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Une étude découvre l’imposture de la chimiothérapie

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  • #31
    Thérapie du Jeune appliquée à Grande échelle en RUSSIE

    Montré il y a quelques temps sur ARTE, un documentaire à montré dans un hopital spécialisé en Russie, que sur 10.000 patients traité avec cette technique, les 2/3 se sont rétablis de leur maladie, après une ou plusieurs cures !
    Dernière modification par absent, 30 novembre 2013, 18h22.

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    • #32
      Voici le Documentaire ARTE :

      "LE JEÛNE" - LA NOUVELLE THÉRAPIE"


      Documentaire étonnant et instructif !

      Dernière modification par absent, 30 novembre 2013, 20h23.

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      • #33
        Le silence sur les travaux du Docteur Gernez La preuve du Complot Mo

        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #34
          Malgré tout ce que je viens de lire ici,

          je n'arrive pas à croire totalement à cette histoire du Dr Gernez !

          Surtout que si le silence sur ses travaux est voulu, et que çà dure depuis plusieurs dizaines d'années déjà !?!

          Donc, soit il y a vraiment quelques choses qui cloche dans ses recherches.

          Soit que dans les sociétés occidentales, tout est mensonge sur tous les plans !

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          • #35
            C'est bien Sidmark tu commences à toucher du doigt la gigantesque escroquerie de ce système... et sur tous les plans... A partir du moment où le gros des recherches est financé par les grands groupes tout va dans leur sens...
            Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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            • #36
              Phase orthoplasique de la prévention des cancers.

              Une compétition se produit entre les cellules normales (orthoplasiques) et les cellules mutées (dysplasiques). Comme déjà indiqué, dans l’immense majorité des cas, cette compétition se fait en faveur des cellules orthoplasiques. Il s’agit de favoriser dans la compétition cellulaire les cellules normales et de défavoriser les cellules anormales potentiellement cancéreuses.
              Nous citerons les principaux moyens.

              1 – Réduction alimentaire :

              a – Réduction de la ration calorique globale.

              « Tous les expérimentateurs ont remarqué depuis longtemps que la cancérisation, volontairement provoquée chez les animaux, est réduite lorsque leur régime est quantitativement allégé d'aliments, pourvu que ceux-ci restent équilibrés. Depuis un demi-siècle, tous les chercheurs ont constaté ce phénomène. » Docteur André Gernez.
              Le Pr. Walford, Prix Nobel, constatait dans un travail de 1971 que lorsqu'on réduit d'un tiers la ration alimentaire des animaux d'expérience (en maintenant une ration complète de vitamines et d’aliments essentiels), ils contractent 10 à 60% de cancers en moins.1 L'homme ne diffère pas des autres mammifères. On sait, depuis qu'existent les statistiques des compagnies d'assurance, que les gens pléthoriques contractent plus fréquemment le cancer. Une étude récente le confirme.2
              La réduction quantitative des aliments au cours de la cure annuelle de décancérisation est la première condition.
              Un régime appauvri en calories, par le fait que cette réduction diminue la sollicitation métabolique des cellules de l'organisme, tend à maintenir ou à rétablir la relation anabolisme inférieur ou égal à réceptivité qui conditionne

              l'extinction des cellules mutées,1 dont des cellules cancéreuses. Elle constitue en outre le seul moyen – hors pathologie – de provoquer une acidose durable de l'organisme, par consommation de ses réserves, dont nous verrons l'influence.

              b – Réduction de la ration glucidique.2
              Les cellules cancéreuses sont avides de sucres. Une observation intéressante de Warburg*: «*le fructose tout comme le glucose est transformé par scission en acide lactique. Toutefois, le sucre de canne n’est pas attaqué, d’où il appert que le cancer ne peut invertir le sucre de canne.*»3
              Le tissu cancéreux est avide de sucre. Il faut réduire l’apport en sucre.

              c – Diminution des aliments riches en cholestérol et de la viande rouge.
              « D'après les effets constatés chez les animaux, les viandes crues ou peu cuites et les aliments riches en cholestérol favorisent l'éclosion des cancers provoqués. » Docteur André Gernez.
              Cette progression est observée dans l'espèce humaine chaque fois qu'une population accroît son niveau socio-économique, qui s'accompagne d'un accroissement parallèle de consommation de ces aliments.4




              2 – Rôle de l’acidose métabolique.

