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Pourquoi les pieds noirs ont quitté l'Algérie

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  • #46
    Tu as raison Alibigoud, Ils étaient trop jeune et ils se contente de l'histoire de l'Algérie imposée par le pouvoir, leur cerveaux ont été formatés dès la naissance par un "anti Français" incroyable et par une religion déformée, en fait ils sont victime du FLN.
    Ceux qui avaient ton âge ont préféré monter au maquis que danser le twist .

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    • #47
      Envoyé par Space Voir le message
      Bonsoir ,
      sekrouf ,merci pour la vidéo
      ça vaut le détour

      ce que je retiens
      pieds noirs =bombe à retardement

      je suis tentée de dire que , De Gaulle était une crème comparer aux pieds noirs dans cette Histoire de l'Algerie
      A votre service

      Voilà au moins une qui a pris la peine de regarder la vidéo. Car, d'après les commentaires ici, d'aucuns n'a pris la peine de jeter un coup d'oeil. On a lu le titre du topic et on s'est lancé dans les débats
      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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      • #48
        Envoyé par ahras Voir le message
        le FLN ne s'attaquait jamais aux pauvres pieds noirs comme veut bien nous le faire croire notre ami
        Votre envolée lyrique mérite bien une réponse.
        L'étendue des crimes du FLN se passe de tout commentaire. Mon père les a constaté de visu.
        Alors dire que le FLN ne s'attaquait jamais aux pieds noirs est tout simplement du négationnisme qui ne peut que prêter à sourire.
        et donc j'imagine bien l'ambiance a la maison , le père qui insulte et méprise ces incultes et analphabètes indigènes , qui ne comprend pas l'insoumission de ces sous hommes .
        Je n'ai jamais entendu mon père mépriser les indigènes, pour la bonne raison qu'il a servi de nombreuses années dans des régiments de tirailleurs algériens (1° RTA - 3° RTA - 22° RTA) et qu'il ne tarissait pas d'éloges à l'égard de ces excellents soldats.
        donc normal que la peur règne dans cette maison.
        La peur n'a jamais régné à la maison, pour la bonne raison que l'on vivait tout à fait normalement à Bône. Si cela n'avait pas été le cas, nous serions restés en France métropolitaine.
        A la fin, mon père a préféré nous faire partir à quelques jours de l'indépendance à cause des assassinats et des enlèvements, vu le non respect des accords d'Evian par le FLN et l'attitude de certains Algériens qui avaient été attentistes pendant toutes ces années, en attendant de savoir de quel côté le vent allait tourner, et qui après le soi-disant cessez le feu du 19 mars 1962, ont tenté de se faire passer pour des héros et des moudjahidines en assassinant des civils.
        Nous mettre à l'abri à ce moment là était de sa part un geste normal pour un père de famille qui était en service à Guelma et qui ne rentrait que rarement à son domicile.
        Qu'en est il de la gégène et les tortures , beaucoup d'algériens y ont gouté , ton père savait il manier cet outil de torture ?
        Impossible puisque mon père était avec des soldats Algériens et que vous savez bien que ceux-ci ne commettent jamais de crimes.
        Y a beaucoup a raconter , mais bon , faut savoir s'arrêter
        Vous avez raison, il faut raconter à condition d'une part d'avoir été témoin des faits et de ne pas déformer la réalité faute d'y avoir assisté, et d'avoir été biberonné à la propagande du FLN.
        D'ailleurs, je suis persuadé que vous n'avez pas vécu cette époque. Les plus virulents à cet égard sont ceux qui sont dans ce cas.
        Veuillez nous indiquer où vous vous trouviez entre 1954 et 1962, vous qui vous permettez maintenant de distribuer les bons et les mauvais points devant votre écran.
        Dernière modification par alibigoud, 24 avril 2021, 10h09.

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        • #49
          Nous ne sommes ni n'aurions été du coté des tortionnaires, de ceux qui exploitent et qui spoliaient, des profiteurs
          Dernière modification par kaghemoussa, 24 avril 2021, 12h46.
          "tout a été dit , tout reste a penser"
          Alain

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          • #50
            Envoyé par alibigoud
            En raison des assassinats et des nombreux enlèvements d'européens par le FLN, il a décidé de nous faire partir quelques jours avant l'indépendance.
            Ce n'était donc pas à cause de l'OAS.
            Ça c’était le mot d'ordre passé à l'armée Française pour les militaires et pour la population civile également .

