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Manche : des lycéens internes demandent un aménagement pour le ramadan, le proviseur refuse

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  • #31
    tu mobilises rien du tout
    les resto sont tenus par des prives et je te prie de me croire ya aucun fihoum qui fait carem enfin du sacre coeur jusqu a la rue tangeroeilfermé


    et ne me dit pas pourquoi ils n ouvrent pas comme a l epoque de la tolerance tu connais la reponse
    Dernière modification par nacer-eddine06, 09 mai 2019, 12h23.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #32
      je te prie de me croire ya aucun fihoum
      Tu me pries? lol je crois pas en toi sorry

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      • #33
        crois ou crois pas kayen el hit
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #34
          Je crois mais pas en toi haha
          Oui kayen 4 même odrob fi louwel w zid teni et ainsi de suite

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          • #35
            je ne suis pas un saint je suis le diable personnifie

            welcome to the jungle

            ou sinon tu es hirak ou mourad dina
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #36
              Envoyé par nacer-eddine06
              parle nous de ce pur totalitarisme
              Comme je l’ai dit plus haut.. la laïcité est une idéologie floue.. Mr le Proviseur, et tous ceux qui pensent comme lui.. ne veulent pas voir des signes ostentatoires.. tout le monde doit suivre le règlement.. un règlement conforme au modèle social dominant..
              Toute les sociétés au monde, qu’elles soient civilisées ou pas.. obéissent aux même règles sociales. Les gens n’aiment pas ceux qui sont différents.. surtout ceux qui se la jouent meilleurs qu’eux question valeurs.

              Envoyé par nacer-eddine06
              je peux me restaurer a alger ou pas comme avant 93 car avant l arrivee des marcheurs de la mort on pouvait
              Même maintenant, et sans les "marcheurs de la mort", les gens ne tolèrent pas ceux qui mangent publiquement. Nous aussi nous avons notre modèle social.. et nous le défendons.
              Si un jour, notre pays devenait un Etat de droit.. notre modèle social sera défendu par la force de Loi.. comme en France.

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              • #37
                Même maintenant, et sans les "marcheurs de la mort", les gens ne tolèrent pas ceux qui mangent publiquement.
                JE SUIS RAISONABLE

                SE RESTAURER DANS UN RESTAURANT N EST PAS MANGER PUBLIQUEMENT

                Si un jour, notre pays devenait un Etat de droit..
                JE SUPPOSE PAR CETTE INFIRMATION QUE TU ES POUR UN ETAT DE DROIT ET DROIT QUI DEFENDRA "LA VEUVE ET L ORPHELIN"

                mon droit a ne pas jeuner
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #38
                  Je suis sûre qu'il y a une salle équipé d'un micro onde, donc pourquoi chercher des complications !?!
                  Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.

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                  • #39
                    l'hypocrisie de la France

                    Concours de nuit pour étudiants juifs : stupeur et embarras
                    Par Aurélie Darbouret


                    Publié le 13 avril 2011 à 19h45 - Rue 89




                    La laïcité serait-elle un principe à géométrie variable ? En matière de
                    religions, l’Etat, serait-il un peu plus « neutre » avec certaines plutôt
                    qu’avec d’autres ? Ce sont les questions que l’on peut se poser si, comme
                    l’écrit Mediapart, l’Elysée est intervenu auprès des directions de
                    plusieurs grandes écoles d’ingénieurs pour qu’elles aménagent leurs concours d’entrée.



                    Objectif : permettre à quelques étudiants juifs pratiquants de passer les concours, qui tombent pendant la période de la pâque juive, grâce à « des sessions secrètes de nuit [...], avec un confinement préalable des candidats concernés plusieurs heures avant. »

                    Treize jours de fêtes par an
                    Pour les juifs très pratiquants (assez minoritaires en France), un certain nombre d’interdits doivent être respectés lors des fêtes religieuses : on ne se déplace pas autrement qu’à pied, on n’écrit pas, on ne signe pas, on n’allume pas la lumière et, a fortiori... on ne passe pas d’examen.

                    Pour ne pas placer les étudiants pratiquants devant des dilemmes existentiels, et pour favoriser le bon « vivre ensemble » cher au gouvernement, la France fixe chaque année, par circulaire, les dates des fêtes religieuses : il est alors demandé aux établissements scolaires d’en tenir compte dans le choix des sessions d’examens et de concours.