              « L'acidose constitue un état défavorable au développement de la cellule cancéreuse, l'alcalose contribuant à son éclosion. » Cette règle a été établie par le savant états-unien Reding.
              Warburg fut le premier à en faire l'observation et à l'expliquer. À partir d'un certain degré d'acidification, le cancer ne peut plus utiliser le sucre dont il est friand.
              Les statistiques montrent que les records mondiaux de non-cancérisation sont détenus par les groupes humains qui se singularisent par un record de périodes d'acidose, quelle qu'en soit l'origine :
              - conditions de vie*(malnutrition),
              - habitudes alimentaires (monastiques),
              - maladies : urémie ; artériosclérose : chez les artérioscléreux (chez qui une hypermagnésinémie anormale est par ailleurs constante), le taux de cancérisation passe de 35,7% à 18,7%. Il en est de même dans la néphrite azotémique ; le diabète grave. Cette corrélation négative entre cancer et diabète, constatée anciennement lorsque le diabète n'était pas corrigé, est retrouvée de nos jours chez les Indiens d'Amérique du Nord, chez qui la grande fréquence du diabète est associée à un très faible taux de cancérisation (5897 décès de 1950 à 1967).
              - habitudes sociales (certaines populations asiatiques).

              Il en est de même pour les groupements cellulaires qui constituent l'organisme, et pour la même raison. Le taux le plus bas de cancérisation est détenu par le tissu le plus acidosique, le muscle (pH<7) qui ne se cancérise pratiquement jamais et qui est si peu favorable à la cancérisation que les métastases (extensions lointaines) des cancers des autres organes sont incapables de s'y greffer, alors que tous les autres tissus, même l'os, les hébergent.
              Les rares cancers dont la guérison est spontanée (1 cas sur 90.000), guérissent toujours à la suite d'une fièvre intense et prolongée dont la traduction sur le milieu cellulaire de l'organisme est une acidose.
              L'utilisation, depuis plus d’un demi-siècle, de médicaments anti-infectieux majeurs (antibiotiques) et l’utilisation quasi systématique de produits contre la fièvre a éliminé ces épisodes acidosiques provoqués par le banal cortège des infections fébriles banales (angines, abcès, etc.) qui sont combattues maintenant dès leur apparition. La disparition de ces périodes acidosiques spontanées participe à l'accroissement de la cancérisation, l'effet de ces phases acidosantes1 étant d'autant plus important que les cellules cancéreuses sont peu développées.
              Remarque*: une acidose sanguine entraîne une alcalose des tissus qui elle peut être toxique. La solution n’est pas d’acidifier notre sang en permanence mais par période pour concourir à éliminer les cellules mutées.
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #37
                3 – Supplémenter en «*substances vitales*»*: vitamines et oligo-éléments.

                Au début du XXème siècle, le Pr. Pierre Delbet compara la fréquence du cancer et la teneur en magnésium du sol. Il apparut que les pays, comme la Belgique, dont le sol est pauvre en magnésium, détiennent des records de cancérisation.1
                L'antagonisme entre magnésium et cancer était tellement évident qu'on crut, à une certaine époque, que la carence en magnésium était la seule cause du cancer. En fait, il s'agissait d'une des carences dont l'existence défavorise la cellule saine dans la sélection cellulaire.
                Depuis lors, on découvrit d'autres carences favorisant également la concurrence que les cellules anormales font aux cellules saines et favorisant donc la cancérisation. C'est ainsi qu'une carence en fer favorise une forme de cancer de la gorge en Suède, une carence en cuivre, le cancer de l'estomac en Angleterre, alors qu'au Japon, qui détient le record du cancer de l'estomac, la carence porte sur la vitamine B.
                L'insuffisance de ces éléments nécessaires à la cellule saine pour soutenir victorieusement la concurrence des cellules anormales favorise la survie et l'implantation des cellules cancéreuses.

