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Théorie du grand remplacement: attentat terroriste raciste à Buffalo aux Etats-Unis

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  • #16
    faut bien vérifier , peut être qu'il a dit Allahou Akbar et qu'il soit l'un de ces convertie express
    Dernière modification par Zviti, 16 mai 2022, 10h19.

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    • #17
      "Pour rappel, cette théorie résiste mal à l’examen statistique, puisque les chiffres mis en avant par ses promoteurs sont très largement disuctable. Pour le démographe et historien Hervé Le Bras, il est même “impossible” qu’un tel scénario puisse se produire. Dans son ouvrage "Il n'y a pas de grand remplacement" (éditions Grasset), ce directeur d’étude à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) démonte ce concept, point par point, sur la base des données empiriques fondées et en levant le voile sur les “fantasmes” qui conduit l’extrême droite à y adhérer. Parfois pour le pire, comme le montre l’attentat commis Payton Gendron ce samedi....." huffingtonpost 15 05 2022.


      Celui qui vit dans un quartier où l'Etat a laissé faire une forme d'apartheid culturel ou racial comme aux Etats-Unis peut avoir des hallucinations au niveau national surtout s'il va chez Leclerc. C'est un peu comme le colon qui ne supporte pas la diversité.

      Il faut pénaliser ceux qui véhiculent la théorie du grand remplacement vu les passages à l'acte terroriste raciste et que certains, cas plus graves, des médias, politiciens et pseudos intellos consciemment ou inconsciemment incitent à la violence, à la haine, aux actes terroristes, voir souhaitent la guerre civile pour l'épuration ethnique sans oser l'avouer comme les signataires de tribunes d'anciens militaires ultra droitistes en France. Cet attentat montre bien la haine primaire. Comme aux Etats-Unis, les faux prétextes "immigration religion..." en France tombent à l'eau, la haine primaire bien démasquée encore une fois prouvée. Cette haine primaire refoulée, c'est la même que celle de la part de certains colons qui n'ont jamais supporté la diversité même en étant chez les autres.

      Même si peu de diversité culturelle et ethnique, les haineux souhaitent souvent la guerre comme par le passé, à l'image du nazisme.
      Dernière modification par panshir, 16 mai 2022, 09h18.

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      • #18
        Pour le démographe et historien Hervé Le Bras,
        Hervé Le Bras, qui a près de 80 ans,
        est surtout un militant immigrationniste.
        Ses positions lui valent de s'exprimer régulièrement sur les médias gauchistes.

        Ce qu'on ne dit pas, c'est que de nombreux démographes sont en désaccord complet avec lui
        et que l'INED (Institut National d'Etudes Démographiques) lui a fait un procès il y a quelques années.
        au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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        • #19
          Par Paul T., haut-fonctionnaire.
          Cette tribune est née de la lecture d'un entretien accordé par le démographe Hervé Le Bras au Secours Catholique, pourtant censé « déconstruire les préjugés », au cours duquel celui-ci utilise un certain nombre d'arguments et de « techniques » qui paraissent relever au mieux de la mauvaise foi, au pire - parfois - de la malhonnêteté intellectuelle et d'un discours plus militant que scientifique. Ces techniques et arguments revenant souvent dans le débat public, il m'a paru intéressant d'y consacrer une tribune. Il ne s'agit ainsi en aucun cas d'une attaque à l'encontre de la personne d'Hervé Le Bras.
          Décryptage et analyse de ces subterfuges classiques fréquemment utilisés.

          Première technique : raisonner à l’échelle la plus large possible afin de réduire l’importance apparente des phénomènes.

          « A l’échelle européenne, on a un solde de 1,4 millions d’entrées et de sorties d’étrangers, ce qui est peu comparé aux 500 millions d’Européens ». L’arrivée d’immigrés se concentrant essentiellement sur un nombre restreint de pays – des pays comme la Slovénie, la Slovaquie, la Croatie, le Danemark, les pays Baltes, etc. n’accueillant qu’un nombre limité d’immigrés extra-européens, il n’y a pas réellement d’intérêt à prendre l’Union Européenne comme référentiel. Raisonner au niveau de l’UE-27 conduit à inclure dans les calculs des pays moins concernés par le phénomène migratoire…

          Deuxième technique : toujours parler de flux et ne jamais parler de stocks !

