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Les anti-Boutef et les canassons

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  • Encore une fois désolé tout ça est venu avec Bouteflika, le matraquage des étudiants et de grévistes, l’emprisonnement de journalistes, le tire à balles réelles sur des jeunes manifestants, la naissance d’un mouvement pour l’autonomie, le lynchage policier pour un petit baisé avec sa copine, chose qu’on n’a pas vu même à l’époque du parti unique !
    Le 5 octobre 1988 ça ne te dit rien !! Tu penses vraiment que nous vivions en paix et c'est quand Bouteflika est arrivé que tous ces problèmes sont apparus ?

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    • Le 5 octobre 1988 ça ne te dit rien !! Tu penses vraiment que nous vivions en paix et c'est quand Bouteflika est arrivé que tous ces problèmes sont apparus ?
      Oui ça me dit absolument rien le 5 octobre 1988, par contre 2001 ça me dit quelque choses, je parle de maintenant et des problèmes qui me touche maintenant, et maintenant j’ai Bouteflika comme premier magistrat du pays ! le passé ça concerne mon père ou mon grand-père !
      Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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      • Non non t'as dit "chose qu’on n’a pas vu même à l’époque du parti unique !" ...

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        • Qui peut lui répondre?
          J'attends avec impatience.


          Rien de plus simple que de répondre, les canassons existent, ils sont des milliers, au moins aussi brillants mais certainement plus jeunes et en meilleure santé que le vieux pur sang sénile et à l’esprit dérangé qu’on veut imposer par les moyens les plus humiliants pour un peuple.

          Qu’on permette aux algériens de s’exprimer librement, à travers les journaux, dans les chaînes de télévision, au cours de meetings, débats publics, et manifestations pacifiques. Et là, on pourra constater que l’Algérie n’a pas produit qu’une multitude d’éminents hommes politiques, savants, médecins, et un seul Bouteflika, mais aussi suffisamment de canassons capables de gérer honnêtement un pays qui dispose de tous les moyens pour sortir de la médiocrité où on cherche à l’enfermer.

          Qu’on fasse comme dans des pays où ne sévissent pas les dictateurs, les sondages d’opinion, histoire de mesurer la popularité de l’actuel et futur président, juste pour voir de quel côté se situe l’infime partie de l’opinion. Les chitistes ou les anti B.
          Dernière modification par Laari1, 26 décembre 2008, 22h40.

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          • Je me répète: Pourquoi en Algérie l'opposition politique s'arrête à être contre-Boutef?

            Connais-tu l’opposition dans ton pays ? Sûrement pas, d’abord parce que le Pouvoir l’empêche de s’exprimer, par tous les moyens possibles, les interdits et la division. Mais aussi à cause des fraudes chroniques aux élections qui font que les partis du pouvoir s’accaparent le maximum de sièges.

            Mais malgré cette situation, les hommes politiques de l’opposition continuent d’exister et de lutter et il faut se donner la peine de les écouter, pas sur la RTA, sans doute, mais ailleurs, lors des rares manifestations autorisées où sur des chaînes étrangères, et là, on se rend compte de leur courage, de leur détermination et, surtout de l’objectivité de leurs analyses et critiques se rapportant à la gestion du pays.

            Mais si on n’écoute que la voix de Boutef, on ne peut que la trouver meilleure.

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            • Dessine moi un président !

