Il y a actuellement une compagne de ramassage et d'abattage de chats et chiens, soit disant errants, à Alger (et probablement ailleurs). Des patrouilles passent dans les quartiers et ramassent ces animaux à tout va. Certains chats ont clairement des propriétaires (propres, très dociles -donc facile à prendre- et parfois même avec des médaillons), mais les agents qui font ce boulot, les volent quand même (oui, il s'agit bien de vols).
Après une petite enquête, il semble que la société qui s'occupe de cette tâche est une boite privée qui facture à l'État selon le nombre d'animaux ramassés. Ainsi, ils s'en foutent royalement de savoir si l'animal est domestique ou pas. Le plus important est de faire du chiffre.
L'argument selon lequel, les propriétaires sont responsables et qu'un animal domestique n'a pas à se trouver dehors ne tient pas la route. La culture des chats domestiques chez nous différentes de l'occident, où on les appelle d'ailleurs « chats d'appartement ». Ici, ce ne sont justement pas des chats d'appartement. Dans plusieurs quartiers les chats élisent domicile dans plusieurs maisons à la fois, et ils sont semi-libres. Ils fréquentent souvent deux, trois maisons, et se font chuchoter par tout le quartier. Ceci ne fait pas d'eux des chats errants. Souvent, ces chats ont un carnet de vaccination et sont suivis par un vétérinaire.
Au moment de leur enlèvement, ces agents laissent entendre que les proprios ont un délai de quelques jours pour aller réclamer leurs chats. Cependant, il y a peu de chance de les retrouver. Il n'y a aucune organisation ni fichier pour pouvoir les retracer. Des amis ont tenté de retrouver leurs chats, mais c'était peine perdu. Ils ont découvert des tas d'animaux entassés dans des conditions affreuses.
Il semble qu'après le ramassage, ces animaux sont électrifiés dans des cage en acier.
Une pétition est lancée pour interpeller ces sociétés, et surtout leur bailleurs de fonds, autrement dit, l'État à travers les collectivités locales.
Voici le lien pour signer la pétition :
Après une petite enquête, il semble que la société qui s'occupe de cette tâche est une boite privée qui facture à l'État selon le nombre d'animaux ramassés. Ainsi, ils s'en foutent royalement de savoir si l'animal est domestique ou pas. Le plus important est de faire du chiffre.
L'argument selon lequel, les propriétaires sont responsables et qu'un animal domestique n'a pas à se trouver dehors ne tient pas la route. La culture des chats domestiques chez nous différentes de l'occident, où on les appelle d'ailleurs « chats d'appartement ». Ici, ce ne sont justement pas des chats d'appartement. Dans plusieurs quartiers les chats élisent domicile dans plusieurs maisons à la fois, et ils sont semi-libres. Ils fréquentent souvent deux, trois maisons, et se font chuchoter par tout le quartier. Ceci ne fait pas d'eux des chats errants. Souvent, ces chats ont un carnet de vaccination et sont suivis par un vétérinaire.
Au moment de leur enlèvement, ces agents laissent entendre que les proprios ont un délai de quelques jours pour aller réclamer leurs chats. Cependant, il y a peu de chance de les retrouver. Il n'y a aucune organisation ni fichier pour pouvoir les retracer. Des amis ont tenté de retrouver leurs chats, mais c'était peine perdu. Ils ont découvert des tas d'animaux entassés dans des conditions affreuses.
Il semble qu'après le ramassage, ces animaux sont électrifiés dans des cage en acier.
Une pétition est lancée pour interpeller ces sociétés, et surtout leur bailleurs de fonds, autrement dit, l'État à travers les collectivités locales.
Voici le lien pour signer la pétition :

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