Envoyé par FrozenRose
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Envoyé par FrozenRose Voir le messageCoucou Tire win kunt! tes commentaires manquaient
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Ou pas !Osef
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L'amour est la seule voie
l'amour qui est patient
L'amour qui est bon
qui n'est pas envieux
qui ne se vante pas
qui n'agit pas de façon inconvenante
qui ne cherche pas son propre intérêt
L'amour qui ne s'irrite pas
qui se réjouit de la vérité
et ne se réjouit jamais de l'injustice
L'amour qui supporte tout
croit tout, espère tout.
Endure toute chose
Paul de Tarse
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Envoyé par Tiregwa Voir le messageFrozen,
Jt au travail...
Ta citation relève de la méthodologie de l'amour.
On apprend toute la vie.
Bien d'accord pour la citation.Passi passi werrana dipassi!
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Envoyé par Tiregwa Voir le messageL'amour est la seule voie
l'amour qui est patient
L'amour qui est bon
qui n'est pas envieux
qui ne se vante pas
qui n'agit pas de façon inconvenante
qui ne cherche pas son propre intérêt
L'amour qui ne s'irrite pas
qui se réjouit de la vérité
et ne se réjouit jamais de l'injustice
L'amour qui supporte tout
croit tout, espère tout.
Endure toute chose
Paul de Tarse
Le film t'a marqué?
Passi passi werrana dipassi!
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"Nul n'est comblé.
Il y a toujours un besoin quelque part, un oubli, un manque lancinant.
On a beau se répéter que tout va bien, que tout est au mieux, ce n'est pas vrai.
Que l'on habite dans un palais ou dans un gourbi, que l'on s'habille de soie ou de gardes, que l'on soit courtisé ou vomi, on a obligatoirement besoin de quelque chose, ou de quelqu'un. On implore un regard, un mot, un signe, et souvent nos prières les plus ferventes s'avèrent irrecevables.
Pourquoi ?
Parce que c'est ainsi.
Inutile de chercher la faille, la faille est en chacun de nous, elle est dans toutes ces questions que l'on se pose et qui ne nous avancent à rien…"
Yasmina KhadraPassi passi werrana dipassi!
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Envoyé par Choue Voir le messageWaouh la coïncidence, j’étais tombée dessus dans ma galerie pas plus tard qu’hier et j’ai failli la poster !!!
+1Passi passi werrana dipassi!
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Sujet du concours commun 2021
Toute situation extrême s’inscrit dans le temps ; bien plus, elle définit un autre temps qui va être vécu selon des modalités propres ; d’abord, le déroulement du temps ordinaire est arrêté et dévié ; il se construit un temps entre parenthèses, un temps en dehors du temps, un temps sans horizon et parfois sans issue. Ensuite, il apparaît que le temps est pour ainsi dire ramené à des dimensions et à des rythmes qui sont ceux de l’horizon le plus proche, le plus accessible : l’heure, la demi-journée, la journée, ce soir, demain matin peut-être. Cette nouvelle manière de vivre le temps se traduit, au moins au départ, par une absence de projet : on ne peut plus se projeter dans un avenir, on ne se projette que dans des échéances extrêmement rapprochées, car la vie soudain devenue fragile, éphémère. La situation extrême développe une temporalité structurée autour du moment présent vécu comme le temps le plus sûr et aussi le plus intense ; en raison de la précarité de la vie, c’est l’instant présent qui devient le temps le plus précieux.
Dans ces situations plus que dans toute autre, le temps est vécu comme quelque chose d’irréversible. S’il s’agit d’une de ses dimensions inhérentes, nous le vivons en revanche, dans notre quotidien, comme quelque chose de cyclique, de répétitif, comme si aujourd’hui c’était comme hier et comme si demain devait ressembler à aujourd’hui ; nous vivons le temps comme un éternel recommencement car, en définitive, nous sommes incapables de réaliser que notre temps a une fin ; c’est pourquoi nous vivons notre vie comme s’il s’agissait d’un temps éternel ; cela explique entre autres le fait que ce temps vécu comme répétition de l’identique nous protège de cette vérité que notre vie est fugitive et que nos jours ne sont qu’une ombre.
Pour celui qui vit l’extrême, le temps, qui est souvent celui de la souffrance et du malheur, se recharge d’une dimension en quelque sorte oubliée, celle de la reconnaissance du temps qui passe, du temps qui reste, à travers laquelle l’individu fait l’expérience éprouvante de sa propre finitude. Or cette prise de conscience de la fin proche de l’existence se traduit par un désir de vivre intensément le temps qui reste. Ainsi le fait de réaliser que la vie n’est qu’un souffle génère paradoxalement une nouvelle manière de vivre le temps qui confère à la vie son prix extrême : celui d’exister encore....
Gustave-Nicolas Fischer
Le ressort invisible, vivre l’extrême 1994
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Envoyé par FrozenRose Voir le message
Tire: Inspiré par la bible?!
Le film t'a marqué?
le film est novateur d'un point de vue cinématographique..
son message global est particulièrement bien travaillé..
- 1 aime
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Envoyé par Tiregwa Voir le messageSujet du concours commun 2021
L'histoire du ressort invisible. Envie de le lire...
Passi passi werrana dipassi!
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Envoyé par Tiregwa Voir le message
j'aime bien les échanges qui m'apprennent du sens...
le film est novateur d'un point de vue cinématographique..
son message global est particulièrement bien travaillé..
Je le verrai quand j'aurai un moment.
Dans le même esprit de "Quo vadis?"Passi passi werrana dipassi!
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il a une tête de moine
le sujet est en deux parties :
1-contraction :
résumer le texte en 100 mots (+ ou - 10%)
2-dissertation :
c'est en faisant disparaître à notre tour ce que nous avons perdu que nous pouvons continuer notre vie et peut-être la refaire ?
dans quelle mesure vos lectures des trois oeuvres du programme vous permettent-elles de souscrire à ce jugement de Gustave-Nicolas Ficher ?
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Ok Tire
L’absence et la mort ne diffèrent pas beaucoup ; donc, on ne se quitte pas, on se perd de vue ; mais on sait bien que, n’importe où, on se retrouvera. Aussi je ne dis jamais adieu dans le sens de « Dieu nous sépare ! »
je le dis toujours dans le sens « Au revoir en Dieu, sur cette terre ou sur une autre ! »
Est-ce que l’on ne fait pas de progrès tant qu’on veut vivre et tant qu’on croit à l’idéal ? est-ce que l’idéal ne sert qu’à cette vie d’un jour ou deux sur la terre ? Ne croyez pas cela.
Nous emportons avec nous ce que nous avons acquis, et nous l’emportons pour l’accroître dans l’éternité. Qu’importe que, dans une ou deux de nos existences, nous n’ayons pas été assez encouragés, si nous avons entretenu le feu sacré en nous et dans les autres ?
Ne comptez pas pour rien ces heures où vous donnez, avec votre âme, celle des grands maîtres à vos amis ; tout cela, c’est un échange, entre eux, vous et nous, de ce qu’il y a de meilleur et de plus élevé dans le sanctuaire commun.
- George Sand.Passi passi werrana dipassi!
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