après il se peut que je n'y connaisse rien à l'art ou à l'islam, peut être que dans 100 ans , quelqu'un viendra défendre la valeur historique d'une oeuvre "artistique" comme "l'origine du monde" placé par touriste français sur un mur de jardin public :22:
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Admirez le sauvage qui a détruit Ain Fouara ,l’emblème de Sétif
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après il se peut que je n'y connaisse rien à l'art ou à l'islam,
Reisez également Ibn Battûta (XIVe s.) et ce qu'il dit des tenues des femmes musulmanes d'Inde ou du Mali, et après venez polémiquer sur une statue de pierre...Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.
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Envoyé par GLPConnaissant les prouesses en contradictions dont on est prêt à assumer pour s'accrocher à ses convictions, on nous sortira à ce fondement historique de ton opinion bien cohérente, un "il ne faut pas rester emprisonné dans l'histoire passé" alors qu'un poste ou deux avant on nous apprenait que ça a de la valeur historique justement et qu'il fallait le prendre comme un butin de guerre... et il nous aura fallu un autre neurone pour leur en expliquer l'incongruité. Pareillement que pour ce butin de guerre là qui produit cette aliénation là.
Le mot patrimoine revient souvent dans le fait de justifier la place de cette statue nue, C'est assez contradictoire encore une fois (Sammy a bien fait de le souligner)
La définition propre du mot patrimoine :
- Biens qu'on tient d'un héritage de ses ascendants
- Ce qui est considéré comme l'héritage commun d'un groupe : Le patrimoine culturel d'un pays
Or les ascendants des algeriens ne sont pas français, et les statues nues ne sont pas considérés comme un héritage culturel commun à un groupe
on peut certes parler de butin de guerre mais pas de patrimoine...
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Je pense que ce scénario a été monté et bien ficelé, cet individu a été envoyé pour mutiler cette statue pour que les décideurs trouvent ce prétexte de statue cassée pour la retirer de la fontaine afin que les nostalgiques ne trouvent rien à redire.Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.(Paul Eluard)
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Sinon, pour revenir à cet énergumène "Abou Martou", de deux choses l'une :
1. Soit c'est un désaxé mental, comme l'affirment certains, mais que dire alors de ceux qui l'ont soutenu dans son délire iconoclaste, y compris dans ce forum ?
2. Soit c'est un type sain d'esprit, et dans ce cas comment qualifier la tentative de le disculper en essayant de le faire passer pour un fou à lier. Et il y a un bon paquet à inclure dans cette catégorie...Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.
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[et qu'en période islamique, ce qui était appelé "3awra" (autrement dit "à cacher chez la femme") concernait
D'après Abou Dharr (P.A.a) le Messager d'Allah (bénédiction et salut soient sur lui ) dit: «Ils (les esclaves) sont vos frères qu'Allah a placés entre vos mains. Quand Allah place entre les mains de l'un d'entre vous son frère, qu'il le nourrisse de sa propre nourriture et l'habille comme il le fait pour soi-même et ne lui impose pas un labeur qui dépasse ses forces. Si toutefois il le faisait, qu'il l'aide..»
(rapporté par al-Boukhari,6050)
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Glp
Blabla
Illustration, encore une fois, venant de toi même :
Citation:
Envoyé par Iliath
Tamazight ce n'est ni grâce à Bouteflika ni grâce à qui que ce soit du gouvernement , et sans vouloir diminuer l'apport des tous ceux qui ont milité pour la cause berbère mais c'est surtout grâce au MAK , le pourvoir voulait désarmer le MAK donc il lui a enlevé son arme principale qui est Tamazight ce qui veut dire que toute l'histoire du gouvernement concernant Tamazight c'est du blabla car au fond de lui il ne voulait pas le faire , d'autant plus que c'est lui-même qui a combattu Tamzight et les militants de la cause berbère jusqu'à en arriver au meurtre voilà la vérité , il faut dire les choses telles qu'elles le sont...................
BlablaDernière modification par Ilath, 21 décembre 2017, 18h20.