                Mais le magnésium présente toutefois une importance particulière parce qu'il est indispensable à toutes les cellules de l'organisme pour que leurs divisions s'effectuent normalement, alors que les cellules cancéreuses se satisfont, pour leurs divisions, de catalyseurs de substitution. Une insuffisance de magnésium constitue donc un facteur spécialement favorable à l'ensemble des cellules cancéreuses de l'organisme dans la sélection cellulaire.
                Pourquoi cette carence en magnésium a-t-elle une portée générale ?
                Quand on considère le schéma de la synthèse de l'ARN (acide ribonucléique, un des deux acides observés dans les noyaux de la cellule), une particularité frappe l'observateur. À presque toutes les étapes du schéma, on remarque les lettres Mg. C'est le magnésium. Il est nécessaire pour que s'organise l'ARN terminal. Or l'ARN est l'acide qui règle la division cellulaire. Le magnésiumintervient directement pour que les cellules effectuent normalement leur division.
                Vient-il à manquer ? La division s'effectue tout de même, mais moins bien. La cellule y procède en substituant à ce catalyseur naturel un ersatz : le potassium par exemple. Cette substitution ne gêne pas la cellule cancéreuse qui, au contraire de la cellule saine, est beaucoup moins difficile et utilise indifféremment d'autres catalyseurs de moindre qualité.
                La carence magnésienne qui agit, dans un sens favorable à la cellule cancéreuse dans la sélection cellulaire, est un phénomène qui, autrefois limité à certaines régions qui en sont géologiquement démunies, tend à s'universaliser en raison d'apports surabondants, eux aussi substitutifs, comme les engrais potassiques, dans les habitudes culturales modernes.
                Les colloques, rapports, congrès études diverses sur cette question sont innombrables et attribuent au magnésium un rôle central dans la plupart des dysfonctionnements de nos cellules.
                Un apport magnésien de principe doit donc être fourni à l'organisme pour en assurer la recharge de ses cellules. Cette recharge est particulièrement lente, surtout chez les gens qui constitutionnellement fixent difficilement cet élément, et cet apport doit être maintenu pendant la cure. Cet apport devrait d’ailleurs être constant par cures périodiques, par exemple de 20 jours par mois, sous surveillance médicale avec contrôle du magnésium sanguin et globulaire.

                4 – L’oxygénation.

                On sait depuis longtemps que « s'il survient dans un tissu une cause quelconque qui le prive d'oxygène, les cellules capables de se nourrir par fermentation subsistent seules. De cette façon s'opère une sélection entre les cellules qui pourront non seulement continuer à vivre mais encore à se développer plus activement. » (Warburg). Or ces cellules qui peuvent se passer d'oxygène en lui substituant une fermentation, ce sont les cellules cancéreuses.
                La correction d'une hypoxie (diminution de l'apport d'oxygène au sein des tissus) est donc un facteur favorisant les cellules saines qui sont plus tributaires d'une oxygénation suffisante que les cellules cancéreuses qui supportent sans inconvénient cet état.
                Il faut favoriser cette oxygénation.
                La suppression du tabac pendant la cure est nécessaire. L'oxyde de carbone inhalé par le fumeur se fixe sur les globules rouges du sang en prenant la place de l'oxygène. « Une cigarette dégage 20 à 30 cm cube d'oxyde de carbone et un fumeur a 12% d'oxygène dans le sang. » Si la consommation excède 20cigarettes cette réduction d'oxygène fixé par le sang persiste même après l'abstention nocturne du tabac.
                Aux procédés, comme la gymnastique respiratoire, s'ajoutent le recours à des substances naturelles, comme la vitamine C, qui restitue de l'oxygène aux tissus au fur et à mesure de leurs besoins, et à des substances médicamenteuses, comme le cytochrome oxydase, les anticoagulants (qui liquéfient le sang) et les fibrinolytiques (qui dissolvent la sclérose). Expérimentalement, chez l'animal, ces substances défavorisent l'éclosion ou l'extension du cancer.

                Conclusions.

