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Pourquoi le christianisme séduit les Algériens ?

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  • #46
    je vais très bien Medit, je te remercie, ça fait longtemps que je ne t'ai pas lu

    oui le mot clé c'est la Tolérance comme tu viens de le préciser, je ne vois pas pourquoi quelqu'un viendrai m'interdire de pratiquer ma religion, donc pourquoi interdire la pratique ou la découverte d'une autre religion, ça ne devrait regarder que la personne en tel..

    ce qui se passe dans la tête des autres ?, c'est un peu normal, ce qui vient de se passer les dernières années a fait que beaucoup de gens on été lire et se sont documenter sur l'islam, beaucoup on compris c'est quoi la grande nuance entre ''l'islam '' et le nouveau terme 'l'islamisme ' , avec la lecture la foi en cette religion est née..

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    • #47
      La liberté de culte existe... Chacun est libre de sa foi.
      Et puisque le passé identitétaire est obsession ces temps-ci: il faut se rappeler que quelques' uns de ces personnages historiques étaient Chrétien. Ils font partie de l'HIstoire algérienne, mais ils étaient chrétiens... cf St Augustin.

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      • #48
        donc si y a une façon de voir l'islamisme politique comme retoure en arrière ou comme certain extremiste le cas du christianisme en algérie c'est se qu'il y a de plus arriérer on retourne a l'époque augustin non y a les athées il retourne a l'époque des dessins sur les murs au hogar (selon certaine source).

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        • #49
          Ce que je veux expliquer ( purée de purée de pois de chiche khaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa) c'est l'Histoire de l'Algérie a un grand GRAND rapport avec le Christianisme et le Judaisme.

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          • #50
            je vous avez dit ,sans religions on vivras mieux .
            faites de la gymnastique maintenant.

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            • #51
              En democratisant le christianisme, en universalisant le judaisme et en eliminant l'islamisme (je precise islamisme et non Islam), en encourageant, la decouverte, le RESPECT de l'autre et la TOLERANCE, on aura une et une seule religion... monotheiste.
              Dieu nous en préserve... ces trois religions sont déjà les plus intolérantes, et ce de par leur monothéisme.
              ¬((P(A)1)¬A)

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              • #52
                c'est l'Histoire de l'Algérie a un grand GRAND rapport avec le Christianisme et le Judaisme.
                Et c'est à force d'avoir voulu occulter la lumière avec un tamis que ce GRAND grand rapport est en train de refaire surface ....... un peu comme celui qui passerait son temps à enfoncer du liège dans l'eau !!
                Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                • #53
                  Ce n'est pas parce que 3 ou 4 Algériens se sont convertis au christianisme qu'il faut dire que cette religion séduit les Algériens de façon générale. Tout comme quand quelques chrétiens se convertissent à l'Islam, il ne s'agit pas plus d'une tendance générale.
                  La seule tendance c'est la généralisation progressive de l'athéïsme en occident. Et ce malgré les sectes qui se développent mais qui ne répondent qu'aux besoins des paumés de la vie. Avec le confort, les gens ne recherchent plus la dimension spirituelle.

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                  • #54
                    révo-réso

                    je vous avez dit ,sans religions on vivras mieux .
                    faites de la gymnastique maintenant.
                    petetre ke tu a raison mè il fo surtt pa oublie ke celui ki n'a pa de religion n'a pa d'espoire
                    mon avis est vrais il peut être faux, votre avis est faux il peut être vrais.

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                    • #55
                      je c mnt pourkoi on parle de bcp de gens ki sont converti au chrestianisme (en algerie) mè on a jamais vu une seul.....
                      voila la repansse:
                      Convertie il y a quatre ans au christianisme Habiba jugée hier à Tiaret


                      Le procureur a requis la peine de trois ans de prison ferme à l’encontre de K. Habiba pour pratique « sans autorisation d’un culte non musulman ». Le ministère des Affaires religieuses s’est constitué « partie civile » dans cette affaire. Le verdict est attendu pour mardi prochain. 6 membres de la même église seront jugés le même jour à Tiaret.

