"Rabat poursuivra sa guerre contre le terrorisme"
Rabat, Maroc - Le roi Mohammed VI du Maroc a affirmé mardi que son pays est engagé dans une guerre "régionale et internationale contre le terrorisme", dans un message de félicitations adressé aux forces de sécurité qui ont réussi à déjouer les plans d'une cellule terroriste présumée.
"Quelle que soit la gravité des complots terroristes qui s'ingénient désespérément à ramener le Maroc en arrière, nous sommes (...) plus que jamais résolus à aller de l'avant. Car le terrorisme, loin d'effrayer les Marocains, conforterait plutôt leur foi dans les vertus de l'islam tolérant", a indiqué le souverain alaouite.
"Vous avez confirmé l'adhésion ferme et constante du Maroc à la guerre contre ce phénomène", a souligné le souverain alaouite dans son message rendu public après le démantèlement d'un réseau islamiste présumé, dirigé par le Belgo-marocain, Abdelkader Belliraj.
Abdelkader Belliraj avait été arrêté le 18 février au Maroc, avec 34 autres personnes, dont six islamistes modérés présumés, parmi lesquels Mustapha Moâtassim, chef du parti Al-Badil Al-Hadari (Alternative civilisationnelle), dissous la semaine dernière.
Ce groupe est accusé d'"avoir voulu commettre des attentats et d'assassiner des ministres, des militaires et des juifs" au Maroc.
"Cette guerre ne connaît pas de frontières géographiques, ni ne s'encombre de scrupules idéologiques ou moraux et (son) unique référence réside dans les mystifications obscurantistes et excommunicatrices, relayées par des réseaux criminels destructeurs", a noté le roi Mohammed VI, dont le message a été lu par un de ses conseillers dans les locaux du ministère de l'Intérieur.
Après avoir rendu hommage aux forces de sécurité qui ont déjoué "les plans d'une des bandes terroristes les plus redoutables", le roi du Maroc assure que cela "ne signifie guère l'éradication du terrorisme, pas plus qu'il ne devrait être un prétexte pour amplifier exagérément ou, au contraire, sous-estimer la nécessité de l'affronter en permanence".
"Il n'y a pas de place pour la complaisance et la passivité, pas plus qu'il n'existe une position intermédiaire entre la démocratie et le terrorisme, ennemi de la patrie et de la vie humaine", a-t-il insisté.
Rabat - 04/03/2008
Panapress
Rabat, Maroc - Le roi Mohammed VI du Maroc a affirmé mardi que son pays est engagé dans une guerre "régionale et internationale contre le terrorisme", dans un message de félicitations adressé aux forces de sécurité qui ont réussi à déjouer les plans d'une cellule terroriste présumée.
"Quelle que soit la gravité des complots terroristes qui s'ingénient désespérément à ramener le Maroc en arrière, nous sommes (...) plus que jamais résolus à aller de l'avant. Car le terrorisme, loin d'effrayer les Marocains, conforterait plutôt leur foi dans les vertus de l'islam tolérant", a indiqué le souverain alaouite.
"Vous avez confirmé l'adhésion ferme et constante du Maroc à la guerre contre ce phénomène", a souligné le souverain alaouite dans son message rendu public après le démantèlement d'un réseau islamiste présumé, dirigé par le Belgo-marocain, Abdelkader Belliraj.
Abdelkader Belliraj avait été arrêté le 18 février au Maroc, avec 34 autres personnes, dont six islamistes modérés présumés, parmi lesquels Mustapha Moâtassim, chef du parti Al-Badil Al-Hadari (Alternative civilisationnelle), dissous la semaine dernière.
Ce groupe est accusé d'"avoir voulu commettre des attentats et d'assassiner des ministres, des militaires et des juifs" au Maroc.
"Cette guerre ne connaît pas de frontières géographiques, ni ne s'encombre de scrupules idéologiques ou moraux et (son) unique référence réside dans les mystifications obscurantistes et excommunicatrices, relayées par des réseaux criminels destructeurs", a noté le roi Mohammed VI, dont le message a été lu par un de ses conseillers dans les locaux du ministère de l'Intérieur.
Après avoir rendu hommage aux forces de sécurité qui ont déjoué "les plans d'une des bandes terroristes les plus redoutables", le roi du Maroc assure que cela "ne signifie guère l'éradication du terrorisme, pas plus qu'il ne devrait être un prétexte pour amplifier exagérément ou, au contraire, sous-estimer la nécessité de l'affronter en permanence".
"Il n'y a pas de place pour la complaisance et la passivité, pas plus qu'il n'existe une position intermédiaire entre la démocratie et le terrorisme, ennemi de la patrie et de la vie humaine", a-t-il insisté.
Rabat - 04/03/2008
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