Ce n'est pas une news réjouissante mais c'est parce qu'il faut quand même en parler. Pour ne pas que cela se reproduise pas, pour qu'il y ait le moins possible de négligence ou d'attitude désinvolte lorsque l'on est professionnel de santé et que l'on a la vie des gens entre ses mains. C'était une première grossesse et la maman savait qu'elle allait et avait mal et mais ne pouvait comprendre ce qui se passait en elle. Alors après devoir subir une césarienne et apprendre que son bébé est mort, c'est terrible et c'est traumatisant pour cette famille meurtrie et endeuillé.
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La dénommée N. A., 24 ans, n’a pu avant-hier mettre au monde son enfant, qui est mort dans son ventre au service de chirurgie obstétrique de l’hôpital de Saïda, a-t-on appris de source concordante.
En effet, cette femme qui allait enfanter pour sa première fois ce 6 du mois courant à la suite de sa consultation par un médecin privé de son lieu de résidence à Sidi Boubekeur (29 km au nord du chef-lieu de la wilaya) s’est vue selon la même source priée par le personnel médical du service de chirurgie obstétrique de quitter les lieux.
Pis encore, la femme malade sera auscultée une seconde fois par le médecin privé en date du 16 du même mois et signifiera à son mari (N. A. )que son enfant est à la limite d’être procrée.
Mais là encore les responsables de la maternité lui refont la même scène et lui ordonne de quitter les lieux.
Seulement avant-hier les médecins ont été obligé de pratiquer une césarienne pour extorquer le bébé du ventre de sa mère étant donné qu’il était décédé non pas d’une mort naturelle mais dû à l’incompétence des uns et la négligence des autres.
En tout état de cause, le mari malheureux a bel et bien déposé comme tant d’autres habitants une plainte pour non assistance à personne en danger.
Par la nouvelle république
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La dénommée N. A., 24 ans, n’a pu avant-hier mettre au monde son enfant, qui est mort dans son ventre au service de chirurgie obstétrique de l’hôpital de Saïda, a-t-on appris de source concordante.
En effet, cette femme qui allait enfanter pour sa première fois ce 6 du mois courant à la suite de sa consultation par un médecin privé de son lieu de résidence à Sidi Boubekeur (29 km au nord du chef-lieu de la wilaya) s’est vue selon la même source priée par le personnel médical du service de chirurgie obstétrique de quitter les lieux.
Pis encore, la femme malade sera auscultée une seconde fois par le médecin privé en date du 16 du même mois et signifiera à son mari (N. A. )que son enfant est à la limite d’être procrée.
Mais là encore les responsables de la maternité lui refont la même scène et lui ordonne de quitter les lieux.
Seulement avant-hier les médecins ont été obligé de pratiquer une césarienne pour extorquer le bébé du ventre de sa mère étant donné qu’il était décédé non pas d’une mort naturelle mais dû à l’incompétence des uns et la négligence des autres.
En tout état de cause, le mari malheureux a bel et bien déposé comme tant d’autres habitants une plainte pour non assistance à personne en danger.
Par la nouvelle république
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