                    Haïm Nisenbaum, porte-parole des loubavitchs de Paris, communauté juive ultra-orthodoxe, explique qu’il y a treize journées de fête chaque année pour lesquelles s’appliquent les interdictions. Or, seules cinq ont été retenues par la circulaire gouvernementale, parmi lesquelles ne figurent par les jours théoriquement chômés de la pâque juive.

                    Manque de bol pour les étudiants, cela tombe en plein concours des Ponts, Mines, Supélec et Centrale. Alors, selon le Point.fr, le rabbin Haïm Korsia, proche de Nicolas Sarkozy a demandé au président de la République d’intercéder en faveur des étudiants.

                    La mise en place d’un dispositif spécial a été démentie par les organisateurs des concours, mais Médiapart confirme ses informations sur l’intervention de l’Elysée.

                    Au Crif : « C’est du délire complet »
                    Mais la faveur pourrait en crisper quelques-uns. L’entorse au principe de la neutralité étatique tombe au plus mal. Débat sur la laïcité, régulièrement rebaptisé « débat sur l’islam », publications de 26 propositions de l’UMP, entrée en vigueur de l’interdiction de porter le voile intégral, etc. Depuis plusieurs semaines, la laïcité n’est pas un sujet facile.

                    Au Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), réaction à chaud, mardi, d’un permanent, qui n’engage pas la structure :



                    « C’est du délire complet. Il n’y aucune demande qui a été faite dans ce sens. Mais un aménagement de la sorte, c’est impossible. Dans cette période de débat sur la laïcité, on ne peut imaginer une bêtise pareille. »
                    « Il n’y a certes pas de solution parfaite »
                    Le Crif, a finalement réagi jeudi, par la plume de son président Richard Prasquier :


                    « Non, le Crif n’est pas intervenu, mais d’un autre côté, le Crif
                    considère que cette affaire ne met pas en cause les principes de
                    laïcité républicaine ».
                    L’organisation, qui dément être courant, refuse que les étudiants qui seraient concernés soient stigmatisés ou considérés comme privilégiés :


                    « Il n’y a certes pas de solution parfaite et celle qui a été trouvée ne l’est pas
                    non plus. Mais personne n’est lésé, personne n’est privilégié, personne
                    n’est gêné. La recherche d’équité et de justice doivent être à la base
                    d’une laïcité responsable »


                    « Non, la situation de la dizaine d’étudiants qui resteront confinés dans la
                    journée du 20 avril et la journée du 26 avril pour passer l’examen écrit
                    dans la nuit suivante, qui devront ensuite, après un sommeil réduit à
                    presque rien, embrayer sur les épreuves du lendemain matin comme les
                    autres étudiants, n’est pas particulièrement privilégiée et on doute
                    qu’elle soit préférée par qui que ce soit en dehors de motifs
                    particulièrement importants. »
                    Au Conseil du culte musulman : « Deux poids, deux mesures »

                    Du côté du Conseil français du culte musulman, tiraillé durant le débat sur la laïcité, on a aussi du mal à l’imaginer et on préfère attendre une réaction officielle avant de s’exprimer. Mohammed Moussaoui, le président du CFCM, préfère rester prudent :



                    « Les aménagements prévus par la circulaire ont été plus ou moins respectés jusqu’à présent. Le fait qu’il y ait une recommandation des pouvoirs publics pour tenir compte des dates de fêtes religieuses me paraît suffisante.

                    Ensuite, si les écoles n’ont pas le choix, je ne crois pas que ce soit judicieux de faire des démarches supplémentaires. Cela peut être considéré comme deux poids, deux mesures. Mais je crois qu’il est judicieux d’attendre la réaction des pouvoirs publics, ils ne peuvent pas laisser une telle information sans réagir. »
                    Al-Kanz : « C’est une bombe »
                    Pour d’autres, l’implication de l’Elysée risque de faire l’effet d’une provocation.

                    « C’est une bombe », écrit le responsable d’Al-Kanz, un portail internet dédié aux consommateurs musulmans. Le blogueur, qui revendique « l’accommodement raisonnable », considère que cela tombe très mal pour le gouvernement :



                    « C’est grave, c’est insultant, on ne peut pas défoncer les musulmans sous prétexte qu’ils videraient la laïcité et faire cela par ailleurs.

                    C’est catastrophique... pour les juifs eux-mêmes. Cela va venir alimenter l’idée de complot, le fait qu’on dise qu’ils ont le bras long.

                    Et en même temps, pour les musulmans, c’est un soulagement. Depuis le début, on dit qu’on ne veut pas de passe-droit, qu’on n’est pas en train de tester la République et la laïcité.

