Une équipe américaine affirme qu'un choc émotif soudain, tel que la mort imprévue d'un proche ou une violente dispute, peut parfois causer une grave dysfonction du ventricule gauche du coeur appelée cardiomyopathie de stress, ou « syndrome du coeur brisé ».
Les chercheurs de l'université Johns Hopkins soutiennent que les personnes affectées par de telles situations peuvent subir des hausses d'adrénaline et d'hormones qui frappent le coeur de plein fouet.
Les symptômes peuvent même être perçus comme ceux d'une crise cardiaque: douleurs à la poitrine, difficultés à respirer et oedème pulmonaire.
Les patients sont souvent hospitalisés, mais cet état est réversible et sans séquelles pour le muscle cardiaque. Ainsi, les dommages causés ne sont que provisoires et disparaissent habituellement après quelques semaines.
Toutefois, selon le Dr Ilan Wittstein, le syndrome du coeur brisé doit être pris au sérieux par le médecin traitant. « Certains patients souffrant de cette condition seraient morts s'ils n'étaient pas venus nous voir », ajoute le cardiologue de l'École de médecine Johns Hopkins.
Les résultats complets de l'étude sont publiés dans le New England Journal of Medecine.
radio-canada.ca
Les chercheurs de l'université Johns Hopkins soutiennent que les personnes affectées par de telles situations peuvent subir des hausses d'adrénaline et d'hormones qui frappent le coeur de plein fouet.
Les symptômes peuvent même être perçus comme ceux d'une crise cardiaque: douleurs à la poitrine, difficultés à respirer et oedème pulmonaire.
Les patients sont souvent hospitalisés, mais cet état est réversible et sans séquelles pour le muscle cardiaque. Ainsi, les dommages causés ne sont que provisoires et disparaissent habituellement après quelques semaines.
Toutefois, selon le Dr Ilan Wittstein, le syndrome du coeur brisé doit être pris au sérieux par le médecin traitant. « Certains patients souffrant de cette condition seraient morts s'ils n'étaient pas venus nous voir », ajoute le cardiologue de l'École de médecine Johns Hopkins.
Les résultats complets de l'étude sont publiés dans le New England Journal of Medecine.
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