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            • #51
              Bonjour Sekrouf

              c'est dommage en effet
              parce que cette vidéo est plus parlante , elle retrace l'historique des faits et évènements avec des témoignages à l'appui des personnes qui étaient sur le terrain à l'époque .
              "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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              • #52
                Envoyé par Space
                je suis tentée de dire que , De Gaulle était une crème comparer aux pieds noirs dans cette Histoire de l'Algerie

                Je pense que De Gaulle ne voulait pas d’une Algérie française.. Lui, il chérissait une France purement chrétienne.. Une Algérie française impliquerait tôt ou tard les mêmes droits entre musulmans et européens, la même nationalité, donc la libre circulation entre l’Algérie et la métropole.. La "menace" ethnique contre la France blanche et chrétienne était trop forte pour lui. Il fallait se débarrasser de cette Algérie menaçante.. quitte à rapatrier tous les européens chrétiens.. Les harkis étaient un dommage collatéral.. il aurait préféré les laissé sur place, à leurs sorts.. il était obligé de les évacuer eux aussi.. mais il les avait parqués dans des camps en espérant les renvoyer une fois la situation stabilisée.

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                • #53
                  Envoyé par alibigoud

                  En raison des assassinats et des nombreux enlèvements d'européens par le FLN, il a décidé de nous faire partir quelques jours avant l'indépendance.
                  Ce n'était donc pas à cause de l'OAS.
                  Une image sur les violences exercées par le FLN en 1962,, ce que l'on a appelé les massacres d'Oran, que j'ai vu assez récemmen, m'a particulièrement choqué.
                  (Il faut dire que j''ai eu connaissance de ces évênements tragiques assez récemment.).
                  On y voit un groupe d'européens, raflés dans une agence bancaire, en cravate et chemises blanches, une jeune et jolie européenne chignon bien coiffé et chemisier blanc en tête, tous encadrés par des éléments armés du FLN,.
                  Le commentaire sous la photo est terrible, "ce groupe d'Européens enlevés va être massacré dans quelques instants".
                  L'image se passe de commentaires, et suffit à expliquer la terreur qu'ont du éprouver les quelques européens qui ont été tentés de rester.
                  Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
                  Mahomet

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                  • #54
                    Tu attises nos sensibilités avec cette description , bien vrai cela dit, mais regarde d'un autre œil aussi , l'autre réalité. Savais - tu que les Français pratiquaient la ségrégation raciale en Algérie, veux - tu que je cite quelques exemples ?




                    tizi-ouzou,ecole indigene;http:/:alger-roi.fr
                    Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. En savoir plus

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                    • #55
                      Envoyé par gdesmon
                      Une image sur les violences exercées par le FLN en 1962,, ce que l'on a appelé les massacres d'Oran
                      Envoyé par ahras Voir le message
                      pour rappel , le FLN ne s'attaquait jamais aux pauvres pieds noirs comme veut bien nous le faire croire notre ami
                      On ne va pas tarder à vous répondre que cela n'a jamais existé.
                      Le massacre d'Oran a fait plusieurs centaines de victime européennes.
                      Il a eu lieu le 5 juillet 1962, jour de l'indépendance et jour où l'armée et les forces de l'ordre françaises n'avaient plus le droit d'intervenir en vertu des accords d'Evian.
                      Celles-ci sont donc restées dans les casernes, malgré les appels à l'aide de la population européenne vu l'ampleur du massacre.
                      Dernière modification par alibigoud, 24 avril 2021, 17h20.

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                      • #56
                        Les " indigènes " même intello et occupant des emplois administratifs et tout ...n'avaient pas le droit d'entrer aux cinéma, pas le droit d'entrer dans des cafés Européens , pas le droit de s'attabler sur une place publique pour prendre une glace , pas le droit d'entrer aux galeries de France , pas le droit d'entrer aux prisunic , pas le droit d'avoir une fonction d'état ( Maire par exemple ) et tout ça c'est une vérité ! ! !

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                        • #57
                          Un autre son de cloche (un peu trop long) :
                          Un moment tragique raconté par José Castano.

