Quelle est la chanson que vous détestez ?

[Châma]

AAAAH! Lorie! Mes oreilles!
Mon cerveau!!!!
Il fond, au secours!

[absente]

Tad: tu vois juste et je rajoute que je suis dans une ville où apparement tu as déjà vécut. J'ai lu que tu as fais des études ici dans un autre topic.

Amdakliw Akavac est une personne pétrie d'humour. Mais, il est très discret quelques fois.

C'est qui cette Lorie? Aux dernières nouvelles, j'ai un plus de six ans. (Désolée pour les fans de Lorie).

[Tad]

Ahhhhhhhhhh je vois trés bien dans quelle ville tu peux habiter...Que de souvenirs me raccrochent à ce lieu

Si c'est une personne qui sait concilier humour et savoir vivre, c'est surement quelqu'un de bien. Sérieusement, c'est comme ça que tu l'appelles ton ami ?

Tu connais pas Lorie ? Tu ne serais pas née de l'avant dernière pluie ?

[absente]

Si jamais tu viens faire un pélerinage en ces lieux et que tu nécessites les services d'un guide
Zwina, le connait aussi et elle pourra te dire autant de bien que moi de lui. C'est lui qui s'est donné comme alias cette dénomination: Akavache.

Je dirais que je suis née encore avant l'avant dernière pluie.

[Tad]

Ce serait avec plaisir si jamais il m'est donné l'opportunité de revenir dans ce coin. En fait, bien que j'y ai gardé beaucoup d'amis, je n'y retourne pas souvent, la dernière fois remonte à y a 1 an et demi

Je ne savais pas qu'il existait un autoproclamé akavache sur ce forum

Moi aussi, je suis né à peu près sous le même ciel que toi. Je n'arrive pas à me mettre à l'unisson des nouvelles modes et de ces nouvelles générations.

[HnaFihna]

Moi ce qui me tape sur les nerfs c qu'on je me leve de
bon matin et j'entend le RAI c insupportable

[absente]

Comme j'y suis née même si je quitte cet endroit j'y reviendrais car c'est mon point d'ancrage. En tout cas, si jamais, tu sais qu'il y existe une lilia sympa


J'ai jamais dit où ce trouvait Akavache. J'en ai trop dit à son sujet.

Il y en a de plus vieux que toi et moi qui n'ont pas de mal à rester dans le mouv. Cela me laisse perpléxe.

[dahbia]

bonjour a tous

le rap n zap en francais!
je trouve que c 'est nul

[Tad]

C'est clair ! Mine de rien, on a beau le détester, l'aimer ou le raccrocher à de bons ou mauvais souvenirs, on éprouvera toujorus le besoin nostalgique de revenir vers le petit bout de terre qui nous a vu grandir

Tu as raison, faut pas trop en dire sur akavache

Peut être que ces gens n'ont pas les mêmes valeurs que l'ont peut cultiver. Ou, inversement, ces gens ont peut être trouvé dans ce mouv l'épanouissement qu'ils recherchaient

[absente]

Il y a d'autres qui ne veulent plus en entendre parler. Personnellement, je ne pourrais pas.En ce qui concerne les gens qui n'ont pas envie d'intégrer des valeurs, ils deviennent chaque jours plus nombreux. Sans doute un effet pervers de la société de consommation. La consommation devient plus importante que les valeurs ou que le temps.

[Tad]

Surement comme tu dis un effet pervers du modéle de consommation généralisé et de la mondialisation. Les gens résistent à leur façon devant le rouleau compresseur qui cherche avec férocité à leur imposer leur vue et à le modeler avec un kit toutes pièces en superconsommateur ! Certains résistent car ils sont en désaccord morale, d'autres parce qu'ils sont les laissés pour compte du système, d'autres parce qu'ils ont conscience des périls et des menaces encourus, d'autres ont la hantise de voir leur propre représentation du monde et les valeurs suprêmes s'écrouler...

[absente]

Il y a quand même des gens qui s'y plongent avec un infini délice dans la consommation. Consommer relève désormais au rang d'un art noble et parallèlement d'une activité jouissive.

Certes, il existe les résistants car ils ont eu le malheur d'être tombés en marginalisation face à cette consommation comme tu le dis bien "généralisée" et je rajouterais grâce à la mondialisation.
Cepedant, certain(e)s se refusent encore à voir les périls en la demeurent au rsique de se faire exclure ce qui revient à dire au risque d'être relégués dans un désert social, une sorte de stigmatisation sociale à laquelle ils pourraient s'exposer.

[Tad]

Le problème est que ce système t'impose un modèle de pensée qui te fait dire et croire qu'il est le seul à être viable, et qu'en dehors de lui même, nul salut ne peut être trouvé. C'est un peu l'image de la machine essoreuse à millions de tours par minutes, elle recycle bien tout ceux qui sont prédisposés à rentrer dans le moule, et ceux qui ne le sont pas sont stigmatisées, reléguées et traitées soit comme boucs émissaires soit comme victimes expiatoires.

Ceux qui se refusent encore à voir les périls sont surtout ceux qui se prétendent le moins exposés aux périles...mais y a aussi ceux qui tiennent les rênes à tous les niveaux qui savent sciemment qu'elles n'ont pas les mains propres...A qui profitent le crime ? Telle est la question...

[absente]

Le problème que tu soulèves relève encore et toujours d'une sorte d'uniformisation culturelle c'est à dire toujours et encore du problème de l'ethnocide. une culture est prise pour référence fondamentale et absolue au détriment des autres. Ceux qui en sont à la marge sont invités mais fermement à rejoindre les rangs du peloton soit considérés comme personnes non grata devant leur refus permanent.

L'image de la machine que tu proposes me fait penser un peu à la chanson de Pink Floyd "the Wall" sauf qu'ici les tenants du refus ont la part belle alors que dans la réalité il en est tout autre. Ne pas avoir en soi les cadres de références de la société uniformisée revient à dire ou à parler d'exclusion.

A qui profite le crime? Je dirais à ceux qui y ont des intérêts.

[Tad]

Suis d'accord avec ton point de vue. J'ajouterai juste que le phénomène que tu expliques a de tout temps existé. Chaque groupe a toujours cherché à imposer ses vues qu'ils considéraient comme référentielles sur l'autre. Avant c'était par la loi du talion, par la religion, maintenant c'est par l'économie, et demain, ce sera par autre chose...

Tout à fait, seuls qui ont des intérêts en jeu profitent du système. C'est terrible à dire, mais ces personnes ne raisonnent plus en termes de bien ou de mal mais juste en terme de maintien ou d'accroissement de leurs intérêts