                      C’est le chemin de croix qui commence pour Habiba. Elle est de l’ouest du pays, de Tiaret, elle a la foi chrétienne et elle risque trois ans de prison ferme. Habiba K., la trentaine bien entamée, convertie il y a quatre ans au christianisme, a été jugée hier en correctionnelle par le tribunal de Tiaret. La jeune femme, ancienne employée d’une crèche à Oran, est accusée par le ministère public de pratiquer un « culte non musulman sans autorisation ». Une première dans les annales judiciaires.
                      La situation est d’autant plus inédite, car il s’agit du premier procès où la pratique libre de la foi chrétienne est vertement remise en cause. Jusque-là, l’appareil judiciaire s’est borné à juger les affaires liées au prosélytisme. Une dizaine de procès a été intentée dans ce sens à travers de nombreuses villes du pays, Oran, Mascara, Sidi Bel Abbès, Béjaïa,... et plusieurs membres de l’Eglise protestante ont été condamnés à des peines de prison avec sursis, assorties d’amendes lourdes allant jusqu’à 500 000 da.
                      Face à son juge, Habiba n’avait pas hier le cœur au reniement, ni aux dérobades. Zen, la voix presque éteinte, de nature, elle assumera au prétoire, sans détour, avoir choisi Al Massih, le Christ. Une vingtaine de jours auparavant, elle tenait tête au procureur de la République et refusa d’abandonner sous la contrainte sa nouvelle foi.
                      « C’est soit le tribunal, soit la mosquée », lui aurait signifié le procureur. Au juge qui la bombarde de questions, un ton moqueur, un ton amène, elle raconte sans s’encombrer de détails et dans un silence religieux sa passion, ses premiers pas dans l’église et son arrestation fin mars par les gendarmes de Tiaret.
                      « A l’église, on t’a fait passer l’examen d’admission céleste ? », lui demande le juge. Silence dans la salle. « On t’a fait boire l’eau qui te mènera droit au paradis », revient encore à la charge le magistrat après que Habiba ait fait mine de ne pas comprendre la question.
                      Elle répond par un « oui ». Un « oui » qui doit signifier qu’elle a été baptisée. Le juge lui demande de nouveau pourquoi elle transportait dans ses bagages une quantité d’ouvrages religieux, des évangiles notamment. « On n’en a cure que vous deveniez chrétienne ou bouddhiste, c’est entre vous et votre Créateur, dites-nous que faisiez-vous avec tous ces livres. »
                      Le délit imaginaire

