Un jeune de 19 ans était dimanche entre la vie et la mort après avoir été tabassé la veille par une dizaine de jeunes de Rosny-sous-Bois qui ne supportaient pas sa liaison avec une fille de leur cité.
La victime a été passée à tabac par une dizaine de personnes vers 20h samedi à la gare RER de Noisy-le-Sec.
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a réuni dimanche le préfet de police de Paris Michel Gaudin et le directeur général de la police nationale Frédéric Péchenard, exigeant que «tous les moyens soient mis en œuvre», dont «l'exploitation rapide des images de vidéo protection» de la gare RER, théâtre du drame, afin d'arrêter les auteurs de cette «agression sauvage».
L'état de santé du jeune originaire de Sartrouville (Yvelines), et «très peu connu des services de police», selon une source proche de l'enquête, n'avait rien de rassurant dimanche: il est plongé dans le coma avec un «pronostic vital engagé» selon l'Assistance publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP).
La jeune fille est sous le choc
La victime a été passée à tabac par une dizaine de personnes vers 20h samedi à la gare RER de Noisy-le-Sec: une agression d'une rare violence, selon des sources proches de l'enquête. La raison? Le jeune homme avait une petite amie habitant le même quartier de Rosny-sous-Bois que ses agresseurs, d'après les premiers éléments de l'enquête confiée à la sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis. «Les agresseurs seraient des jeunes d'une cité de Rosny-sous-Bois (la cité de Bois-Perrier) qui n'auraient pas supporté de croiser l'une des filles habitant le même quartier qu'eux fréquenter un jeune de Sartrouville», a raconté une source proche de l'enquête.
«Il est très probable que la jeune fille connaissait les agresseurs», a ajouté cette source. La jeune femme, choquée, devait d'ailleurs de nouveau être entendue par les policiers dimanche en début de soirée.
AFP

Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a réuni dimanche le préfet de police de Paris Michel Gaudin et le directeur général de la police nationale Frédéric Péchenard, exigeant que «tous les moyens soient mis en œuvre», dont «l'exploitation rapide des images de vidéo protection» de la gare RER, théâtre du drame, afin d'arrêter les auteurs de cette «agression sauvage».
L'état de santé du jeune originaire de Sartrouville (Yvelines), et «très peu connu des services de police», selon une source proche de l'enquête, n'avait rien de rassurant dimanche: il est plongé dans le coma avec un «pronostic vital engagé» selon l'Assistance publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP).
La jeune fille est sous le choc
La victime a été passée à tabac par une dizaine de personnes vers 20h samedi à la gare RER de Noisy-le-Sec: une agression d'une rare violence, selon des sources proches de l'enquête. La raison? Le jeune homme avait une petite amie habitant le même quartier de Rosny-sous-Bois que ses agresseurs, d'après les premiers éléments de l'enquête confiée à la sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis. «Les agresseurs seraient des jeunes d'une cité de Rosny-sous-Bois (la cité de Bois-Perrier) qui n'auraient pas supporté de croiser l'une des filles habitant le même quartier qu'eux fréquenter un jeune de Sartrouville», a raconté une source proche de l'enquête.
«Il est très probable que la jeune fille connaissait les agresseurs», a ajouté cette source. La jeune femme, choquée, devait d'ailleurs de nouveau être entendue par les policiers dimanche en début de soirée.
AFP
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