahier de classe le maitre nous epinglait le cahier au dos et nous fait passer dans toutes les classes et là on est la risée pendant une semaine au moins
                        Ah oui, j'ai oublié ce détail, pour el matlou3, on avait une coucha ta3 bakri, avec de la terre, et des pierres, elle était dehors, du coup quand il faisait froid dehors, c'était matlou3 sur tajine. Avec el koucha, on prenait un oud des vignes (j'habite une ville ou on avait énormément de vignes). A vrai dire, celui d'el Koucha, on ne l'appelait pas matlou3, mais "kassrate ta3 el koucha".

                        Avec le pain, on allait chercher le grand seau ou ma mère préparait les olives, il avait une odeur bizzare chouia, ma mère mettait plein de choses dedans, des citrons, .... on rentrait notre main dans ce seau, on prenait une bonne poignée, et on mettait ça dans la main.

                        Et on mangeait des olives, des fois ce n'était pas mûre.

                        Quand il faisait froid, il y'avait un Majmar, on était tous autours de ce majmar, les braises étaient rouges, avec un peu de rmad.
                        «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

                        Commentaire


                        • #27
                          celui d'el Koucha, on ne l'appelait pas matlou3, mais "kassrate ta3 el koucha".
                          Nous on l'appelait "Kesra ta3 el volcan"

                          Avec le pain, on allait chercher le grand seau ou ma mère préparait les olives, il avait une odeur bizzare chouia, ma mère mettait plein de choses dedans, des citrons, ....
                          Je me souviens de la préparation des olives d'abord on les tappait avec une pierre pour qu'ils s'assaisonent bien ensuite on les laissait plusieurs jours pour qu'il mûrissent c t trop bon mais il me semble qu'on ne le fait plus.

                          Mon grand père avait un olivier ça nous amusait de les ramasser
                          ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

                          Commentaire


                          • #28
                            @lamia : Kassrate ta3 el volcan, pas mal ça

                            Pour les olives, on avait plein d'oliviers dans la campagne, alors on allait les cueillir.

                            On avait 2-3 seaux d'olives : celui qui est écrasé, celui qui a un trou, les gros, ...

                            Un autre fruit était très présent chez Nous : les raisins. Quand j'étais petit, après l'école je sortais les brebis, donc j'avais des vignes et des oliviers juste à côté. Les vignes je les connaissais très bien, parce qu'il y'avait des petits bijoux camouflés en plein milieu, c'était les raisins rares : Bzazil El 3awda, Muska, Cincault, Dattier.

                            C'était toujours le grand problème, fallait protéger ces bijoux, donc pas moyen d'aller les chercher pendant que les autres regardent, il y'avait el 3assass, souvent on l'amenait de l'Est d'Algérie, ils étaient souvent bizarres, des cas sociaux, je ne sais pas où ils les recrutaient. C'était tous les jours, Prison Break, fallait trouver le bon moment pour aller chercher les raisins.

                            Chaque jour, j'amenais genre 5-7 kgs de raisins. Sans oublier que pendant les vendanges, je bossais et donc j'amenais aussi à 14:00 un seau de raisins. On mettait Sincault en haut, qq feuilles de vigne par dessus, et on rentrait sur une remorque.

                            A un moment, ma mère n'en voulait plus, on avait des tonnes et des tonnes de raisin, ma mère préparait de la confiture de raisin, c'était trop bon, et on avait aussi des raisins secs, à gogo en plus.
                            «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

                            Commentaire


                            • #29
                              parce que el koucha a la forme d'un volcan

                              Ma mère aussi faisait bcp de confitures (elle en fait toujours) j'aimais pas celle des raisins parce que j'avais la corvée d'enlever les pépins lool

                              Le fruits qu'on aimais le plus cuillir c'est les figues (bakor, karmous, ..Etc) mon père aime le manger avec la chorba

                              Chez mon grand père on avait aussi un figuier de barbari, c t pas évident avec les épines mais on adore la nesrania

                              Je me souviens qu'on allait aussi chercher les oeufs, mais cousins les mangeais crus

                              Et ce qu'on adorait le plus c t monter sur les moutons ou l'âne meskine lool
                              ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

                              Commentaire


                              • #30
                                @Lamia : Monter sur un âne y'a pas de souci, mais sur un mouton meskine, jamais de la vie

                                Tu as de la chance, j'avais un bélier, il me causait que des problèmes. Une fois, il y'avait un gars complètement bourré qui voulait le tuer parce qu'il l'avait tapé.

                                Justement, c'était un Srandi, de Tiaret, on les reconnait grâces à leurs petites boules sous le cou.

                                Bah lui, à 1 km il viendra faire des coups de tête, il m'a rendu fou.
                                «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X