Un mandat de crise ou une constituante de déchirements ?
Deux possibilités quant au futur politique de l'Algérie:
1. Des élections présidentielles réalisées, un président affaibli par un taux de participation minimal. Le hirak ne s'arrêtera pas. Des années donc de crise.
La crise financière s'ajoutant à la crise politique, la contestation ira en s'amplifiant.
2. L'armée recule et annule les élections et accepte la constituante.
Des tractations à n'en plus finir, des déchirements entre les différentes tendances, islamisme, laicité, présidentialisme, parlementarisme, avec ou sans sénat, fédéralisme, nord versus sud, Kabylie autonome etc...
De longues années de palabres constitutionnelles.
La crise financière va s'ajouter à cela et la contestation n'aidera pas les débats en cours.
Y a-t-il d'autres scénarii probables?
Deux possibilités quant au futur politique de l'Algérie:
1. Des élections présidentielles réalisées, un président affaibli par un taux de participation minimal. Le hirak ne s'arrêtera pas. Des années donc de crise.
La crise financière s'ajoutant à la crise politique, la contestation ira en s'amplifiant.
2. L'armée recule et annule les élections et accepte la constituante.
Des tractations à n'en plus finir, des déchirements entre les différentes tendances, islamisme, laicité, présidentialisme, parlementarisme, avec ou sans sénat, fédéralisme, nord versus sud, Kabylie autonome etc...
De longues années de palabres constitutionnelles.
La crise financière va s'ajouter à cela et la contestation n'aidera pas les débats en cours.
Y a-t-il d'autres scénarii probables?
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