                          Massacre d’Oran : le 5 Juillet 1962, plus de 2000 Européens furent massacrés par une foule de musulmans fanatiques. On en retrouva des morceaux épars suspendus à des crocs de boucher et dans des poubelles. Des centaines d’autres furent portés disparus dont on retrouva la trace dans les mines de sel. Sur ordre de De Gaulle, le général Katz laissa faire et n’empêcha pas cette chasse aux Européens. Il avait pourtant près de 20.000 hommes sous ses ordres.
                          « Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! » – Jean Racine – (« Britannicus »)

                          En ce début d’année 1962, en Algérie, l’Organisation Armée Secrète était arrivée à l’apogée de sa puissance et le slogan « l’OAS frappe où elle veut, quand elle veut », n’avait jamais été aussi vrai. A Oran, elle était maîtresse de la ville. À sa tête figuraient des noms prestigieux comblés de gloire et d’honneurs qui entretenaient un climat de confiance malgré le tragique de la situation…

                          Le gouvernement gaulliste ne pouvant admettre pareille humiliation, avait nommé à la tête du secteur autonome d’Oran, afin de réduire cette « OAS narguante » -et pour le malheur des Oranais- le 19 février 1962, le général Joseph Katz en remplacement du général Fritsch qui refusait de pratiquer sur les membres de l’OAS cette besogne de basse police qu’était la torture. La mission de Katz : « Mettre au pas la ville sous contrôle de l’OAS ». L’Organisation était alors dirigée par les généraux Jouhaud et Gardy, le colonel Dufour, le commandant Camelin, le lieutenant de vaisseau Pierre Guillaume, Charles Micheletti et Tassou Georgopoulos.

                          En bon exécutant, Katz, s’apprêtait à écraser ceux qui refusaient d’obéir aux ordres de l’Élysée et ceux qui persistaient à crier « Algérie française ! », maxime désormais classée comme « cri séditieux », ajoutant aux vertus de l’obéissance passive, une haine que même le règlement de la gendarmerie (sa garde prétorienne) ne prescrivait pas.

                          Carré d’épaules, rond de ventre, aussi peu distingué que son complice d’Alger, le colonel Debrosse, outre celle de leur cruauté, on leur prêtait une certaine ressemblance : même corpulence massive, même front de taureau, même manie de traiter tout le monde de «con » ou de « bon à rien », même absence de scrupules. En somme, pour reprendre les mots de Lamartine : « Rien d’humain ne battait sous son épaisse armure ».

                          Katz était un militaire républicain que De Gaulle avait cueilli à Bordeaux pour l’envoyer mater la « racaille d’Oran » (sic). Son sentiment à l’égard des Pieds Noirs était celui-ci : « Un ramassis de descendants de déportés de droit commun, de négriers qui veulent conserver leurs privilèges. »

                          Alors qu’à Alger, depuis la sanglante affaire des Barricades, on avait surnommé Debrosse : « Le sanguinaire », très vite, aux yeux des Oranais, Katz allait devenir « Le boucher ». Pour briser toute résistance, la première consigne qu’il donna à sa troupe essentiellement constituée de « gens sûrs », en l’occurrence les Gendarmes Mobiles, dits « les rouges », fut celle de tirer à vue sur tout Européen qui aurait l’audace de paraître sur une terrasse ou un balcon lors d’un bouclage. « Le feu – précisa-t-il – sera ouvert sans sommation sur les contrevenants à partir du 23 avril. De même, le feu sera ouvert, par tous les moyens y compris l’aviation, sur les éléments OAS circulant en ville. ». C’était ratifier une pratique que les « gendarmes rouges » utilisaient déjà depuis un mois…

                          Les premières victimes du « boucher d’Oran » furent deux adolescentes de 14 et 16 ans : Mlles Dominiguetti et Monique Echtiron qui étendaient du linge sur leur balcon. Elles furent tuées par les gendarmes. Les projectiles d’une mitrailleuse lourde de 12/7 traversèrent la façade et fauchèrent dans leur appartement, Mme Amoignan née Dubiton, dont le père était déjà tombé sous les balles d’un terroriste du FLN, ainsi que sa petite fille, Sophie, âgée de deux ans et demi et sa sœur, Frédérique, âgée de treize ans qui, atteinte à la jambe, eut le nerf sciatique arraché et dut être amputée.

