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Les enfants nés en France d’immigrés nord-africains meurent plus tôt, révèle une étude

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  • #16
    Si les parents immigrants présentent un taux de mortalité similaire voir plus bas que celui de leurs congénères nés en France, cela exclut la bouffe et la génétique comme cause de mortalité .... wa minhou nastantidj

    yaaala el baraka a diminué comme l'a souligné Discus ou bien el hita wal hadar ikhwani les français d'origine maghrébine , ça sent le plan d'extermination

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    • #17
      ont est les "fruits"...

      de son environnement sociale et ont se développe en interagissant avec son milieu évidement sa n'a rien rien a voir avec la génétique.. .ni avec la "grace divine".

      Dans certain quartier le taux de chomage est de 30 a 40% de la population, "blancs" compris ...si t'est noir .. maghrébin t'est plus impacter par exemple .
      Les quartier dit "populaires" sont ceux ou les écoles sont le plus surchargés avec des profs inexpérimentés et un taux de réussite scolaire bas .

      C'est plurifactorielle mais tout a déjà été dit sur le sujet ..
      "tout a été dit , tout reste a penser"
      Alain

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      • #18
        cela exclut la bouffe et la génétique comme cause de mortalité .... wa minhou nastantidj*
        la premiere generation a connu non seulement la mal bouffe , l'insalubrité , mais aussi pour la plupart ils ont eu a faire des taches rudes et difficile ..la misère dont se plaint les generations actuel aurait ete un luxe pour eux ..

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        • #19
          Le manque d’opportunités, de perspectives conduit à des prises de risques, des comportements nocifs en termes d’alcool, drogue, suicide, accidents de la route.
          c'est un peu tirer par les cheveux ,avec un rapport d'analyse réducteur
          "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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          • #20
            tout verité n'est pas entendable...

            c'est marrant comme des faits ne sont pas pris en compte .. c'est pas entend able .
            y'a les procès en "victimisation" ... en "exagération".. "sensationnalisme".. ont "comprend pas "
            comme si la vie mené par la première vague d'immigration arrivé dans les années 70 , années de plein emploi, qui eux rêvait de faire du fric et de partir, de surtout pas s’intégrer, est comparable avec celle de leurs enfants qui eux ont été obliger de voir mourir, de tuer , le rêve de retour de leur parents.

            enfin bref...
            "tout a été dit , tout reste a penser"
            Alain

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            • #21
              Communiqué INED - Publié le 25 Juin 2019

              La première étude sur la mortalité des descendants d’immigrés de deuxième génération en France révèle une importante surmortalité chez les hommes d’origine nord-africaine

              Auteur-e-s : Michel Guillot, Myriam Khlat et Matthew Wallace

              La France compte une importante population de descendants d’immigrés de deuxième génération, c’est-à-dire les personnes nées en France de parent(s) immigré(s). Si les disparités socioéconomiques selon les pays d’origine sont bien identifiées, les inégalités de santé, et plus particulièrement en matière de mortalité, demeurent méconnues.

              Michel Guillot et Myriam Khlat, directeur.rice.s de recherche à l’Ined, et Matthew Wallace, post-doctorant à l’Université de Stockholm, ont analysé les niveaux de mortalité entre 1999 et 2010 d’adultes nés en France de deux parents immigrés. Ces travaux, réalisés pour la première fois en France, révèlent une importante surmortalité chez les hommes d’origine nord-africaine.

              Parmi les pays de l’Union européenne de plus d’un million d’habitants, la France est le pays qui compte la plus grande population de descendants d’immigrés de deuxième génération, tant en termes absolus que relatifs. En 2014, la population d’individus nés en France avec au moins un parent immigré représentait 9,5 millions de personnes, soit 14,3 % de la population totale. En raison de l’histoire de l’immigration en France, la population de deuxième génération est, aujourd’hui, vaste et diversifiée : les régions d’origine les plus représentées sont l’Europe du Sud (Portugal, Italie ou Espagne) et l’Afrique du Nord (Algérie, Maroc ou Tunisie), chaque région représentant un tiers environ, le dernier tiers comprenant un ensemble très diversifié de pays d’origine des parents, notamment des pays d’Afrique subsaharienne, d’Europe et d’Asie.

              Un travail de recherche unique en France
              Si les inégalités en matière de niveau scolaire, d’emploi et de revenu des descendants d’immigrés de deuxième génération d’origine non européenne sont bien documentées, aucun travail de recherche ne s’était intéressé jusqu’alors aux disparités dans le domaine de la mortalité.

