pour lever l’ambiguïté de cette notion de pardon, je précise ce que je veux dire par "libre de pardonner" par un exemple que j'éspére simple: Mon voisin décédé est accusé de l'assassinat d'un autre voisin, je suis libre de pardonner à l'assassin dans le sens que si son parent qui le défendrait par la suite m'invite à un barbecue je serai ravi d'y participer ! même si la responsabilité de l'accusé est bien établie et ne souffre d'aucun amalgame.
Aussi, si mon frére comettrait un crime, personne n'a le droit de me reprocher le fait que je ne présente pas mes condoléances à la famille des victime ou mon choix de les "ignorer".
les parents de M.Merrah peuvent très bien pardonner à leur fils ce qu'ils veulent pardonner
je suis d'accord que chacun puisse critiquer celà, mais aucun n'a le droit de verser dans la diffamation pour autant, ce n'est pas juste.
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