Voila j'emprunte ce petit pargraphe choquant d'un FAiste et avec sa permission.
Le but n'etant pas de critiquer mais de clarifier des choses que beaucoup helas ignorent sur l'Islam meme les musulmans EUX MEMES.
Salam,
Tu t'es base sur quoi? Connais tu l'importance du sport en Islam? As tu fait des recherches? Le sens commun?
Voici ce que j'ai trouve sur l'importance du sport en Islam.
« Un citoyen physiquement fort est plus valable et mieux aimé de Dieu qu’un croyant de faible constitution » (Hadith rapporté par Moseley).
Ceci implique qu’un bon citoyen doit prendre soin de sa santé, en procédant à une activité physique, préalablement à tout acte cultuel, afin de développer sa force physique et être utile à la société. « Ce sont les actes – dit le Chef du Rite Malékite – qui sanctifient les hommes et non le lieu où ils demeurent ».
L’Islam stimule le comportement agissant du croyant, en préférant le musulman actif au religieux dilettant, ramolli et inactif. Dieu n’agrée point une foi qui n’est pas étayée par des actes (Hadith rapporté par Tirmidhy).
L’Islam soutient, aussi, toute activité qui conforte la structuration sereine et esthétique de l’homme, car dit le Prophète : « Allah est beau et Il aime la beauté
Avec une structuration sportive équilibrée, un fonctionnement somato-physique est assuré, éliminant toute indisposition physiologique ; là, pour l’Islam, le temporel prime le cultuel (c’est-à-dire l’acte du culte).
Toute infraction à cette législation rigide de la Charia et de la Sounna, est un délit catégorique, car la santé, reconnue comme prioritaire, en souffre.
Une heureuse équation entre le temporel et le spirituel demeure le secret de cet équilibre dont dépend la félicité de l’Etre humain.
S’agissant des enseignements coraniques ou « traditionnaires », ils englobent les éléments principaux qui régissent le régime alimentaire, la prévention hygiénique à l’encontre de tout comportement susceptible de porter atteinte à la santé de l’esprit et du corps.
D’autre part, le caractère personnel des devoirs religieux, imposés par l’Islam au croyant, est, certes, moins marqué, dans la masse des obligations canoniques, que l’empreinte socio-économique.
Les impératifs d’ordre communautaire créent, entre citoyens, une co-solidarité sociale qui prime toute pratique dévotionnelle. Tout progrès est, ainsi, conditionné, en premier lieu, par l’épanouissement spontané de l’Etre. Le pragmatisme créateur de l’Islam bien conçu, est un solide garant pour un renouveau réel qui insuffle à l’Etat islamique modernisé , une structuration qui assure le bien-être matériel du peuple.
Ce pragmatisme est étoffé par un dynamisme initiateur qui fait de l’Islam une religion énergique, sans aucune passivité statique ; dans son recueillement serein et pacifique, le croyant, quel qu’il soit, demeure animé, dans son for intérieur illuminé par autant d’énergie et d’ardeur.
*Le comportement naturel du Prophète, dépourvu de tout bigotisme ou religiosité, est caractérisé par les propos de son épouse Aicha qui, questionnée sur ce que faisait son mari, en rentrant au foyer : « Il se comportait – affirme t-elle – comme tous les êtres humains ».
Le Messager d’Allah, Mohammed, n’a pas manqué de donner de bons exemples, dans diverses conjonctures agissantes. Il engagea, un jour, un véritable corps à corps (Mouçâra’) contre un champion arabe, connu sous le nom de Rokana ; Il gagna aisément le round principal par un knock-out décisif. Le Prophète participait, par ses propres chevaux, à des concours hippiques ; comme il s’engageait, d’après le grand traditionniste Boukhari, dans des courses de chameaux.
Auparavant, le lancement de la poudre n’accompagnait guère ce genre de carrousel , jusqu’à l’an 1274 après J.C., lors de la bataille de Tlemcen (Histoire d’Ibn Khaldoun, en parlant de Mérinide Yacoub) (1)
D’autres compétitions se caractérisaient, alors, par des lancements de flèches à arc, des tirs à l’arbalète, ou des armes de trait, escrime (Moussayafa) ou duel (Moubâraza) à l’épée.
Omar Ibn El Khattab, deuxième Khalife du Prophète, a préconisé, ainsi, pour tout citoyen digne, de joindre à une finesse morale, une capacité physique, assise sur une virilité à toute épreuve, animée par un sens sportif, lui-même étoffé par des élans de l’homme courageux et gymnaste, qui se taillait en véritable compétition, avec les grands athlètes en yoga, course ou hippisme.