              Les auteurs de cette étude, Michel Guillot, Myriam Khlat et Matthew Wallace, ont choisi d’étudier pour la première fois ce sujet. Ils ont utilisé l’échantillon longitudinal de mortalité (ELM), échantillon représentatif à l’échelle nationale de 380 000 personnes âgées de 18 ans et plus en 1999 (issu de l’Étude de l’histoire Familiale-EHF de 1999) et ont exploité un suivi de la mortalité au moyen de registres de décès appariés jusqu’en 2010.

              Ils ont comparé les niveaux de mortalité :
              1. - des descendants d’immigrés de deuxième génération âgés de 18 à 64 ans et originaires d’Europe du Sud et d’Afrique du Nord
              2. - avec ceux de leurs homologues immigrés de première génération et avec ceux de la population de référence (personnes nées en France de deux parents eux-mêmes nés en France).

              Une surmortalité importante constatée chez les hommes d’origine nord-africaine
              Alors que la probabilité estimée de décès entre 18 et 65 ans s’élève à 162 pour 1 000 pour les hommes de la population de référence,
              elle est 1,7 fois plus élevée pour les hommes nés en France de deux parents immigrés d’Afrique du Nord (276 pour 1 000).

              Elle est en revanche plus faible pour ceux de la deuxième génération d’origine sud-européenne (106 pour 1 000), ainsi que pour les hommes immigrés de première génération toutes origines confondues.
              La surmortalité observée pour les hommes de deuxième génération d’origine nord-africaine demeure importante après ajustement en fonction du niveau d’instruction.

              Les résultats concernant les femmes ne relèvent pas de différences statistiquement significatives par rapport à la population de référence sauf pour les femmes immigrées de première génération d’origine sud-européenne qui bénéficient d’un avantage en matière de mortalité similaire à celui des hommes.

              Le statut de deuxième génération d’origine maghrébine, source importante de disparité de santé
              La faible mortalité observée pour la première génération s’explique en partie par les effets de sélection de la migration (effet « immigré en bonne santé »), phénomène bien connu dans les études sur le sujet.
              Les raisons de la surmortalité chez les hommes d’origine maghrébine de deuxième génération sont plus difficiles à identifier en raison du manque de données notamment sur les comportements liés à la santé et les causes de décès.
              En ce qui concerne les facteurs tels que le statut socio-économique, les résultats suggèrent que cette surmortalité ne s’explique pas simplement par les différences de niveau d’éducation, mais par un vaste ensemble de désavantages, notamment sur le marché du travail et sur le niveau des revenus.

              Des études ont montré que la perception de la discrimination sur le marché du travail est plus répandue dans la deuxième génération que dans la première génération d’immigrés de même origine, ce qui peut avoir un impact négatif sur la santé.
              Ces premiers résultats en matière de mortalité montrent que les nombreux désavantages auxquels font face les hommes d’origine nord-africaine de deuxième génération en France comportent une dimension de santé publique importante et inconnue jusqu’ici. Ils sont particulièrement significatifs étant donné la taille de la population d’origine nord-africaine en France ainsi que les nombreuses difficultés socio-économiques et les phénomènes de discrimination auxquels elle est déjà confrontée.

              Source INED


              Source de l'étude : https://www.demographic-research.org...0/54/40-54.pdf
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #22
                Ce qui me tue
                c'est qu'il y en a qui s'entre-tuent
                pour avoir une place en enfer ...
                tchek tchek tchek

                Commentaire


                • #23
                  Pour rappel la première vague d'immigrés maghrébins surtout algériens remonte aux années 60 voir un peu avant. Ces immigrés avaient souvent au moins 8-10...enfants dont la plupart nés en France, et non 2. A la fin des années 70 la 2ème génération commençait pour les plus chanceux à entrer dans la vie active. La très grande majorité surtout garçons prenait conscience des barrières discriminations, même pour l'ascension en grade.

                  Les parents première vague d'immigrés maghrébins années 60 se sont rendus compte qu'il n'y aura pas de retour, que leurs enfants surtout garçons étaient toujours au foyer au chômage (fin des allocations familiales, le père peut se retrouver en arrêt longue maladie, inédit la mère au foyer parfois contrainte de travailler pour la première fois), et que le dernier enfant sur 10 n'était toujours pas marié stabilisé après l'année 2000....de gros soucis, peu de repos.

