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le président de l'APN menace le député du RCD !

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  • Ulysse

    Pas du tout car les policiers de la rue Ballu, des grandes carrières, de Marcadet, de la rue de Rome, de l'OCRIS, de la BRB, de la BSP tous en civils sillonnent cet endroit jour et nuit car l'un des plus touristiques de la capitale avec le Moulin Rouge juste à côté. Il est impossible que quelqu'un tire puis réussisse à s'enfuir si facilement. Tente le coup avec un simple pétard et tu verras le résultat. Mon argumentation n'est pas tirée par les cheveux, elle est juste logique.
    Dernière modification par zwina, 24 octobre 2008, 18h53.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • l est impossible que quelqu'un tire puis réussisse à s'enfuir si facilement. Tente le coup avec un simple pétard et tu verras le résultat. Mon argumentation n'est pas tirée par les cheveux, elle est juste logique.
      Franchement Zwina, je connais très bien le quartier et je t'assure que c'est l'un des quartiers les plus chauds de Paris. Les agressions sont légions surtout vers Pigalle.

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      • Ulysse
        Franchement Zwina, je connais très bien le quartier et je t'assure que c'est l'un des quartiers les plus chauds de Paris
        Mais non Ulysse tu vas décevoir Zwina! ce qu'elle aimerait entendre c'est l'histoire d'un complot organisé par les services secrets algériens à plus haut niveau en vue d'assasiner le méchant rejeton de Ferhat Mehenni.

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        • Ulysse

          Justement pour ça qu'il y a tant de policiers presque plus que de pickpockets et la place Blanche est surement l'un des endroits les surs de la capitale ; les voleurs ne vont jamais très loin. Pigalle c'est différent car il n'y a pas tous les touristes du Moulin rouge.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • Allane

            Et Mecili c'est aussi un pickpocket qui l'a tué ?
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • zwina
              Et Mecili c'est aussi un pickpocket qui l'a tué ?
              J'ignore qui a tué ce conspirateur d'André Mecili mais moi toute ma sympathie va pour ce haut fonctionnaire de notre ministére des AE injustement emprisonné par la France sur suggetion d'Ait Ahmed et ses sbires.

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              • Allane

                Encore une autre bêtise c'est Samraoui et Hichem Aboud qui l'ont accusé, les anciens sbires du pouvoir algérien. Quant à injustement emprisonné, cela reste à voir car s'il était si innocent la France n'aurait pas pris le risque de l'appréhender.
                N.O – Comment l’avez-vous appris ?
                H. Aboud. – C’est le capitaine Hassani qui m’en a parlé. C’était mon ami. Il est de mon patelin, pratiquement de la même tribu que moi, dans les Aurès. Hassani a pris en main l’affaire Mecili parce qu’aucun officier ne l’avait acceptée.
                Dernière modification par zwina, 24 octobre 2008, 19h37.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • zwina
                  Quant à injustement emprisonné, cela reste à voir car s'il était si innocent la France n'aurait pas pris le risque de l'appréhender.
                  Je n'aurai pas crié à l'injustice si la France que tu idéalises avait auparavant appréhendé Aussaresses, Argoud, Massu, Delguedre et autres assasins de l'OAS dont les mains sont tâchées du sang des algériens. Par contre cette même France s'est empressée de ramener de la lointaine Bolivie l'ancien officier de la Gestapo de Lyon pour le juger pour des cimes contre les juifs durant la deuxième guerre mondiale.