                          « Il est beau qu’un soldat désobéisse à des ordres criminels » ; à l’évidence, ces « soldats » par trop zélés n’avaient pas lu Anatole France…

                          Cette lutte « impitoyable et par tous les moyens », selon l’ordre donné par de Gaulle, faisait partie d’un plan mûrement concerté : IL FALLAIT ABATTRE L’ALGERIE FRANÇAISE ; il fallait aussi montrer aux masses musulmanes, longtemps hésitantes, qu’elles devaient maintenant et définitivement, opter pour le FLN dont la France était désormais l’alliée, luttant, avec ce mouvement terroriste, contre l’ennemi commun : LE FRANÇAIS D’ALGERIE ! Et cette alliance n’avait aucune limite, ne souffrait d’aucun scrupule dès lors qu’elle permettrait de venir à bout de l’OAS… Pour preuve : au mois de mai 1962, la gendarmerie « blanche » arrêta un assassin de la pire espèce, Slémani Slimane, qui reconnut avoir torturé et tué vingt-sept Européens. Il fut inculpé. Katz le fit libérer et rapportera que ce dernier « lui rendra de grands services dans les jours les plus agités ».

                          S’adressant à un membre de l’Exécutif Provisoire, Katz eut ces mots terribles : « Donnez-moi un bataillon de l’A.L.N. et je réduirai l’O.A.S. à Oran ». Ces propos, monstrueux et inqualifiables de la part d’un officier français firent l’objet d’une question à l’assemblée Nationale (J.O. du 8 mai 1962 – page 977). Ce « bataillon de l’ALN », Katz allait néanmoins se le procurer –avec l’assentiment discret de l’Élysée- en procédant au recrutement de la plus immonde espèce d’assassins qu’il eût été donné de voir…

                          Ce renfort était constitué par les « martiens », ces révolutionnaires du mois de mars, qui, le cessez-le-feu prononcé, venaient sans danger rejoindre les rebelles. Ils étaient les combattants de la dernière heure, impatients de fêter dans le sang leur baptême de « libérateurs » et de se parer d’états de service de pillages et de tueries à faire pâlir le plus chevronné des assassins. Leur unique but était de se faire valoir et, surtout, de faire oublier qu’ils s’étaient abstenus de combattre durant sept années, attendant de connaître l’issue des armes pour se ranger du côté du vainqueur. De ce fait, ils étaient devenus les plus sanguinaires : exactions, tortures, viols, massacres d’Européens et de harkis se multipliaient, mais on n’en parlait pas. Leurs bandes anarchiques allaient être à l’origine du pogrom anti européen du 5 juillet 1962 à Oran qui fit plusieurs milliers de victimes… mais dont on taira le nombre exact.

                          La fraternisation entre Gardes Mobiles et FLN était sans retenue : le soir, les premiers étaient généreusement pourvus en prostituées envoyées par les seconds. On ne peut, dès lors, s’étonner de l’attitude passive qui fut celle de Katz et de ses gendarmes lors de la tuerie du 5 juillet… Sur ce point, rappelons cette anecdote impliquant un officier français musulman, le lieutenant Rabah Kheliff qui commandait la 4e compagnie du 30e BCP (Bataillon de Chasseurs Portés). Le 5 juillet 1962, celui-ci, apprenant que des civils européens étaient regroupés en divers points de la ville d’Oran dans l’attente d’être exécutés, décida de passer outre les ordres de Katz de ne pas intervenir et de se porter à leur secours. Il prévint par téléphone son colonel, qui répondit : « Faites selon votre conscience, quant à moi je ne vous ai rien dit ».

                          À la tête de la moitié de sa compagnie, le lieutenant Kheliff gagna un des points de regroupement, devant la préfecture. « Il y avait là une section de l’ALN, des camions de l’ALN et des colonnes de femmes, d’enfants et de vieillards européens dont je ne voyais pas le bout. Plusieurs centaines, en colonnes par trois ou quatre, qui attendaient là avant de se faire zigouiller » rapportera-t-il. Le lieutenant Kheliff exigea et obtint du préfet, Souiyah El Houari, leur libération. S’étant quelque peu éloigné de son détachement, il fut lui-même pris à partie et blessé par des civils algériens, puis dégagé par ses hommes, à qui il interdit d’ouvrir le feu. Après quoi, il établit des patrouilles sur les axes routiers menant à l’aérodrome et au port pour « arracher littéralement » des malheureux des mains de leurs agresseurs.