                  Cette période 2ème génération comme surtout après le début de la crise économique, du chômage, choc pétrolier 1973, du fhaine dans la victimisation et le communautarisme de la part de certains gaulois qui n'ont pas cessé depuis de montrer du doigt les immigrés africains et leurs enfants sous de faux prétextes, la haine de plus en plus masquée pour échapper aux procès. C'est à partir de la fin des années 70 que les politiciens font semblant de surfer sur le terrain du fhaine comme Chirac avant 1980 par exemple, jusqu'à Sarkosy et Valls deux fils d'immigrés qui veulent être plus que gaulois que le gaulois sans succès.

                  Quand la 2ème génération essaie de rentrer dans la vie active c'était la fin du plein emploi. A partir de ce moment il faut un bon cercle relationnel et allonger son carnet d'adresse ce que les enfants d'immigrés maghrébins possèdent rarement. C'est seulement depuis les années 2000 que l'on voit des enfants petits enfants d'immigrés maghrébins bénéficiant de leur réseau entourage familial par exemple pour faire face aux fortes discriminations sans preuve à l'embauche ou pour un stage.
                  Dernière modification par panshir, 05 juin 2020, 00h37.

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                  • #24
                    pour "enrichir l'intervention de "Panshir"...

                    et repondre a "Kems"
                    Ce qui me tue
                    c'est qu'il y en a qui s'entre-tuent
                    pour avoir une place en enfer ...
                    apres , dans mon quartier, les ravages fait par l'enclavement , le manque d'opportunité, la toxicomanie , la délinquance...Survint comme remède a tout cela ...l'islamisme radicale.. au début des années 2000.
                    Un islamisme de rejet, qui exploitait le désarroi et la colère , qui proposait une rupture radicale avec ce qu'ont voyait quotidiennement et un retour vers plus de "simplicité".. le retour vers une communauté d'exclu , nous l’étions , mais excluant a son tour .
                    Un des premiers truc de fait par les "frères" sa as été la chasse au toxicos ...le nettoyage de l'espace
                    "tout a été dit , tout reste a penser"
                    Alain

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                    • #25
                      apres , dans mon quartier, les ravages fait par l'enclavement , le manque d'opportunité, la toxicomanie , la délinquance...Survint comme remède a tout cela ...l'islamisme radicale.. au début des années 2000.
                      Et maintenant en 2020, il est comment ton quartier ?
                      au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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                      • #26
                        il y a une "renovation"

                        ..urbaine , qui permet a la mairie de faire bosser les entreprises amies, qui a détruit le centre commercial, parce-que c’était un espace fermé, la maison des jeunes et de la cultures, quelques blocs d'habitations ,dont la remise au normes auraient coûte bien trop cher et qui était délabrés, qui a fait de grand boulevard bien larges , encore plus de parking ...un centre commercial prevu pour les bagnoles (un donuts entouré de parkings) un "centre socaile" qui est un bunker.. des cameras partout .
                        Plus aucun espace d'intimité, tout a ete nivelé pour permettre de vaste perspective.

                        La population a été "associer" au projet , la mairie a mis une maquette en centre ville pressentant le projet et les "habitants" pouvait commenté , il y a une paire de présentation lors de réunion de quartier trimestriel a la gloire de la mairie agissante.

                        Ce quartier été revu avec les yeux de ceux qui n'y habite pas , qui n'y ont jamais habiter .. il ont faciliter les interventions policières ... la video surveillance...ils ont bunkerisé les commerces et les "lieux sociaux"...detruit le peut d'espace d'intimité qu'il y avait .. les habitants doivent pouvoir etre surveillé constammant..

                        Voila ce qu'il est en 2020
                        "tout a été dit , tout reste a penser"
                        Alain

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                        • #27
                          Quand la 2ème génération essaie de rentrer dans la vie active c'était la fin du plein emploi.
                          Le même probléme pour l'immigration portugaise en France a eu lieu principalement dans les années 1960/1970?.

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                          • #28
                            L'immigration portugaise très importante, en même temps que celle algérienne, leur 2ème génération fin des années 70 années 80 était beaucoup moins confrontée aux discriminations et beaucoup mieux acceptée car blanche et chrétienne comme le gaulois, du porto en commun...., beaucoup moins d'insultes..... Après la fin du plein emploi, elle trouvait des emplois beaucoup plus facilement et avait de meilleurs réseaux relations. Les français d'origine portugaise n'ont pas senti autant de rejets. Même le drapeau du Portugal porté par les binationaux n'attire pas autant de haine que celui de l'Algérie lors d'un match de foot. Les "Antonio Ferrara" braqueurs ont logiquement été moins nombreux.
                            Dernière modification par panshir, 05 juin 2020, 21h35.

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