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                  • Allane

                    Le jour où ils viennent en Algérie tu sais ce qu'il te reste à faire sans oublier que le pouvoir algérien a signé une amnistie pour tous les crimes de la guerre d'Algérie donc tu t'adresses au pouvoir pour leur demander d'annuler cette clause.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • zwina
                      une amnistie pour tous les crimes de la guerre d'Algérie donc tu t'adresses au pouvoir pour leur demander d'annuler cette clause.
                      C'est à toi et à tes sbires, qui ont appalaudi des deux mains l'arrestation d'un haut fonctionnaire algerien, de demander l'annulation de cette clause. Pour ma part je n'ai ressenti que de l'indignation et de la tristesse en apprenant cette arrestation sans preuves de Mr Hasseni par cette même France qui à trainé dans la justice un certain prefet du nom de Maurice Papon pour son implication dans une affaire de collaboration avec les nazis alors qu'il etait beaucoup plus connu pour être responsable de la tuerie de centaines d'algériens jetés dans la seine pour le seul tort de manifester leur soutien au FLN. Deux poids, deux mesures.

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                      • Zwina

                        Zwina. T es entrain de perdre ton temps avec All ane.
                        Parcours donc ses topics sur ce forum et tu auras une idee sur cette energumen.
                        Il est .... je prefere me taire par respect aux autres forumistes.
                        Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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                        • Azul Accpluscan

                          merci du conseil
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • Zwina. T es entrain de perdre ton temps avec All ane.
                            Parcours donc ses topics sur ce forum et tu auras une idee sur cette energumen.
                            Il est .... je prefere me taire par respect aux autres forumistes.
                            Si mes posts te dérangent il y a toujours des sites qui idéalisent ton makhnez.

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                            • Le RCD boycotte un ministre et accuse
                              Clash à l'APN
                              Le groupe parlementaire du Rassemblement démocratique et populaire (RCD) a regretté des «dérives parlementaires d'une extrême gravité» survenues durant la session parlementaire «improvisée» pour la nuit de samedi dernier.

                              13 Octobre 2008, Le Quotidien d'Oran
                              «Depuis l'entame des travaux sur le projet de loi de finances, le président du Parlement, oubliant sa mission, s'est laissé aller à des appréciations tendancieuses sur la quasi-totalité des interventions des députés RCD», déplore le groupe parlementaire du RCD.

                              Le parti de Saïd Sadi accuse ouvertement le président de l'APN et le ministre chargé des Relations avec le Parlement d'avoir tenu des «propos graves» à l'encontre des députés du RCD.

                              «Nos élus ont essuyé des attaques en règle de la part du ministre chargé des Relations avec le Parlement avec la complicité du président de l'Assemblée qui est resté impassible devant ces dérives. Le ministre s'est même permis de faire des amalgames très dangereux à l'encontre de nos élus.

                              Au lieu de répondre aux questions des élus, ce ministre de la République, censé être tenu par le devoir de réserve, a préféré polémiquer en se donnant à des surenchères nationalistes», s'indigne Djamel Fardjellah, président du groupe parlementaire du RCD. Il ajoute que le seul tort des députés du RCD a été de faire correctement leur travail.

                              «On a voulu passer au crible le projet de loi de finances 2009, mais cette attitude a semble-t-il dérangé certaines sphères. On reste opposés à ce projet de loi de finances qui ne répond aucunement aux attentes de la population», affirme notre interlocuteur.

                              Et d'enchaîner que le «système» actuel va mener le pays directement vers l'échec. «Présent dans l'enceinte parlementaire face à des groupes politiques clientélistes, et sommés de couvrir et d'assumer toutes les outrances de l'Exécutif, le RCD continuera son combat avec autant de vigueur sur le terrain et dans les institutions», ajoute le parti dans une déclaration. Il ajoute que le RCD restera le «représentant vigilant de ceux qui savent que l'Algérie mérite un autre parlement».

                              Questionné sur les réactions du parti face à ces «dérives», Djamel Fardjellah annonce qu'une lettre de protestation énergique sera adressée au président de l'Assemblée pour l'interpeller sur ces dépassements. «C'est inadmissible de laisser un ministre de la République faire des dérives aussi graves dans une telle institution», regrette D. Fardjellah.