          Au cours de l’entretien, Hervé Le Bras multiplie les chiffres sur les flux sans jamais parler de stocks : il évoque ainsi 1,5 millions d’entrée d’immigrés au niveau européen, 190 000 entrées nettes d’immigrés en France, 160 000 demandes d’asile, etc. Quand évoque-t-il les stocks ? Jamais.
          Un stock correspond à l’accumulation dans le temps de flux annuels. Pour parler de façon imagée, prenons une bouteille d’une contenance d’un litre et remplie à moitié. En y ajoutant 10 centilitres d’eau (flux), peu de chose se passent. Au bout du sixième ajout, pourtant, la bouteille déborde.
          Parler uniquement des flux conduit ainsi à ignorer les phénomènes passés. Ainsi, dire que 200 000 immigrés arrivent sur le territoire n’est pas la même chose que 200 000 immigrés arrivant sur le territoire pendant 10 ans, ce qui en représente potentiellement 2 millions d’individus. En la matière, la France connaît depuis plusieurs décennies - années 1970 - des arrivées importantes et croissantes d'immigrés, ce qui a pour conséquence une transformation majeure de sa population.
          Que peut-on dire donc dire sur les stocks ? En France, environ une personne sur 10 est immigrée, c’est-à-dire née étrangère à l’étranger, ce qui représente 6,5 millions de personnes et les deux-tiers d’entre elles ne sont pas originaires d’Europe. Plus d’une personne sur 10 est descendant d’immigré, c’est-à-dire ayant au moins un parent immigré, ce qui représente 7,5 millions de personnes supplémentaires. En considérant l’origine immigrée jusqu’aux grands-parents, près d’un tiers de la population des moins de 60 ans était d’origine immigrée en 2011, selon les calculs de la démographe Michèle Tribalat.
          La réalité est ainsi très différente de celle évoquée par Hervé Le Bras.


          Troisième technique : recourir abusivement à la notion de solde ou comment mélanger les torchons et les serviettes.

          « Le solde de personnes en plus en France est de 60 000. C’est peu de choses » selon Hervé Le Bras. Qu’est-ce qu’un solde ? C’est une soustraction. En l’espèce, le solde migratoire constitue la différence entre les entrées sur le territoire national et les sorties de celui-ci ; solde que l’on peut affiner en distinguant par exemple solde des immigrés et solde des nationaux. Hervé Le Bras a tout à fait raison de s’intéresser au solde des immigrés : il note ainsi que si 260 000 cartes de séjour ont été distribuées en 2019, 70 000 immigrés ont quitté le territoire ce qui fait une arrivée nette de 190 000 immigrés. Là où le bât blesse, c’est lorsque le démographe évoque un « solde de 60 000 personnes ». En faisant cela, Hervé Le Bras mélange volontairement des phénomènes qui n’ont pas de rapports entre eux afin de minimiser la situation migratoire française. Que signifie ce chiffre ? Il signifie qu’en 2019, 190 000 immigrés (en soustrayant ceux des immigrés déjà présents qui sont repartis) supplémentaires sont arrivés en France alors que dans le même temps, 130 000 Français ont quitté le territoire. En clair, la France est un pays extrêmement attractif pour les immigrés et répulsifs pour les Français qui sont nombreux à quitter le pays – parmi lesquels de nombreux jeunes fortement diplômés. Peut-on ainsi réellement dire que c’est « peu de choses » ?



          Quatrième technique : ne pas s’intéresser aux dynamiques et évolutions, ou les minimiser.

          Commentant l’évolution des entrées régulières, le démographe explique : « les entrées régulières, c’est-à-dire le nombre de cartes de séjour distribuées, connaissent une augmentation modérée : de 220 000 en 2010 à 260 000 en 2019 ». En réalité, il s’agit d’une augmentation de 20% du nombre de cartes de séjour distribuées, ce qui est tout sauf « modéré ». Si l’on prend pour référence l’année 2008, où 184 000 titres de séjour avaient été délivrés, cela représente une augmentation de 41% ! Concernant les autres formes d’immigration (asile, mineurs étrangers, etc.), celles-ci augmentent encore plus vite – j'y reviendrai.
          Ainsi, si l’analyse de la situation présente devrait conduire à identifier une situation extrêmement tendue, l’analyse des évolutions passées ainsi que des tendances et perspectives doit inévitablement conduire à un constat alarmant.

          Cinquième technique : l’abandon de toute forme de sérieux, aussi appelé je-m’en-foutisme.

