Réponse : ces femmes ne se rendent peut-être pas compte qu'elles mettent trop de parfum. Il est probable qu'elles soient en réalité déprimées.
C'est la conclusion qui semble originale, mais à laquelle est arrivé un chercheur de Tel-Aviv qui étudie les auto-anticorps. Cette classe de composés chimiques lance des attaques en règle contre les cellules du corps, en particulier chez des patients atteints de maladies auto-immunes comme le lupus.
Ces recherches suggèrent donc que les femmes déprimées perdent également le sens de l'odorat; ces femmes pourraient naturellement compenser en rajoutant beaucoup de parfum.
Les chercheurs ont donné des auto-anticorps à des souris femelles afin de provoquer la dépression. Il ont remarqué que ces composés chimiques semblaient « éteindre » les récepteurs olfactifs.
Suite à cela, on a constaté que les souris tendaient à manger moins et à perdre du poids.
On sait bien sûr depuis longtemps que les souris représentent de bons modèles pour comprendre comment l'humain et le cerveau fonctionnent.
La perte de poids est un des premiers signes de la maladie auto-immune chez les patients. C'est simple : si vous ne pouvez sentir correctement ce que vous ingérez, vous ne mangez plus beaucoup, car tout devient insipide. Vous perdez alors du poids.
La dépression opère de la même manière chez les patients qui ont ou n'ont pas de maladie bien entendu. Cela pourrait aussi expliquer pourquoi certains hommes s'aspergent d'Eau de Cologne.
Les chercheurs pensent donc que les médecins devraient davantage se pencher sur le sens olfactif de leurs patients. Ce sens a été négligé pendant trop longtemps : ce n'est qu'il y a trois ans que des chercheurs ont obtenu un prix Nobel pour avoir décrypté le fonctionnement des récepteurs olfactifs chez les humains.
Il s'agit donc d'un important domaine de recherche à défricher.
- Source: LiveScience
C'est la conclusion qui semble originale, mais à laquelle est arrivé un chercheur de Tel-Aviv qui étudie les auto-anticorps. Cette classe de composés chimiques lance des attaques en règle contre les cellules du corps, en particulier chez des patients atteints de maladies auto-immunes comme le lupus.
Ces recherches suggèrent donc que les femmes déprimées perdent également le sens de l'odorat; ces femmes pourraient naturellement compenser en rajoutant beaucoup de parfum.
Les chercheurs ont donné des auto-anticorps à des souris femelles afin de provoquer la dépression. Il ont remarqué que ces composés chimiques semblaient « éteindre » les récepteurs olfactifs.
Suite à cela, on a constaté que les souris tendaient à manger moins et à perdre du poids.
On sait bien sûr depuis longtemps que les souris représentent de bons modèles pour comprendre comment l'humain et le cerveau fonctionnent.
La perte de poids est un des premiers signes de la maladie auto-immune chez les patients. C'est simple : si vous ne pouvez sentir correctement ce que vous ingérez, vous ne mangez plus beaucoup, car tout devient insipide. Vous perdez alors du poids.
La dépression opère de la même manière chez les patients qui ont ou n'ont pas de maladie bien entendu. Cela pourrait aussi expliquer pourquoi certains hommes s'aspergent d'Eau de Cologne.
Les chercheurs pensent donc que les médecins devraient davantage se pencher sur le sens olfactif de leurs patients. Ce sens a été négligé pendant trop longtemps : ce n'est qu'il y a trois ans que des chercheurs ont obtenu un prix Nobel pour avoir décrypté le fonctionnement des récepteurs olfactifs chez les humains.
Il s'agit donc d'un important domaine de recherche à défricher.
- Source: LiveScience
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