                    Là, on voit très bien le deux poids, deux mesures. On laisse parler les faits. Qui aujourd’hui peut dire que ce n’était pas un débat sur l’islam ? »
                    « Se méfier des crispations laïcardes »
                    L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) invite, dans un communiqué diffusé mercredi, à « se méfier des crispations laïcardes ». Pour Arielle Schwab, présidente de l’UEJF :



                    « La souplesse des institutions vis-à-vis d’une minorité d’étudiants pratiquants n’est pas un aménagement de la laïcité, mais un aménagement au nom de la laïcité. Il serait dangereux d’en profiter pour stigmatiser les communautés et les minorités. »
                    Le Grand Rabbin de France,, Gilles Bernheim et le Président du Consistoire Central, Joël Mergui, « s’étonnent » dans un texte commun « du procès en laïcité » qui a fait suite « à la demande d’aménagement des épreuves de concours ». Sans confirmer pour autant qu’elles aient abouties.

                    « Oubli » du Ministère ?
                    Le CRIF rappelle que l’aménagement d’épreuves décalées existent depuis longtemps : pour des raisons de fuseaux horaires mais également, « ponctuellement », pour résoudre « des situations difficiles résultant du respect des interdits religieux ».

                    Plusieurs riverains rapportent avoir connu des aménagements similaires durant leurs études, à Paris, à Strasbourg.

                    Le Grand Rabbinat confirme :



                    « Les dates religieuses protégées et la pratique de la composition en horaires décalés permettent, depuis longtemps, à tous les enfants de la République, quel que soit leur lieu de résidence et quelle que soit leur religion, de prétendre accéder aux grandes écoles. »
                    Dans la pratique, lorsque des étudiants alertent les autorités religieuses, il arrive que celles-ci discutent avec les professeurs et l’administration. « Cela se règle généralement au niveau local » affirme le Rabbin Moché Lewin, porte-parole du Grand Rabbinat de France. Généralement, les enseignants sont informés qu’il s’agit d’une personne très pratiquante. Libres à eux, ensuite, de décider si un compromis peut être trouvé.

                    « On a eu énormément de signalement cette année, plus que d’habitude par des étudiants qui sont dans le désarroi » souligne encore le rabbin. « Il y a peut-être un raidissement, notamment dans les universités. On veut pousser la laïcité dans un non-sens »

                    Un nombre croissant de demandes, qui, selon les organisations juives, serait dû à un « oubli » du Ministère de la Fonction Publique. Elles reprochent à ce dernier d’avoir omis d’inclure la Pâque Juive dans la liste des jours fériés « protégés » par une circulaire gouvernementale.

                    Mis à jour le 14/04/2011 à 18h. Ajout de précisions suite aux publications de démentis et aux réactions du Grand Rabbinat de France et du CRIF.
                    La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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                    • #40
                      Ce proviseur n'a aucune foi !
                      Honte à lui !
                      « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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                      • #41
                        Le lycée doit s'adapter aux jeuneurs et la France dooit s'adapter au mumuse 2.0!!!
                        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                        • #42
                          Le directeur aurait dû permettre qu’on laisse un repas pour chaque élève , et qu’il puisse chauffer au micro onde
                          C’est juste 30 jours

                          Sinon
                          C’est aux parents de s’organiser
                          demander les services d’un traiteur
                          Qu’il livre un repas chaque soir pendant tout le mois

                          Commentaire


                          • #43
                            La réponse du proviseur est pourtant très claire :
                            "La religion est une affaire privée. Le ramadan est un choix, pas un devoir."

                            Commentaire


                            • #44
                              et ce proviseur se trompe c'est un devoir quand on est musulman de faire le ramadan c'est même un des piliers on t'entend pas commenter l’aménagement pour d'autre religion
                              vas dans les forums avec les gens qui te ressemble tu y sera mieux
                              Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                              alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

                              Commentaire


                              • #45
                                Envoyé par ahmed67
                                et ce proviseur se trompe c'est un devoir quand on est musulman de faire le ramadan
                                C'est peut être un devoir pour un musulman de faire le ramadan, mais ce n'est pas un devoir pour un établissement public de ce plier à des exigences religieuses.
                                Je comprends très bien que venant d'un pays ayant l'islam comme religion d'état vous ayez du mal à admettre qu'un pays laïque n'ait pas à se soumettre à une religion qui doit rester dans la sphère privée.
                                Il me semble qu'en Algérie les non jeûneurs doivent se cacher pour manger, sous peine d'être agressés ou interpellés par la police et que le transport de quelques bibles peut valoir plusieurs années de prison.

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