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Inspiration du jour XII

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  • البعض لا يريدك و لكنه يريد منك
    والبعض يريدك انت ولا يريد منك
    أشخاص يحبونك وقت الفراغ
    وأشخاص يتفرغون لمحبتك هنا الفراق

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    • Bijor Boubena

      Envoyé par Boubena
      في حياتنا البشر كالحروف
      البعض يستحق الرفع
      بعض أخر يحترف النصب
      وهناك من يستهل الضم
      و أخرون يستحقون الكسر
      وبقية تستحق الحذف لأنها من حروف العلة
      لامحل لهم من الاعراب
      ... Même en métaphore, tu pourfends les saccageurs de la langue...

      J'aime bien

      « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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        • "La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."

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          • «Pourquoi est ce que l’honneur d’un homme se situe-t-il entre les cuisses d’une femme ?» ?!
            Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

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            • Bijor Stranger

              ... Car là, s'il est bafoué, il peut le venger à loisir...

              « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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              • Bonjour a vous

                Aujourd'hui l'inspiration est mienne !!
                Certains veulent ce prouver qu'il sont dotés d'intelligence
                ils se trompent car ils doutent deja sur eux même ...

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                • Il n'y a pas pire folie que de vouloir rester sage dans un monde de fous.
                  Boubena

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                  • "La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."

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                    • A la différence de l'homme , le lézard est capable de sacrifier sa queue pour sauver sa vie
                      inspecteur tahar
                      Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

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                      • quand on épluche un oignon, il faut penser à un être cher et disparu, ainsi les larmes ne sont pas perdues.
                        Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

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                        • ... J'en suis encore à me demander comment je m'y suis pris pour tant en dire à une jeune fille, fût-elle ma promise ! Nous étions à l'écart, Finette et moi, sans trop rien dire si ce n'est pour la santé, pour la parentèle, comme d'habitude quand nous nous trouvons seuls. Au vrai, c'est elle qui est allée au-devant, en me demandant de lui montrer mes pistolets qu'elle n'avait jamais bien regardés, disait-elle. Ce sont de beaux pistolets italiens, datés de 1670, et signés Lazaro Lazarino, dont le chien figure un petit enfant qui gonfle ses joues. "C'est joli, a dit la raïolette, et même, m'est avis que c'est une idée particulière, pamen ! de se donner tant de peine pour faire jolie une bésugno à donner la mort !

                          Extrait de Les fous de Dieu
                          de Jean-Pierre Chabrol


                          « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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                          • ... Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

                            L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

                            Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

                            En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

                            L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir.


                            Extrait de L’obsolescence de l’homme
                            de Günther Anders


                            « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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                            • ... Mes amis et compagnons de route,
                              Ayez pitié de la nation qui abrite mille croyances, mais qui est dépourvue de religion.
                              Ayez pitié de la nation qui porte un habit qu'elle n'a pas tissé, mange un pain qu'elle n'a pas pétri et bois un vin qui ne prévient pas de son pressoir.
                              Ayez pitié de la nation qui acclame un tyran comme un héro et trouve que le conquérant glorieux est bienveillant.
                              Ayez pitié d'une nation qui méprise une passion dans ses rêves et s'y soumet pourtant à son réveil.
                              Ayez pitié de la nation qui n'élève la voix que quand elle suit une procession funéraire, ne se glorifie qu'au milieu des ruines et ne se rebelle que quand le cou se trouve entre l'épée et le billot.
                              Ayez pitié de la nation dont le politicien est un renard, dont le philosophe est un bateleur, et dont l'art est l'art du rapiéçage et du pastiche.
                              Ayez pitié de la nation qui accueille son nouveau dirigeant avec des trompettes et le chasse avec des huées, uniquement pour en accueillir un autre avec, de nouveau, des trompettes.
                              Ayez pitié de la nation dont les sages deviennent muets avec le temps et dont les hommes forts sont encore au berceau.
                              Ayez pitié de la nation divisée en plusieurs parties, chaque partie se considérant elle-même comme une nation.


                              Extrait de Le jardin du Prophète
                              de Khalil Gibran


                              « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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                              • Bonjour

                                Sois l’auteur de ta vie….
                                Ne laisse pas les autres définir ton avenir, mais devient plutôt l'acteur ainsi que l'auteur de ta vie
                                Claude Duquette ...

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