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sammy
ou bien les échanger contre ce qui a une vrai valeur historique pour le pays, comme le fameux canon d’Alger (baba merzoug) qui sert actuellement de rond-point dans un parking en France.
et je te garanti que si demain par je ne sais par quel magie setif venait a subir le meme sort . je te promets que t'aura droit au meme silence de leurs part . j'avais dit concernant noel que la symbolique du sapin etait loin de se resumé a une simple fete et que c'etait tout un mode de vie , des idees , des parti pris .. qui se cachait derriere . la aussi , dame fontaine est loin de symboliser uniquement un art a qui on a fait bobo , loin de la . la "dame fontaine" a longtemps donné la tétée a ces rejetons , et ces dernieres risque pas de l'oublier de sitot .
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Citation:
après il se peut que je n'y connaisse rien à l'art ou à l'islam, peut être que dans 100 ans , quelqu'un viendra défendre la valeur historique d'une oeuvre "artistique" comme "l'origine du monde" placé par touriste français sur un mur de jardin public :22:envoyé par GLP
Sur cette statue d'une forme humaine appréciable, pourquoi l'artiste a jugé opportun de cacher artistiquement l'entre jambes ? selon quel référentiel de valeurs, de gouts artistiques, de ... bon sens ?
Donc, l’Islam vient au secours de l’art du b’ni 3aryen ….La statue nue est l’esclave de son maître sculpteur …ou bien une femme libre qui désire se faire connaitre …y a pas de quoi fouetter un chat !
ce qui était appelé "3awra" (autrement dit "à cacher chez la femme") concernait uniquement ce qu'il y avait "entre le nombril et les genoux" pour les femmes esclaves. Les femmes dites "libres" devaient se couvrir pour l'unique raison de ne pas être "reconnues" (Relisez le Coran et l'historiographie du calife Omar).
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@ Discus
Salam
, dame fontaine est loin de symboliser uniquement un art a qui on a fait bobo , loin de la . la "dame fontaine" a longtemps donné la tétée a ces rejetons , et ces dernieres risque pas de l'oublier de sitot .
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Sinon, pour revenir à cet énergumène "Abou Martou", de deux choses l'une :
ca fait mal de penser que l'Algérie se talibanise, que l'Algérien recule à l'âge du cromagnon mais c'est ainsi...
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c'est la culture évoluée ...
Pour ceux qui doutent encore :
[...]
Le profil de cet homme, présenté officiellement comme souffrant d’une « déficience mentale à 100 % », se dessine petit à peu. Âgé de 34 ans, Abbas est originaire de Beni Oussine, une commune de la wilaya de Sétif. Marié en 2012 et père d’une petite fille de deux ans, l’homme vit avec son père, ses frères et sa grand-mère dans un appartement de deux pièces.
Abbas est un ancien militaire qui s’était engagé avec l’armée algérienne pour une durée de quatre ans. Il était alors basé à Tindouf, à l’extrême ouest du pays. Mais en 2012, sa vie est entièrement chamboulée. Il apprend la mort de sa mère à distance et ne parvient pas à obtenir d’autorisation pour assister à l’enterrement. Une semaine plus tard, il se rend enfin à Beni Oussine. Pendant sept jours, il passe le plus clair de son temps au cimetière, à en croire les témoignages de ses proches.
Un suivi psychiatrique
De retour à la base militaire, Abbas n’est plus le même homme. Ses supérieurs sont inquiets et finissent par le radier des rangs de l’armée. Il repart donc s’installer dans la région de Sétif et se fait suivre à l’hôpital psychiatrique d’Aïn Abessa. Mais sa santé mentale se détériore très vite et le 25 octobre 2013, diagnostiqué avec 80 % de déficience mentale, il obtient la carte d’handicapé avec mention « prioritaire ». Selon la loi du 8 mai 2002, relative à la protection et à la promotion des personnes handicapées, cette carte, octroyée par l’administration de la santé et des affaires sociales (DAS), lui donne le droit à des aides financières et à une prise en charge.
Selon un reporter de la chaîne Echourouk TV, qui s’est rendu auprès de la famille, Abbas avait bonne réputation dans le quartier. « C’est un homme sans histoire, qui n’a jamais fait du mal à autrui », raconte ainsi une voisine. Elle explique également qu’il passait ses journées à la mosquée et qu’il avait été profondément touché par la mort de sa mère. D’autres voisins le décrivent comme un homme pieux et racontent qu’il souffrait beaucoup de sa situation de mal-logement.
Cependant, la raison précise de son acte reste encore méconnue. Ses voisins et sa famille n’ont pas pu apporter d’informations supplémentaires à ce sujet.
Jeune Afrique
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