Elle as le droit de vote.
Le droit de s'instruire.
Le droit de choisir son futur époux.
Le droit de divorcer.
Le droit de travailler dans tous les secteurs.
Le droit de conduire seule un véhicule.
« La femme algérienne qui a vécu ces étapes historiques (contre le colonialisme) et qui a assumé l'importante tâche de déjouer les différents plans colonialistes destinés à déformer l'identité nationale de ce peuple. Elle a été à l'origine de la conservation de nos valeurs nationales. Cette femme est fière, aujourd'hui, d'être toujours le gardien fidèle et le grand défenseur de la personnalité et de l'unité nationales. La femme algérienne appelle toutes les femmes travailleuses, paysannes, mères de famille, étudiante, célibataire, à la vigilance, afin de faire échec à tous les plans contre-révolutionnaires et isolationnistes tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Elle appelle également aux acquis de la révolution socialiste. La femme algérienne dénonce tout mépris à l'égard des principes inscrits dans la charte nationale dont le contenu est irréversible. Elle condamme également tous les éléments qui cherchent à porter atteinte à nos acquis et à minimiser nos réalisations nationales en adoptant des slogans vides de tout contenu afin d'exploiter les sentiments des masses pour les détourner des tâches d'édification ».
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Extrait de la Charte Nationale: ( il vaut d'être cité intégralement)
« La condition de la femme, que l'éthique féodaliste et des traditions contraires à l'esprit émancipateur de l'Islam ont longtemps ravalée à un rang injuste dans la société algérienne avec, pour corollaires, la restriction de ses droits, des attitudes discriminatoires à son égard, l'ignorance et des tâches plus ou moins pénibles selon le milieu social, s'est beaucoup améliorée depuis la guerre de libération nationale. Il n'en demeure pas moins que sa promotion légitime exige encore des efforts constants et des initiatives courageuses. Cette promotion loin d'être subordonnée au rôle patriotique et social que la femme a joué aux côtés de ses compagnons d'armes, est, à la fois, un impératif de l'esprit de justice et d'équité, une exigence dictée par la dialectique du progrès, de la démocratie et de l'édification harmonieuse du pays, une implication absolue de son statut de citoyenne dans une Algérie libre, révolutionnaire et socialiste. Dans l'amélioration du sort de la femme doivent intervenir des actions qui viseront à transformer une sorte d'environnement mental et juridique négatif et parfois préjudiciable à l'exercice de ses droits reconnus d'épouse et de mère, et à sa sécurité matérielle et morale. Ainsi, il devra être mis un terme à la pratique de la dot exorbitante et ruineuse, à l'abandon par des maris peu scrupuleux d'enfants laissés à leurs mères démunies de ressources, à l'enlèvement injustifié d'enfants arrachés à l'affection maternelle, aux divorces non motivés et sans garanties de pension ni de soins, aux violences exercées impunément contre les femmes, à leur exploitation par une catégorie d'éléments anti-sociaux. Quoi qu'il en soit, c'est encore la femme qui reste le meilleur défenseur de ses propres droits et de sa dignité, tant par son comportement et ses qualités, que par une lutte inlassable contre les préjugés, les injustices et les humiliations. L'Etat, qui lui a déjà reconnu tous les droits politiques, est engagé au service de l'éducation et de la promotion inéluctable de la femme algérienne».
Le droit de s'instruire.
Le droit de choisir son futur époux.
Le droit de divorcer.
Le droit de travailler dans tous les secteurs.
Le droit de conduire seule un véhicule.
« La femme algérienne qui a vécu ces étapes historiques (contre le colonialisme) et qui a assumé l'importante tâche de déjouer les différents plans colonialistes destinés à déformer l'identité nationale de ce peuple. Elle a été à l'origine de la conservation de nos valeurs nationales. Cette femme est fière, aujourd'hui, d'être toujours le gardien fidèle et le grand défenseur de la personnalité et de l'unité nationales. La femme algérienne appelle toutes les femmes travailleuses, paysannes, mères de famille, étudiante, célibataire, à la vigilance, afin de faire échec à tous les plans contre-révolutionnaires et isolationnistes tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Elle appelle également aux acquis de la révolution socialiste. La femme algérienne dénonce tout mépris à l'égard des principes inscrits dans la charte nationale dont le contenu est irréversible. Elle condamme également tous les éléments qui cherchent à porter atteinte à nos acquis et à minimiser nos réalisations nationales en adoptant des slogans vides de tout contenu afin d'exploiter les sentiments des masses pour les détourner des tâches d'édification ».
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Extrait de la Charte Nationale: ( il vaut d'être cité intégralement)
« La condition de la femme, que l'éthique féodaliste et des traditions contraires à l'esprit émancipateur de l'Islam ont longtemps ravalée à un rang injuste dans la société algérienne avec, pour corollaires, la restriction de ses droits, des attitudes discriminatoires à son égard, l'ignorance et des tâches plus ou moins pénibles selon le milieu social, s'est beaucoup améliorée depuis la guerre de libération nationale. Il n'en demeure pas moins que sa promotion légitime exige encore des efforts constants et des initiatives courageuses. Cette promotion loin d'être subordonnée au rôle patriotique et social que la femme a joué aux côtés de ses compagnons d'armes, est, à la fois, un impératif de l'esprit de justice et d'équité, une exigence dictée par la dialectique du progrès, de la démocratie et de l'édification harmonieuse du pays, une implication absolue de son statut de citoyenne dans une Algérie libre, révolutionnaire et socialiste. Dans l'amélioration du sort de la femme doivent intervenir des actions qui viseront à transformer une sorte d'environnement mental et juridique négatif et parfois préjudiciable à l'exercice de ses droits reconnus d'épouse et de mère, et à sa sécurité matérielle et morale. Ainsi, il devra être mis un terme à la pratique de la dot exorbitante et ruineuse, à l'abandon par des maris peu scrupuleux d'enfants laissés à leurs mères démunies de ressources, à l'enlèvement injustifié d'enfants arrachés à l'affection maternelle, aux divorces non motivés et sans garanties de pension ni de soins, aux violences exercées impunément contre les femmes, à leur exploitation par une catégorie d'éléments anti-sociaux. Quoi qu'il en soit, c'est encore la femme qui reste le meilleur défenseur de ses propres droits et de sa dignité, tant par son comportement et ses qualités, que par une lutte inlassable contre les préjugés, les injustices et les humiliations. L'Etat, qui lui a déjà reconnu tous les droits politiques, est engagé au service de l'éducation et de la promotion inéluctable de la femme algérienne».
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