              C'est plus un discours propagandiste de Kasma des pires années FLN que Monsieur Mébarki a commis à destination des lecteurs qu'un article journalistique comportant des informations recoupées, argumentées, sûres et avérées.
              Passons sur le caractère prétententieux et méprisant de ce laudateur qui ose considérer un peuple plusieurs fois millénaire incapable de d'extraire de ses rangs un candidat alternatif à son homme préféré. Le respect est l'art des princes!
              D'abord, sur quelle sondage grandeur nature, monsieur Mébarki se fonde t-il pour décréter que seule une infime minorité, qu'il compare poêtiquement à "une poussière viciée...active...bélante...!", s'oppose à la candidature de Bouteflika ?
              Comité de soutien à lui tout seul, il exige de cette minorité comploteuse et non identifiable des arguments pour justifier le rejet de son poulain.
              Faut-il rappeler à M.Mébarki que l'Algérien du XXI siècle n'a plus besoin de demander la bénédiction de quiconque pour choisir librement son candidat.
              Cette liberté de choix ( je ne parle pas de l'honnêteté du résultat qui est une autre histoire), il ne la doit surtout pas aux gouvernants qui l'ont toujours infantilisé ( comme le fait M.Mébarki), mais grâce aux luttes ménées par le peuple à différentes périodes et au sens de l'histoire.
              Sans trop oser, M.Mébarki insinue que les résultats de deux mandats du règne de son président préféré sont pleinement satisfaisants. Mais de quel bilan s'agit-il ? De celui des huit dernières années ou de celui de 1965 à nos jours ? Car le candidat de M.Mébarki n'est que le maillon continuateur d'un système gangrené depuis 44 ans !
              Allez parler des bienfaits de la paix retrouvée à ces centaines de milliers de veuves, d'orphelins, de mères et de pères traumatisés, ignorés par la justice et qui croisent jour après jour les responsables de leurs malheurs, impunis, paradant en toute liberté...
              Allez parler d'économie florissante aux 40% de chômeurs soutenant à longueur de journée les murs de nos villes et villages...
              Allez parler à ces milliers de Harragas qui continuent de dériver en méditerranée...
              Allez le dire à ces quadragénaires, célibataires endurcis faute d'un toit décent...
              La place de l'Algérie dans le palmarès de la corruption et des violations des droits élémentaires des gens, établi par des organismes internationaux sérieux, ne vous interpelle t-elle pas ?
              Le fait de tailler la première loi du pays comme un costume à la mesure d'un homme aussi méritant soit-il ne vous chatouille t-il pas ?
              Rabaisser de ce fait le rang de l'Algérie au niveau de celui des dictatures telles que la Tunisie, la Libye, la Syrie, l'Egypte...ne vous gêne t-il pas?

              M.Mébarki est de ceux qui croient encore en l'homme providentiel et qui croient que les Algériens ne sont pas encore mûrs pour la démocratie comme naguère les colonialistes prétendaient que les colonies n'étaient pas prêtes pour l'indépendance !
              A moins que...à moins que ce pseudo journaliste (s'il en est) est comme beaucoup d'autres adeptes de Wahda Thaltha ait interêt qu'un régime politique archaique se maintienne et qu'il continue à pointer à la soupe!

              M.Mébarki se demande s'il y'a un seul algérien apte à remplacer M.Bouteflika.
              Sans vouloir le suivre dans cette discussion de café de commerce, je dirais simplement que les potentialités du pays dont à bénéficié le pouvoir politique algérien durant bientôt sept décennies auraient fait de l'Algérie un pays développé fut-elle dirigée(je vais exagérer) par un simple comité de village!

              Cordialement, Kadé.
              "DOUTER de tout ou CROIRE à tout sont deux positions confortables:Elles ne demandent pas de réflexion"

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              • les anti boutef et les canasons

                bjr

                Monsieur MEBARKI fait de la politique publicitaire. Malheureusement comme les "taxi phone" les "taxi bus" les agences immobilières" les "trotoires" le "béton" qui sont devenus l'économie Algérienne et qui reviennent à chaque soit disons relance économique que peut il présenter d'autre à part s'inscrire dans la masse des "berrah" de service. C'est à qui s'inscrit le premier.
                C'est vrai qu'il n'y a pas ou presque plus de valeurs en ALGERIE. Avant qu'on nous présente le "messie" on a bien pris la précaution de vider le Pays de sa matière grise. Ce que l'on entend chaque soir à la télé est pitoyable.
                Ce qui est grave c'est que ces gens au fond d'eux mêmes ne croivent même pas à ce qu'ils disent c'est une "MESRAHIA" ils savent tout simplement que cela leur rapporte gros. certains ont bâti leur fortune sur leur zèle. Les hommes à principes meurent anonymes. Ils savent que la gloire s'arrachent au prix de grands sacrifices. "HOUFET EL DJENA BILMAKARIH". L'honneur se réalise dans le combat pas dans la soumission.
                "Pôvre" ALGERIE.

