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Chez-moi, à la base ca veux dire m'appuyer sur quelque chose (n-tekka 3la el-hîtt = je m'appuie sur le mur, e-tekka 3liyya = appuies-toi sur moi ... etc.) Ensuite, le sens s'étend courament à l'idée de se reposer (n-rôh n-tekka chwiya = "je vais aller m'allonger un peu", "me reposer un peu", "faire un petit somme") et arrive enfin à des situations moins évidentes à deviner pour un non initié (e-tekka 3lîh = "il s'est appuyé sur lui" ou "il s'est abattu sur lui", "il l'a eu par surprise", "il l'a tėrassé")
"L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
Harrachi "e-tekka 3lîh" ou plutôt ma tekkich 3lih ( que j ai plus entendu) serait ne compte pas sur lui...ou tekki 3ih hlik genre la personne te fera défaut, ne compte que sur toi même
IsKa vous voyez vers chez moi , je m allonge , je dis nkessel ( j espère c est pas péjoratif cette fois ci)...en parlant d une sieste ...norgoud pour dormir la nuit
Netteka. ou narkaz me mètre sur une orientes ou canapie ....sa viene du mot rkiza appuis sur quelque chose .. sa symbolise toujour la famille ,maison ou les siens comme le cas rkiza el dar ....c'est la femme
sa allonger ...veux dire natkacel et sa soir veux dire nqa3de ou nga3maz
Harrachi "e-tekka 3lîh" ou plutôt ma tekkich 3lih ( que j ai plus entendu) serait ne compte pas sur lui...ou tekki 3ih hlik genre la personne te fera défaut, ne compte que sur toi même
Je crois que c'est plutôt mâ t-etkelchi 3lîh et, en effet, ca veux dire "ne comptes pas sur lui". En somme, y-etekkâ dérive de l'arabe classique y-atakkî' ("se caler sur ..."), alors que y-etkel vient du classique y-attakil ("compter sur ...").
"L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
Parlant de la fievre, lorsque la fievre baisse on dit haf'tet هَـفْـتَتْl'homa. Et pour un medicament qui contribue a baisser la fievre, on dit cet medicament y'ha'fetيْهَّـفَّـتْl'homa.
y'ha'fet s'emploie aussi pour la douleur: had ed'wa y'ha'fetes'tar (cet medicament soulage la douleur). Un autre mot exprimant la meme chose: had ed'way'khe'fetيْخَّـفَّـتْes'tar (douleur). Autre exemple: rahou kh'fetlouخْـفَّـتْلو es'tar (sa douleur s'est attenuee).
It ain't what you don't know that gets you into trouble. It's what you know for sure that just ain't so -- Attributed to Mark Twain
Chez-moi, à la base ca veux dire m'appuyer sur quelque chose (n-tekka 3la el-hîtt = je m'appuie sur le mur, e-tekka 3liyya = appuies-toi sur moi ... etc.) Ensuite, le sens s'étend courament à l'idée de se reposer (n-rôh n-tekka chwiya = "je vais aller m'allonger un peu", "me reposer un peu", "faire un petit somme") et arrive enfin à des situations moins évidentes à deviner pour un non initié (e-tekka 3lîh = "il s'est appuyé sur lui" ou "il s'est abattu sur lui", "il l'a eu par surprise", "il l'a tėrassé")
Il y a aussi te'kaweh = dheb'houh = ils l'ont egorge (que ca soit pour un humain ou une bete). Je pense qu'on peut l'utiliser aussi pour signifier la liquidation physique d'une personne sans pour autant utiliser l'arme blanche.
Parlant de liquidation physique, pour dire "ils l'ont tue", autres mots sont utilises aussi comme: ata'wehأَطاوَهْ, tiq'rouh تِيقْروهْ, qarb'3ouh قَـرْبْعوهْ...
(Ca fait rappeler yemat bouchkara.)
It ain't what you don't know that gets you into trouble. It's what you know for sure that just ain't so -- Attributed to Mark Twain
Tout a fait. Il m'a toujours semblé que cette profusion de termes métaphoriques pour parler de la liquidation physique de quelqu'un datent de l'époque ...
"L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
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