*La femme musulmane eut sa part dans la compétition sportive, telle l’épreuve de course, qui semble assez loin de certaines contingences féminines. « Tenez bien compte - a affirmé le Messager d’Allah – de l’état de la jeune fille, qui est dans la fleur de son âge et qui aime se divertir » (hadith de Boukhari) Aicha, épouse du Prophète s’y engagea, un jour, contre son mari, dans une course à pied où elle eut le dessus. Cette compétition qui réunit un couple, se répéta, plus tard, où Aicha, devenue obèse, fut défaite ; ce qui l’incita, sur ordre de son mari, à observer un strict régime. Une heureuse sveltesse de la ligne s’ensuit. La femme s’y imposait, non seulement, en tant qu’infirmière – comme semblent le préciser, certains publicistes, parmi les non-féministes – mais comme véritable combattante.
Le Prophète a autorisé une de ses compagnes, Oum Haram, à s’engager dans l’avenir, avec son mari Abou Ayyoub, dans la bataille Marine, qui aboutit à la conquête de Constantinople. Son tombeau est bien marqué, aujourd’hui, comme martyre, dans l’île de Crête.
L’historien Ibn Athir a cité Safia comme un exemple sublime d’héroïsme. Edouard Gibb rapporte l’anecdote saisissante de ces femmes de Damas qui, surprises par l’ennemi, alors que leurs maris combattaient, loin de la ville, se défendirent vaillamment : elles manipulaient, à merveille, le dispositif logistique de l’époque et abattirent une trentaine de soldats ennemis, en usant de sabres, lances et flèches. Dans un épisode de la célèbre bataille de Yarmouk, une armée improvisée à la dernière heure, fit subir à l’ennemi, une défaite humiliante. Asmâa, fille de Yazid, tua, à elle seule, neuf soldats. On cite, d’autre part, le cas de plusieurs femmes qui ont combattu, côte à côte, avec leurs maris (dont la nièce et la soeur du Prince Ossâma, lors des Croisades, en Palestine). L’exemple de Ghazala, qui mit en déroute l’armée Omeyyade d’El Hajjaj, est passé en proverbe : Cela n’empêchait guère, les salons littéraires, de rayonner, en Arabie et ailleurs, sous les auspices de dames élégantes, telle Soukaïna, petite fille d’Ali, gendre du Prophète. Chaque capitale avait son salon ; à Bagdad, celui d’Al Fadl, et à Grenade, celui de Meznoun et de Wallada, au IX siècle.
Le but n'etant pas de critiquer mais de clarifier des choses que beaucoup helas ignorent sur l'Islam meme les musulmans EUX MEMES.
je pense que le problème numéro 1 vient de la religion et des traditions qui cantonnent la femme dans un rôle ingrât et qui brident toute la population.pourquoi se casser la tête ici bas pour une foutue médaille alors que la belle vie nous attend outre tombe doivent se dire de nombreux musulmans.
Tu t'es base sur quoi? Connais tu l'importance du sport en Islam? As tu fait des recherches? Le sens commun?
Voici ce que j'ai trouve sur l'importance du sport en Islam.
« Un citoyen physiquement fort est plus valable et mieux aimé de Dieu qu’un croyant de faible constitution » (Hadith rapporté par Moseley).
Ceci implique qu’un bon citoyen doit prendre soin de sa santé, en procédant à une activité physique, préalablement à tout acte cultuel, afin de développer sa force physique et être utile à la société. « Ce sont les actes – dit le Chef du Rite Malékite – qui sanctifient les hommes et non le lieu où ils demeurent ».
L’Islam stimule le comportement agissant du croyant, en préférant le musulman actif au religieux dilettant, ramolli et inactif. Dieu n’agrée point une foi qui n’est pas étayée par des actes (Hadith rapporté par Tirmidhy).
L’Islam soutient, aussi, toute activité qui conforte la structuration sereine et esthétique de l’homme, car dit le Prophète : « Allah est beau et Il aime la beauté
Avec une structuration sportive équilibrée, un fonctionnement somato-physique est assuré, éliminant toute indisposition physiologique ; là, pour l’Islam, le temporel prime le cultuel (c’est-à-dire l’acte du culte).
Toute infraction à cette législation rigide de la Charia et de la Sounna, est un délit catégorique, car la santé, reconnue comme prioritaire, en souffre.
Une heureuse équation entre le temporel et le spirituel demeure le secret de cet équilibre dont dépend la félicité de l’Etre humain.
S’agissant des enseignements coraniques ou « traditionnaires », ils englobent les éléments principaux qui régissent le régime alimentaire, la prévention hygiénique à l’encontre de tout comportement susceptible de porter atteinte à la santé de l’esprit et du corps.
D’autre part, le caractère personnel des devoirs religieux, imposés par l’Islam au croyant, est, certes, moins marqué, dans la masse des obligations canoniques, que l’empreinte socio-économique.