                          À la suite de cet acte héroïque, il fut mis aux arrêts de rigueur, et convoqué par Katz qui lui adressa ces mots terribles : « Si vous n’étiez pas arabe, je vous casserais ! ».

                          La « victoire » acquise, l’indépendance accordée à ses alliés, KATZ quitta Oran pour la Métropole le 13 août 1962, après avoir fait l’objet, le 4 août, d’une citation à l’ordre de l’armée comportant l’attribution de la Croix de la Valeur Militaire avec palme pour, entre autres, « avoir su rétablir et préserver avec force et dignité l’autorité légale et l’ordre public »… décoration qui lui sera remise par le Ministre des armées, Pierre Messmer. Une nouvelle étoile vint également rappeler ses « bons et loyaux services ». De Gaulle savait payer ses séides !…

                          Nommé fin 63 à la tête de la 4ème Région Militaire (Bordeaux), il quitta le service armé début 1968 avec le grade de général d’armée (5 étoiles).

                          Une plainte pour « complicité de crime contre l’humanité et obéissance à des ordres criminels » fut déposée le 16 octobre 1999 entre les mains du doyen des juges du Palais de Justice de Paris au nom de 47 familles des victimes du massacre du 5 juillet à Oran ainsi que du « Comité Véritas »(1). Cette plainte fut déclarée irrecevable mais suivie d’une décision par le juge de non informer. Un appel de cette décision n’aura pas de suite en raison du décès du « Boucher d’Oran » intervenu le mardi 6 mars 2001 à Amélie-les-Bains (66). Rejeté par ses pairs, il finira ses jours, seul, et sa famille choisira de l’inhumer au cimetière de ROSAS, en Espagne.

                          José CASTANO

                          (1) – Depuis la « Jus Resistendi » du Droit romain jusqu’à l’article 122-4 du Code Pénal français actuel qui stipule : « N’est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l’autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal », il paraît probable que Joseph Katz, aurait perdu le procès que VERITAS lui avait intenté car il avait, à l’évidence, consenti à l’exécution d’un ordre criminel de de Gaulle consistant en la consignation des troupes françaises en leurs casernements (22 000 hommes) alors que les Français d’Oran se faisaient massacrer en grand nombre, le 5 juillet 1962.

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                          • #58
                            Envoyé par Wahrani
                            Tu attises nos sensibilités avec cette description , bien vrai cela dit,
                            wahrani ce n'est pas pour jouer sur la sensibilité, des uns et des autres, les exactions des forces d'occupation française ainsi que l'oppression des "indigènes" ne peuvent pas être démenties.
                            Je souhaiterai simplement rester dans le sujet du topic : "Pourquoi les pieds noirs ont quitté l'Algérie ?" (topic à la suite duquel je me suis permis d'ajouter un point d'interrogation).










                            Dernière modification par gdesmon, 24 avril 2021, 17h38.
                            Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
                            Mahomet

                            Commentaire


                            • #59
                              Les " indigènes " même intello et occupant des emplois administratifs et tout ...n'avaient pas le droit d'entrer aux cinéma, pas le droit d'entrer dans des cafés Européens , pas le droit de s'attabler sur une place publique pour prendre une glace
                              C'était pas le cas du tout du côté de Biskra.
                              pour rappel , le FLN ne s'attaquait jamais aux pauvres pieds noirs comme veut bien nous le faire croire notre ami
                              ce n'est pas vrai du tout.
                              Les gens du FLN ont été derrière bien des attentats contre des civils et généralement les victimes étaient pieds noirs.
                              Le FLN a opéré des attentats même contre des musulmans qui n'observaient pas les ordres.

                              Commentaire


                              • #60
                                Envoyé par Bachi Voir le message
                                ce n'est pas vrai du tout.
                                Les gens du FLN ont été derrière bien des attentats contre des civils et généralement les victimes étaient pieds noirs.
                                Le FLN a opéré des attentats même contre des musulmans qui n'observaient pas les ordres.
                                Le FLN a assassiné plus de musulmans que de Français.

                                Commentaire

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