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Une femme tunisienne se débarrasse de son hijab après 18 ans

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  • #16
    N'importe quoi , du début à la fin....

    La société tunisienne est une société machiste ou l’homme a toujours eu le dernier mot surtout quand il s’agit de contrôler la femme
    Vraiment n'importe quoi....

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    • #17
      Des tunisiennes se débarrassent du Hidjab elles sortent de l’obscurité vers la lumière.
      Les autres doivent être des vampires, elles ont peur de la lumière

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      • #18
        La société tunisienne est une société machiste ou l’homme a toujours eu le dernier mot surtout quand il s’agit de contrôler la femme
        je dirais comme Wendy ..du grand n'importe quoi
        en Tunisie,c'est la femme qui porte la culotte , et les hommes se font taper par leur femme , wallah j'en connais un dés que sa femme lève la voix il se pisse dessus meskine
        si elle veut oter son voile ,grand bien lui fasse ,mais il faut arréter de diaboliser les choses pour se justifier
        "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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        • #19
          Maintenant elles peuvent faire comme celles qui ont exposées leurs corps au pyramide du Louvre
          Galak la liberté

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          • #20
            Une femme qui enlève son Hidjab et voila qu'on titre : "Des tunisiennes se débarrassent du Hidjab ... "
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #21
              Je l'ai découverte (la lumière) le jour ou j'ai mis mon voile
              N'oublie pas des lunettes de soleil!
              Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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              • #22
                salam

                pauvre journaliste , on sent bien sa frustration

                Les autres doivent être des vampires, elles ont peur de la lumière
                dahketni hadi, voilée et on m'appel le vampire, par hasard
                انحبكم

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                • #23
                  je pense qu'une femme qui abondonne son hidjeb sort de la lumiere et va a l'enfer

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                  • #24
                    il faudrait se débarrasser des préjugés et des jugement personnel pour être convainquant

                    je ne voie pas pourquoi un bout de tissus crée autant de polémiques

                    Acceptons-nous les uns les autres, nous n'en irons que mieux!

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                    • #25
                      Les Tunisiennes sont les femmes arabes ayant le plus de droits que toutes les autres.
                      Il est vrai que le voile entame l'émancipation de la femme mais chacun est libre de s'habiller comme ca lui chante.
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                      • #26
                        Cette histoire me semble être assez douteuse!

                        Comment une femme a pu vivre pendant 19 ans en tant que salafiste portant selon elle un hidjab noir et austère par contrainte et soumission, peut du jour au lendemain devenir une militante anti-voile sur Internet et postant notamment une photo d'elle fêtant Noël?!

                        La femme est soit une menteuse qui a inventé toute cette histoire pour s'offrir son quart d'heure de célébrité sur Internet, soit elle est mentalement instable après 19 ans de "soumission"!

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                        • #27
                          Le sorti du livre c'est pour quand ??

                          Commentaire


                          • #28
                            Fawzia Zouari : mon quart d’heure de colère
                            Il y a des jours où je regrette d’être née arabe.
                            Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions diffusées sur fond de versets coraniques.
                            Les jours où je regarde les cadavres joncher les rues de Bagdad ou de Beyrouth par la faute des kamikazes ; où des cheikhs manchots et aveugles s’arrogent le droit d’émettre des fatwas parce qu’ils sont pleins comme des outres de haine et de sang ; où je vois des petites filles, les unes courir protéger de leur corps leur mère qu’on lapide, et les autres revêtir la robe de mariée à l’âge de 9 ans.
                            Et puis ces jours où j’entends des mamans chrétiennes confier en sanglotant que leur progéniture convertie à l’islam refuse de les toucher sous prétexte qu’elles sont impures. Quand j’entends pleurer ce père musulman parce qu’il ne sait pas pourquoi son garçon est allé se faire tuer en Syrie. À l’heure où celui-ci parade dans les faubourgs d’Alep, kalachnikov en bandoulière, en attendant de se repaître d’une gamine venue de la banlieue de Tunis ou de Londres, à qui l’on a fait croire que le viol est un laissez-passer pour le paradis.
                            Ces jours où je vois les Bill Gates dépenser leur argent pour les petits Africains et les François Pinault pour les artistes de leur continent, tandis que les cheikhs du Golfe dilapident leur fortune dans les casinos et les maisons de charme et qu’il ne vient pas à l’idée des nababs du Maghreb de penser au chômeur qui crève la faim, au poète qui vit en clandestin, à l’artiste qui n’a pas de quoi s’acheter un pinceau. Et tous ces croyants qui se prennent pour les inventeurs de la poudre alors qu’ils ne savent pas nouer une cravate, et je ne parle pas de leur incapacité à fabriquer une tablette ou une voiture. Les mêmes qui dénombrent les miracles de la science dans le Coran et sont dénués du plus petit savoir capable de faire reculer les maladies. Non !
                            L’Occident, ces prêcheurs pleins d’arrogance le vomissent, bien qu’ils ne puissent se passer de ses portables, de ses médicaments, de ses progrès en tous genres.
                            Et la cacophonie de ces « révolutions » qui tombent entre des mains obscurantistes comme le fruit de l’arbre.

                            Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège
                            Ces islamistes qui parlent de démocratie et n’en croient pas un mot, qui clament le respect des femmes et les traitent en esclaves. Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège, qui revendiquent le statut de coépouse, de complémentaire, de moins que rien ! Et ces « niqabées » qui, en Europe, prennent un malin plaisir à choquer le bon Gaulois ou le bon Belge comme si c’était une prouesse de sortir en scaphandrier ! Comme si c’était une manière de grandir l’islam que de le présenter dans ses atours les plus rétrogrades.
                            Ces jours, enfin, où je cherche le salut et ne le trouve nulle part, même pas auprès d’une élite intellectuelle arabe qui sévit sur les antennes et ignore le terrain, qui vitupère le jour et finit dans les bars la nuit, qui parle principes et se vend pour une poignée de dollars, qui fait du bruit et qui ne sert à rien !
                            Voilà, c’était mon quart d’heure de colère contre les miens. Ouf !
                            Par Fawzia Zouari
                            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                            • #29
                              Elle me fait penser à une aristocrate iranienne dans les années 1970... complètement déconnectée du peuple.

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                              • #30
                                19 ans comme ça en jilbab donc meme pas un voile en couleur ? en tunisie ? c est difficile à croire quand je me rappelle d'une copine ici, qui devait enlever son voile pour se prendre en photo et aller au consulat de Tunisie ( pour ne pas avoir des problemes disait-elle ) et quand je me rappelle qu'une amie Algerienne , voilée, qui allait il y a des années en Tunisie, me disait que des voitures de policier la surveillait parfois.

                                un tunisien me disait à cette époque que les policiers pouvaient elever les voiles des filles ou les embêter à cause de ça.

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