Les impératifs d’ordre communautaire créent, entre citoyens, une co-solidarité sociale qui prime toute pratique dévotionnelle. Tout progrès est, ainsi, conditionné, en premier lieu, par l’épanouissement spontané de l’Etre. Le pragmatisme créateur de l’Islam bien conçu, est un solide garant pour un renouveau réel qui insuffle à l’Etat islamique modernisé , une structuration qui assure le bien-être matériel du peuple.
Ce pragmatisme est étoffé par un dynamisme initiateur qui fait de l’Islam une religion énergique, sans aucune passivité statique ; dans son recueillement serein et pacifique, le croyant, quel qu’il soit, demeure animé, dans son for intérieur illuminé par autant d’énergie et d’ardeur.
*Le comportement naturel du Prophète, dépourvu de tout bigotisme ou religiosité, est caractérisé par les propos de son épouse Aicha qui, questionnée sur ce que faisait son mari, en rentrant au foyer : « Il se comportait – affirme t-elle – comme tous les êtres humains ».
Le Messager d’Allah, Mohammed, n’a pas manqué de donner de bons exemples, dans diverses conjonctures agissantes. Il engagea, un jour, un véritable corps à corps (Mouçâra’) contre un champion arabe, connu sous le nom de Rokana ; Il gagna aisément le round principal par un knock-out décisif. Le Prophète participait, par ses propres chevaux, à des concours hippiques ; comme il s’engageait, d’après le grand traditionniste Boukhari, dans des courses de chameaux.
Auparavant, le lancement de la poudre n’accompagnait guère ce genre de carrousel , jusqu’à l’an 1274 après J.C., lors de la bataille de Tlemcen (Histoire d’Ibn Khaldoun, en parlant de Mérinide Yacoub) (1)
D’autres compétitions se caractérisaient, alors, par des lancements de flèches à arc, des tirs à l’arbalète, ou des armes de trait, escrime (Moussayafa) ou duel (Moubâraza) à l’épée.
Omar Ibn El Khattab, deuxième Khalife du Prophète, a préconisé, ainsi, pour tout citoyen digne, de joindre à une finesse morale, une capacité physique, assise sur une virilité à toute épreuve, animée par un sens sportif, lui-même étoffé par des élans de l’homme courageux et gymnaste, qui se taillait en véritable compétition, avec les grands athlètes en yoga, course ou hippisme.
*La femme musulmane eut sa part dans la compétition sportive, telle l’épreuve de course, qui semble assez loin de certaines contingences féminines. « Tenez bien compte - a affirmé le Messager d’Allah – de l’état de la jeune fille, qui est dans la fleur de son âge et qui aime se divertir » (hadith de Boukhari) Aicha, épouse du Prophète s’y engagea, un jour, contre son mari, dans une course à pied où elle eut le dessus. Cette compétition qui réunit un couple, se répéta, plus tard, où Aicha, devenue obèse, fut défaite ; ce qui l’incita, sur ordre de son mari, à observer un strict régime. Une heureuse sveltesse de la ligne s’ensuit. La femme s’y imposait, non seulement, en tant qu’infirmière – comme semblent le préciser, certains publicistes, parmi les non-féministes – mais comme véritable combattante.
Le Prophète a autorisé une de ses compagnes, Oum Haram, à s’engager dans l’avenir, avec son mari Abou Ayyoub, dans la bataille Marine, qui aboutit à la conquête de Constantinople. Son tombeau est bien marqué, aujourd’hui, comme martyre, dans l’île de Crête.
L’historien Ibn Athir a cité Safia comme un exemple sublime d’héroïsme. Edouard Gibb rapporte l’anecdote saisissante de ces femmes de Damas qui, surprises par l’ennemi, alors que leurs maris combattaient, loin de la ville, se défendirent vaillamment : elles manipulaient, à merveille, le dispositif logistique de l’époque et abattirent une trentaine de soldats ennemis, en usant de sabres, lances et flèches. Dans un épisode de la célèbre bataille de Yarmouk, une armée improvisée à la dernière heure, fit subir à l’ennemi, une défaite humiliante. Asmâa, fille de Yazid, tua, à elle seule, neuf soldats. On cite, d’autre part, le cas de plusieurs femmes qui ont combattu, côte à côte, avec leurs maris (dont la nièce et la soeur du Prince Ossâma, lors des Croisades, en Palestine). L’exemple de Ghazala, qui mit en déroute l’armée Omeyyade d’El Hajjaj, est passé en proverbe : Cela n’empêchait guère, les salons littéraires, de rayonner, en Arabie et ailleurs, sous les auspices de dames élégantes, telle Soukaïna, petite fille d’Ali, gendre du Prophète. Chaque capitale avait son salon ; à Bagdad, celui d’Al Fadl, et à Grenade, celui de Meznoun et de Wallada, au IX siècle.
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