          Au cours de l’entretien sont évoqués les demandeurs d’asile. Reconnaissons tout d’abord à l’interviewé la franchise de reconnaître l’explosion de leur nombre entre 2010 et 2020 lorsqu’il dit « c’est plutôt le nombre de demandes d’asile qui s’est accru de 60 000 par an dans les années 2010 à 120 000 l’an dernier ». Pour être précis, il convient de noter que sur dix ans, entre 2008 et 2018, les demandes d’asile en France ont quasiment triplé (+192% entre 2008 et 2018). Concernant les mineurs étrangers isolés – ou supposés mineurs puisque, lorsqu'ils sont évalués, une majorité se révèle être majeur et parfois largement – la France en compte 40 000 et l’Assemblée des départements de France (ADF) estime à plus de cent le nombre d’arrivées quotidiennes de ces mineurs sur le territoire français.
          A peine prononcées, les réalités sont néanmoins aussitôt euphémisées. « Mais le taux d’acceptation n’est que de 40 % » précise ainsi Hervé Le Bras à propos des demandeurs d’asile, se gardant évidemment de dire que les reconduites à la frontière de demandeurs d’asile n’obtenant pas le statut de réfugiés ou la protection subsidiaire sont minimes… On estime en effet que moins d’une obligation de quitter le territoire français sur 5 est exécutée !
          Enfin, sur la question des clandestins, le démographe ne prend même plus la peine d’argumenter : « on estime d’autre part qu’environ 30 000 sans-papiers entrent chaque année en France, ça n’est pas énorme ». Là encore, Hervé Le Bras raisonne en termes de flux sans évoquer les stocks. Plusieurs centaines de milliers de clandestins vivraient aujourd’hui en France dont 150 000 à 400 000 dans le seul département de la Seine-Saint-Denis selon un rapport parlementaire de 2018 et ce alors même que 30 000 d’entre eux seraient « régularisés » chaque année.

          Que retenir ?



          Alimentée par des flux migratoires croissants depuis des décennies, la situation migratoire française est aujourd’hui critique : 260 000 immigrés sont ainsi arrivés l’an passé sur le territoire ; 160 000 demandes d’asile ont été formulées ; plus d’une centaine de mineurs étrangers arrivent chaque jour sur le territoire depuis début 2020, venant alimenter le stock de 40 000 mineurs étrangers pris en charge au titre de l’aide sociale à l’enfance ; plusieurs dizaines de milliers de clandestins pénètrent par ailleurs chaque année sur le territoire national. Et ces flux se répètent année après année, de façon croissante pour la plupart d'entre eux. Dans le même temps, chaque année, 120 000 Français (en décomptant ceux qui reviennent), soit l’équivalent de la ville de Metz, quittent le territoire national !


          Pour une analyse exhaustive, il conviendrait d’évoquer l’autre composante qui exerce une influence sur la démographie française : la natalité et en particulier la natalité due à l’immigration. Citons simplement deux chiffres pour donner un aperçu au lecteur des tendances à l’œuvre : en 2018, près d’un tiers des enfants nés (31,4%) ont au moins un de leur parent né à l’étranger ; en 2016, un nouveau-né garçon sur cinq (18,8%) portait un prénom d’origine arabo-musulmane contre environ 0% jusqu’aux années 1960.
          Moins d’un tiers des Français a confiance dans les statistiques sur l’immigration selon le baromètre de la confiance des Français réalisé par le CEVIPOF et OpinionWay. Comment ne pas leur donner raison ?
          Je conclurai en citant la démographe Michèle Tribalat qui écrit sur son blog :
          « La qualité d'une donnée doit être évaluée en fonction de la manière dont cette donnée a été produite et non de la satisfaction idéologique qu'elle procure ».






          au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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          • #20
            Pour rappel, cette théorie résiste mal à l’examen statistique,
            Sauf lorsque ces statistiques sont manipulées par les gauchistes.

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            • #21
              Il faut reconnaitre également que le l’idéologie déchainée et totalement hors de contrôle du "Wokisme" aux États-Unis, ne fait que diviser et attiser les haines, c'est un mouvement extrémiste et totalitaire qu'il faut combattre au même titre que le Klan, l'Aryan Brotherhood et autres groupuscules blancs suprémacistes.

              Le "wokisme" est un terme tellement fourre-tout qu'il faudrait le définir...parce que bon l'idéologie woke et progressiste qui consiste a approuvé les quotas raciaux, genrés, les enfants transgenre, la cancel culture et l'autodafé a été propulsée par les puissants au sein des universités et dans les médias. En tant que muslmane je ne tiens pas particulièrement à défendre tous les minorités dont je ne citerai pas les noms mais que certains devineront.

              Les USA sont une terre complétement matrixé depuis toujours par les questions raciales à cause de leur histoire, depuis quasiment leur fondation. Il y a de bonnes chances pour que les USA s'effondrent via la question de la race. Et ce sera "peux être" mérité.


              Je vois encore Spicio et Alibi dire qu'on est en train de suivre le même chemin avec l'immigration de masse...

              Dernière modification par Farashatun, 16 mai 2022, 13h29.