                Telles sont les principales conditions connues qui défavorisent les cellules cancéreuses nouvellement formées dans la compétition avec les cellules saines environnantes pour survivre et se développer, et qui favorisent les cellules saines.
                C'est le cas de l'organisme jeune qui dispose d'une plus grande abondance de cellules souches et d'une moindre usure des cellules fonctionnelles, ce qui aboutit à une dominance pratiquement obligatoire des cellules saines chez une personne jeune et qui rend inutile – sinon souhaitable – une cure annuelle de décancérisation. Cette cure de prévention des cancers s'imposera dès l’âge quadragénaire.
                Notes : Avec l'âge se produit une réduction progressive du stock de cellules capables de se diviser (cellules génératrices ou souches) ; c'est ce qu'on appelle «*la réduction des parenchymes.*»1
                Nous avons vu que, dans une même population, les individus que les circonstances soumettent à une destruction chimique involontaire des micro-cancers, encore indécelables, sont ceux dont le taux de cancérisation est le plus bas.
                On a recherché aussi qu'elle était, des diverses populations humaines, celles dont le taux de cancérisation était le plus bas. Ce taux est détenu par une population asiatique (les Hounzas2) chez qui les missions médicales qui ont étudié cet étrange phénomène n'ont décelé aucun cancer. Cette population procède de temps immémoriaux à une cure annuelle qui correspond à l’essentiel des données qui viennent d’être exposées.
                IV – Chasse terminale des micro-cancers.

                Durant les derniers jours de la cure, il est souhaitable de procéder à la destruction des micros-cancers ayant pu survivre à la cure orthoplasiante, par des produits anticancéreux.
                Cette purge des micro-cancers résiduels comportant un faible nombre de cellules (16 en moyenne à la fin de la première année d'évolution, 1.000 cellules au bout de 3 ans), complète le nettoyage de l'organisme.
                Nous avons vu qu'elle implique l'usage de médicaments anticancéreux, à très faible dose (la dose nécessaire à la destruction d'un cancer est proportionnelle au nombre des cellules qu'il contient et cette dose, au stade initial, est négligeable).1

                La procédure chimique terminale de la cure préventive ne se différencie pas essentiellement de la procédure curative du cancer évolué. La seule différence est qu'elle s'adresse à des formations constituées d’un nombre réduit de cellules au lieu d'au moins un milliard de cellules pour les cancers détectés au tout début de leur émergence clinique (ce qui malheureusement est un cas rare*: l’écrasante majorité des cancers sont détectés à un stade beaucoup plus évolué).
                La charge médicamenteuse, qui est proportionnelle à la masse cancéreuse, est négligeable au stade initial. Elle doit se conformer à la technique de synchronisation.2 La synchronisation consiste à bloquer les cellules en phase de division (phase de vulnérabilité) par un premier agent puis donner un produit qui relance les divisions cellulaires et les jours suivants on administrera un agent éradicateur.
                Il convient de noter que l'agent cytostatique initial (blocage mitotique) aboutit, si la concentration est plus élevée, à une action antimitotique partielle mais suffisante au stade d'évolution paucicellulaire (103 cellules) concerné, pouvant remplacer le second agent.
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #38
                  Je crois avoir lu récemment ( en diagonal ) un article parlant de ça !

                  Si ça se confirme , ceci bouleversera le marché des médicaments anti
                  cancers et plongera médecins et malades dans le doute et la peur !
                  « Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE

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                  • #39
                    Merci SOLAS pour ton dernier article posté.

                    C'est très instructif !

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                    • #40
                      Si ça se confirme , ceci bouleversera le marché des médicaments anti
                      cancers et plongera médecins et malades dans le doute et la peur !
                      Ca ne boulversera rien du tout ça fait presque 50 ans que c'est su... Il faut savoir une chose, tu peux gagner le combat scientifique, mais si ton adversaire gagne le combat idéologique tu es considéré comme un clown par tout le monde même si tu es le seul à avoir raison! Un exemple vaut mieux qu'un long discours: Galilée... Ou plus récemment chaud ananas...
                      Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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                      • #41
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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