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La fille de Sellal citée dans les Panama Papers

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    Le Desk répond aux chayyatas.

    Panama Papers : Le Desk marocain répond aux médias algériens qui l’accusent d’un « montage grotesque »
    A LA UNEACTUALITÉPOLITIQUE29.05.2016 21:00
    Le journal marocain Le Desk, détenu par Ali Amar, un des opposants au Palais royal, a apporté une « mise au point » à ce qu’ont écrit, dit-il, certains médias algériens sur les révélations qu’il a rapportées dans le cadre des « Panama Papers ». Au moins deux médias, Ennahar et Algerie 1, ont été cités dans la mise au point qu’il a signée lui-même sous le titre « En réponse à des médias algériens qui tentent d’étouffer l’affaire Sellal ».


    Ali Amar dénonce les accusations faites par Ennahar et Algérie 1 selon lesquelles les révélations du journal Le Desk sont un « montage grotesque » visant à « salir » la réputation de Rym Sellal. Photo : DR
    Malik Moffok

    Ali Amar dénonce les accusations faites par Ennahar et Algérie 1 selon lesquelles les révélations du journal Le Desk sont un « montage grotesque » visant à « salir » la réputation de Rym Sellal en associant le scandale Panama Papers. « Des médias algériens ont prétendu que les Panama papers où est cité Rym Sellal, la fille du premier ministre Abdelmalek Sellal, sont des faux. Une vaine tentative d’enfumage », écrit-il d’emblée, assurant que « le Desk en partenariat avec le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et le journal allemand Süddeutsche Zeitung a révélé dans le cadre de l’enquête mondiale sur les Panama Papers que Rym Sellal apparaît de 2005 à 2010 comme bénéficiaire d’une société offshore domiciliée aux îles Vierges britanniques, dans un montage identique à celui du scandale de corruption de la compagnie pétrolière nationale Sonatrach. »

    « Diverse et plurielle, une large partie de la presse algérienne s’est faite l’écho de ces révélations, en relayant les faits dans une logique évidente d’exigence de la vérité et de reddition des comptes. Un rôle qu’il faut ici saluer, d’autant que Lyas Hallas, seul journaliste algérien à enquêter sur les Panama Papers dans son pays, a d’abord fait face à la loi du silence », a précisé Ali Amar selon lequel le Desk fait partie des partenaires du consortium international de journalistes à l’origine de Panama Papers. Il souligne que Le Desk, mis en ligne depuis quelques mois, a pu tisser des liens avec ses confrères au Maghreb et en Europe. « Soutenu par le programme international Ebticar-Media regroupant les médias numériques les plus innovants de la région, Le Desk a donc aussi naturellement tissé des liens avec ses confrères du Maghreb et du monde arabe faisant partie de ce nouveau réseau, comme Inkyfada en Tunisie ou Arij en Jordanie. Deux représentants de la nouvelle presse associés dès le départ avec l’ICIJ à l’enquête sur les Panama Papers », a assuré Ali Amar qui bat en brèche les arguments de ceux qui l’ont attaqué. « Pour décrédibiliser notre enquête, Ennahar online, journal réputé proche des cercles de pouvoirs, n’a pas trouvé mieux que de faire témoigner une source imaginaire au sein de l’ICIJ, prétendant que le nom de Rym Sellal ne figurait pas sur les Panama papers. Une tentative d’enfumage grotesque vite démentie sur Twitter par le journaliste Will Fitzgibbon, en charge du projet ICIJ pour l’Afrique. Mieux, ce journal avance que les documents en question sont des faux. Ils proviennent pourtant du fichier source du cabinet Monsack Fonseca et ont été dûment vérifiés avant d’être mis en ligne. De plus, les deux documents significatifs rendus publics par Le Desk ne sont pas les seuls, ils font partie d’un lot de 26 documents et emails comportant le nom de Rym Sellal établis sur une période de cinq ans, de 2005 à 2010. Matériau qui nous a permis de reconstituer avec minutie la trame de l’affaire. Nous attendons donc avec sérénité que la ‘source officielle’ anonyme d’Ennahar online aille ‘jusqu’au bout pour prouver que ces documents sont des faux’, comme elle l’a suggéré », a relevé Ali Amar qui n’a pas épargné le site Algerie1 qui, selon lui, « creuse le même sillon sous une plume anonyme, affirmant lui aussi, entre autres élucubrations, que les documents impliquant Rym Sellal n’existent nulle part sur la base de données, expliquant même avoir mené ‘ des investigations’ dans ce sens (…) On se demande bien lesquelles ? Fait cocasse, un des documents qui a déclenché la panique chez Mossack Fonseca sur les liens entre Teampart Capital Holdings Limited et le scandale Sonatrach est accompagné d’une revue de presse où Algérie1 est cité », a souligné le directeur du Desk qui promet d’autres révélations après exploitations et traitement d’autres fichiers provenant du cabinet panaméen Mossack Fonseca.

    M.M

    Commentaire


    • #32
      les accusations faites par Ennahar et Algérie 1
      Ennahar se substitue au procureur qui doit normalement se saisir de l'affaire. Ce n'est pas rien, il s'agit d'un PM en 4ème mandat!
      Pauvre Jérôme Cahuzac, né dans le mauvais pays.
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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