Les «cassos», cette population à laquelle les classes populaires refusent de ressembler

[kaghemoussa]

quand j'etais en primaire j'ai eut le droit d'aller a "l'ecole des garcons"..en fait mon ecole etait coupé en 2 avec cour de recré separé , salle de classes separé etc entre garcons et filles.
Dans l'ecole des garcons , qui etait mixte biensur , tu avait les enfants issus de l'immigrations (Algeriens , Marocains , Portugais ) les enfants de voyageur sedentarisé (les manouches )
et enfin il y avait les enfants tout ce qui a de plus "Francais " les plus pauvre , "le 1/4 monde",
Je me souviens de nos copains avec qui ont a partagé nos gouters , parceque nous nos parents nous donnaient des gouters, nous avions pas les dernieres fringues mais ont etaient "propre" sur nous et ont mangeaient correctement tout le mois.*
Ma mere me disait que c'etait la malédiction de l'alcool couplé au pmu qui les frappaient... et il est vrai que souvent le pere claquat tout le fric du menage dans les bistrots avant de revenir leur foutre sur la g...e
Sa fait cliché tout cela mais dans la misere y a souvent des victimes et souvent des addictions, de la déficience ou d'autre pathologies mentales.
et les plus pauvres etaient des "sous boug..les".. pour les braves gens

[Farashatun]

Sa fait cliché tout cela mais dans la misere y a souvent des victimes et souvent des addictions, de la déficience ou d'autre pathologies mentales.

La précarité ne définit pas quelqu'un comme un "cassos". C'est avant tout une question d'état d'esprit, même souvent le résultat d'une éducation négligée, voire inexistante. Ca créer souvent un cercle vicieux où l'ignorance se transmet de génération en génération. Des naïfs, influençables, parfois manipulés ou manipulateurs, certains arrivent quand même a utiliser leurs neurones que lorsqu'il s'agit de gratter des aides sociales.