                              Cette levée de boucliers du parti de Saïd Sadi intervient après l'intervention du ministre chargé des Relations avec le Parlement, Mohamed Khoudri, sur les pratiques démocratiques au sein de l'APN.

                              Le ministre avait, en effet, mis en garde contre «la violence verbale» contraire aux principes de la démocratie. Les députés du groupe parlementaire du RCD qui se sont sentis visé par ce «réquisitoire» ont boycotté l'intervention et quitté l'hémicycle avant la levée de la plénière.

                              Le député et président du parti, Saïd Sadi, a justifié ce boycott par le fait que, selon lui, «tous les groupes parlementaires se sont ligués pour attaquer le RCD». La deuxième raison de ce retrait, explique Sadi, est que «le président de l'APN avait interdit à un député du RCD d'intervenir et l'a menacé dans l'exercice de ses fonctions».

                              Sofiane M.
                              Presse dz
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                              • Le RCD réagit de nouveau aux déclarations de Mahmoud Khoudri
                                « Un acte grave et inédit »
                                Au RCD, on ne décolérera pas de sitôt. Trois jours à peine après avoir dénoncé dans un virulent communiqué les déclarations incendiaires de Mahmoud Khoudri, ministre chargé des relations avec le parlement qui, samedi dernier, s’en est violemment pris aux députés du parti de Saïd Sadi, le RCD, récidive et fait de nouveau parler… le fiel.

                                Amer et très remonté, le président du groupe parlementaire du RCD, Boubekeur Derguini, a publiquement interpellé hier le président de l’APN, Abdelaziz Ziari, sur ce qu’il qualifie de « lynchage », d’« acte grave et inédit » et de « réquisitoire d’une rare indécence », dont a été la cible son parti. Dans une lettre ouverte à Abdelaziz Ziari, président de l’APN, rendue publique hier - des copies de la lettre ont été envoyées à une douzaine d’institutions parlementaires auxquelles est affiliée l’APN -, Derguini a longuement ressassé l’« incident parlementaire » qui s’était produit samedi au soir lors des « débats » de l’assemblée nationale sur le projet de la loi de finances 2009. Le 11 octobre dernier, Mahmoud Khoudri a lancé une attaque en règle contre les députés du RCD, dont Noureddine Aït Hamouda en l’occurrence, qui avait évoqué lors d’une précédente séance le dossier des faux moudjahidine. « Nous n’avons pas besoin d’Alliot-Marie pour nous dire qui est moudjahid et qui ne l’est pas », avait rétorqué Mahmoud Khoudri dans une allusion assassine à « hizb frença » (le parti de la France).
                                Le ministre a évoqué également lors de son intervention à l’hémicycle « l’humiliation subie par l’Algérie à cause du panel onusien qui avait enquêté sur les massacres collectifs de Raïs et de Bentalha ». Les déclarations « outrageantes » du ministre ont déclenché, tout de suite après, l’ire des députés RCD et de son président. Dr Saïd Sadi ira même jusqu’à brandir un billet de banque à la face du ministre, en lançant : « c’est avec ça qu’on vous a acheté », avant de quitter nerveusement l’hémicycle. Mohcine Bélabbès, qui protestait et quémandait un point d’ordre à son président, est lui aussi vigoureusement rappelé à l’ordre par Abdelaziz Ziari. L’incident, estime le RCD, confirme « le caractère prémédité » de cette affaire et dévoile « la situation délétère » dans laquelle évolue l’assemblée qui, juge-t-il, est loin d’être un « étalon de démocratie ». L’« anti-kabylisme » a servi de « toile de fond », d’après Derguini, à la diatribe du ministre. Le RCD reproche au président de l’APN d’avoir « laissé faire » le « lynchage » et d’entretenir les « tensions politiques en cette période particulièrement confuse et incertaine ».
                                Par Az. M.
                                El watan
                                Dernière modification par zwina, 24 octobre 2008, 22h59.
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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