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              • #22
                Je vois encore Spicio et Alibi dire qu'on est en train de suivre le même chemin avec l'immigration de masse...
                En ce qui me concerne, je confirme.
                au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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                • #23
                  Nous suivons toujours les USA avec une ou plusieurs décennies de retard.

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                  • #24
                    Apres la colonisation de masse voila venu le temps de l'immigration de masse. Le temps fait bien les choses et l'histoire a une excellente mémoire.
                    ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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                    • #25
                      Nous suivons toujours les USA avec une ou plusieurs décennies de retard.
                      Je vois des circonstances aggravantes pour la France par rapport aux USA :

                      - nos immigrés sont attirés par la générosité de notre système social.
                      Une fois qu'ils ont mis le pied chez nous, ils savent qu'ils seront pris en charge, ce qui n'est pas le cas aux USA.

                      - Si on met de côté le problème noir aux USA, leurs immigrés sont principalement latinos.
                      Je ne pense pas que les latinos les détestent
                      autant que les maghrébins et les africains nous détestent.
                      La différence culturelle et religieuse avec les latinos est moins importante, ce qui doit favoriser les unions mixtes, meilleur signe d'intégration.

                      - la démographie de l'Amérique latine est moins explosive que celle de l'Afrique
                      Dernière modification par scipio, 16 mai 2022, 14h30.
                      au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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                      • #26
                        delci

                        Apres la colonisation de masse
                        Il n'y a pas eu de colonisation de masse, si ce n'est l'Algérie où la présence française a été la plus importante.
                        Dans les autres pays, il s'agissait d'une présence plutôt faible en nombre.
                        Le temps fait bien les choses
                        A condition de recevoir une immigration choisie et de qualité comme le font certains pays et pas de recevoir tous les laissés pour compte de la planète, qui n'ont pas réussi à trouver le bonheur dans leur pays d'origine.

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                        • #27
                          "Nous suivons toujours les USA avec une ou plusieurs décennies de retard."

                          Comme mac-do mais sans le lobby des armes à feu et sans la chasse aux gauchistes antifas.

                          Il paraît, celui qui rêve d'un Poutine français devra attendre quelques décennies pour un mur anti migrants comme celui made in Trump anti latinos anti mariage mixte.

                          Le problème étasunien racisme anti noir c'est exactement le même que la haine en général, tous les racismes en France en bien plus masqué et ailleurs. Plus c'est foncé, plus y a de la haine contre. Il suffit de voir comment ceux de l'edf ou d'un gouvernement sont surveillés à la loupe et cv passés à l'irm pour vomir la haine masquée à l'occasion. Avec la propagande C-Zemmord anti immigrés anti noirs anti musulmans français,....., le 10% transformé en 90% pour diffamer généraliser, ça ne fait pas recette, sauf pour dynamiter la droite classique.

                          Pas d'excuse, même religion et même culture à Buffalo, aucun rapport avec l'immigration, insécurité encore plus forte, circonstances très aggravantes aux Etats-Unis, avec en plus le droit du port d'arme à feu.

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                          • #28
                            Envoyé par Galaad
                            c'est un mouvement extrémiste et totalitaire qu'il faut combattre au même titre que le Klan, l'Aryan Brotherhood et autres groupuscules blancs suprémacistes.
                            Il ne faut pas exagérer non plus. Le terme "woke" est utilisé aux Etats-Unis comme insulte par les extrémistes racistes et néo-nazis pour diaboliser les gens qui s'opposent au racisme et qui militent en faveur de l'égalité et de la justice sociale.

                            Pour les racistes néo-nazis américains, dénoncer les violences policères, c'est être "woke". Dénoncer les crimes israéliens contre les Palestiniens, c'est être "woke". Dénoncer le racisme aux Etats-Unis, c'est être "woke"...etc. Beaucoup d'Américains sont diabolisés par les racistes néo-nazis et accusés d'être "woke" juste parce qu'ils défendent les droits des Palestiniens et dénoncent les crimes israéliens.

                            Aussi, il y a beaucoup de propagande et de manipulations sur Internet visant à diaboliser les militants des droits de l'homme. Ainsi, des racistes néo-nazis et des extrémistes religieux se prennent faussement pour des "woke" sur Twitter/Facebook/etc et versent dans le "wokisme extrême" pour mieux salir les militants des droits de l'homme.

                            D'ailleurs, Israel et la Russie sont très impliqués dans la propagande anti-woke dans les médias et sur Internet pour lutter contre le mouvement de boycott d'Israel (BDS) et en faveur de la destruction de l'UE via le soutien aux partis européens et américains d'extrême droite.

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