                      « Je revenais par bus d’Oran, répond-elle, où j’étudie à l’Ecole d’études bibliques. A l’entrée de la ville, les gendarmes qui dressaient un barrage sur la route sont montés dans le véhicule et sont venus directement vers moi et ont fouillé mes bagages. J’avais des livres sur moi. Mes livres à moi. »
                      Le procureur, silencieux depuis l’ouverture de la séance, l’interrompt brusquement : « Que faisiez-vous avec une douzaine d’exemplaires du même livre ? Ce n’est quand même pas pour votre usage personnel ? Vous les distribuez à votre entourage, n’est-ce pas ? Vous prêchez avec la parole chrétienne ? », s’adresse-t-il à la frêle silhouette de Habiba.
                      Le délit imaginaire. Il n’en fallait pas plus pour enflammer l’avocate, Me Khalfoun, du barreau de Tizi Ouzou. Venue expressément à Tiaret pour assurer la défense de Habiba, après que certains avocats de la ville aient refusé de plaider dans cette affaire, Me Khalfoun, connue surtout après les retentissants procès des émeutiers du « printemps noir » de Kabylie et des « gendarmes assassins », bat en brèche les accusations du ministère public qui, dit-elle, ne reposent sur aucun fondement juridique. « On ne juge pas sur les intentions, mais sur les actes », plaide-t-elle. L’infraction est à ses yeux « imaginaire » et n’est étayée par aucun texte juridique.
                      « Dois-je rappeler à ce propos l’un des sacro-saints principes du droit pénal, à savoir qu’il ne peut y avoir accusation ou condamnation sans texte réglementaire », s’adresse-t-elle au tribunal. L’article 11 de l’ordonnance de février 2006 fixant les règles et conditions d’exercice des cultes autres que musulman, explique l’avocate, ne peut être appliqué au cas de Habiba. « Lorsque ma cliente a été arrêtée, elle n’était pas en train de prêcher.
                      Elle ne distribuait pas des bibles. Elle était assise seule dans ce bus qui l’a ramenée chez elle », déclare Me Khalfoun. L’article 11 en question traite uniquement des cas flagrants d’« incitation, d’utilisation de moyens de séduction » afin de convertir des « musulmans à une autre religion » dans les lieux publics et aussi la fabrication et la distribution de documents imprimés ou audiovisuels visant à « ébranler la foi des musulmans ».
                      Des infractions passibles d’une peine de 2 à 5 ans de prison et à une amende allant de 500 000 à 1 million DA. Dans l’ordonnance précitée, aucune « trace » d’une éventuelle mise en accusation d’individus pour « pratique sans autorisation d’un culte autre que musulman ». Autant dire, une « invention » du parquet.
                      Pis, s’interroge Me Khalfoun, « quelle est cette autorité, morale ou administrative, habilitée à délivrer une autorisation pour pratiquer telle ou telle religion ? » Tout en réclamant l’acquittement de sa cliente, l’avocate de la défense en appelle au respect de la Constitution qui garantit à toute personne le droit à la liberté de la pensée, de la conscience et de la religion.
                      L’avocat de la partie civile (la direction des affaires religieuses de la wilaya de Tiaret dont est originaire l’actuel ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Abdallah Ghlamallah, Ndlr) se contentera de déclarer au tribunal que les tentations d’évangélisation représentent une « menace pour la sécurité nationale ». Rappelons que récemment, le ministre des Affaires religieuses a nié toute « persécution » à l’encontre des convertis au christianisme et a déclaré, suite notamment aux pressions de la communauté internationale, que l’Etat algérien ciblait uniquement les « sectes ».
                      Mardi prochain, six autres membres de la communauté chrétienne de Tiaret seront jugés par le même tribunal pour prosélytisme. Le verdict du « procès Habiba », qui ne manquera certainement pas de faire des remous, sera connu le jour même.
                      Mohand Aziri
                      EL WATAN 21 MAI 2008

                      mon avis est vrais il peut être faux, votre avis est faux il peut être vrais.

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                      • #56
                        ben je dirai que les sociétés musulmanes traditionelles sont confrontées à un nouveau phénomène, enfin pas si nouveau, mais qui a pris de l'ampleur depuis ce dernier siècle, c'est la liberté de culte.
                        Meme si il n'y a pas la liberté de culte dans tous les pays en revanche l'idée existe et est pratiqué voir fait parti de constitutions de pas mal de pays.
                        En France beaucoup se convertissent à l'Islam, donc ailleurs ben pareil, moins je crois... mais je pense que l'islam devra faire face à ce nouveau phénomène en terre d'islam, alors que l'Eglise c confronté à ce phénomène avant donc c un peu comment réagir.
                        Le christianisme évolue surtout dans des pays ou la liberté de culte est un droit, c pour ça qu'au début elle a vu ses eglises se vider...
                        Après je trouve difficile de poser des chiffres, parcequ'il faut faire la différence entre les conversions superficielles qui ne durent pas, et ceux qui le cachent.
                        C'est comme savoir combien y 'a t'il de juifs en Algérie... on sait qu'il en reste, mais ils ne le crient pas sur les toits...

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                        • #57
                          pourtant on accepte les athées et les boudhiste chinois dans la société on est ouvert nous les algériens certain sont installer , les français ont les aiment depuis la nuit du temps ,et les américains a ourgla aussi ....

                          mais on aime pas les harka les notres , celui qui laisse son parti pour servir l'ennemie mais l'ennemie et le bienvenue chez nous ! peut etre c'est un peut sa !

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