Salam ,,
la seine politiuqe algérienne de 1991 était vraiment perturbée ,, la crise du système et du régime des pouvoirs en Algérie a atteint un degré jamais égalé par le passé au point où l’etat et ses institutions risquent la paralysie ,, et riisquent de se disparaitre ,, ,, les algériens ont connu la fin de la clandestinité politique qu est enterrée, le FFS tient son premier congrès sur le sol national en mars 1991 Le 27 décembre 1991, au soir du premier tour des élections législatives en Algérie,le FIS arrive très largement en tête avec plus de 47% des suffrages exprimés le second tour prévu pour le 16 janvier n'aura pas lieu : il est annulé par le Haut Conseil de sécurité,, l'Assemblée populaire nationale termine son mandat et justee aprés ,, le 11 janvier,, le Chadli démissionne,, pour assurer la continuité de l'Etat dans un vide institutionnel et un caotique ploitique enorme , il est créé un Haut comité d'Etat (hce) composé de cinq membres : Mohamed Boudiaf, qui en assure la présidence, Ali Kafi, Tedjini Haddam, Khaled Nezzar et Ali Haroun ,, on connait tous le rôle de chacun d'eux , sur la seine politique d'Algérie de 1991 ,,
le processus electorale a été arrêté à la suite de la démission du président Chadli, le haut conseil de sécurité, pour ne pas dire les militaires, a décidé de faire appel à une figure emblématique du mouvement national pour présider les destinées de l'Algérie durant une période transitoire. Le choix a été fixé sur Feu Boudiaf,,, la question qu'on peut la poser est
le HCS avait raison d'arreter le processus éléctoral ,, ??
la seine politiuqe algérienne de 1991 était vraiment perturbée ,, la crise du système et du régime des pouvoirs en Algérie a atteint un degré jamais égalé par le passé au point où l’etat et ses institutions risquent la paralysie ,, et riisquent de se disparaitre ,, ,, les algériens ont connu la fin de la clandestinité politique qu est enterrée, le FFS tient son premier congrès sur le sol national en mars 1991 Le 27 décembre 1991, au soir du premier tour des élections législatives en Algérie,le FIS arrive très largement en tête avec plus de 47% des suffrages exprimés le second tour prévu pour le 16 janvier n'aura pas lieu : il est annulé par le Haut Conseil de sécurité,, l'Assemblée populaire nationale termine son mandat et justee aprés ,, le 11 janvier,, le Chadli démissionne,, pour assurer la continuité de l'Etat dans un vide institutionnel et un caotique ploitique enorme , il est créé un Haut comité d'Etat (hce) composé de cinq membres : Mohamed Boudiaf, qui en assure la présidence, Ali Kafi, Tedjini Haddam, Khaled Nezzar et Ali Haroun ,, on connait tous le rôle de chacun d'eux , sur la seine politique d'Algérie de 1991 ,,
le processus electorale a été arrêté à la suite de la démission du président Chadli, le haut conseil de sécurité, pour ne pas dire les militaires, a décidé de faire appel à une figure emblématique du mouvement national pour présider les destinées de l'Algérie durant une période transitoire. Le choix a été fixé sur Feu Boudiaf,,, la question qu'on peut la poser est
le HCS avait raison d'arreter le processus éléctoral ,, ??
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