                "PLEURE O PAYS BIEN AIME"
                Dernière modification par che1, 27 décembre 2008, 11h18.

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                • Je me répète: Pourquoi en Algérie l'opposition politique s'arrête à être contre-Boutef?

                  Et moi je me répète que ça ne sert à rien de vouloir convaincre des gens qui ont pas de convictions, mais des opportunistes qui n’ont pas intérêt que ça change !
                  C’est clair et net que l’auteur de cette affirmation ne connais rien de l’Algérie et moins des mouvements politiques et sociaux, on s’arrête à Bouteflika en ce moment parce que Bouteflika c’est l’expression de ce régime, le produit d’un consensus entre la corruption bureaucratique, l’obscurantisme théocratique, et le militarisme sarcastique. Autrement les différentes protestations sociales visent d’abord le régime et les politiques sociale, les droits de l’homme, la femme, Tamazight il y a mille raison d’être opposant en Algérie !
                  Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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                  • M.Mébarki est de ceux qui croient encore en l'homme providentiel

                    Non, KADE, le plus petit des canassons ne peut y croire. M. Mébarki et ceux qui le soutiennent n’en croient rien, mais ils font semblant.

                    Les algériens savent les qualités et les mérites qu’on peut reconnaître à M. Bouteflika pour avoir servi son pays dans le passé depuis son plus jeune âge et en tant que ministre, qu’il a été élu et réélu président après un scrutin que la majorité d’entre eux approuvent à tort ou à raison.

                    Toutefois, il a été un très mauvais président qui a composé avec les comploteurs et s’est entouré de collaborateurs dociles pour régner seul. Il a composé avec les islamistes et même les terroristes au mépris de la justice et de la morale et au détriment des victimes de tous bords, en espérant déblayer le chemin qui le mènerait à la gloire.

                    Il a maintenu l’état d’urgence et a personnellement contribué à resserrer l’étau autour des libertés individuelles, et de presse.

                    Profitant de la manne pétrolière providentielle, et au lieu d’une large concertation avec tous les algériens dûment concernés, pour entreprendre ce qui leur convient le mieux, il s’est empressé de dresser son propre programme, le fameux programme du président que ses proches complices ne cessent de citer indécemment dans tous leurs discours.

                    Au lieu de servir l’Algérie, ce programme sert provisoirement et d’une manière aléatoire certains citoyens, des repentis, des victimes pour leur silence, des députés pour mieux l’acclamer, quelques augmentations salariales qui contribuent à aggraver le problème des salaires qui ne sera jamais réglé d’une manière globale, mais au coup par coup en fonction des déséquilibres chroniques.

                    Pendant ce temps, les chômeurs, les retraités, les petits salariés et les artisans vivent dans la plus grande détresse bien en dessous des seuils de pauvreté.

                    Ce programme sert les entreprises étrangères au détriment des entreprises et de la main-d’œuvre locales. De gros contrats sont passés pour les études, pour les réalisations, pour des équipements et même pour la gestion future de gros projets à l’avenir douteux, qui, la plupart des cas n’apporteront rien à nos innombrables chômeurs.

                    On assiste à de grands scandales et affaires de corruption et de banditisme qui sont ignorés ou traités avec la plus grande légèreté donnant à supposer la complicité de l’Etat ou de personnalités proches du Pouvoir.

                    Les grands projets lancés à coups de milliards et dans des conditions douteuses, l’Algérie étant bien classée sur la liste mondiale que l’on sait, sont réévalués au fur et à mesure et on n’en voit pas beaucoup qui soient effectivement achevés.

                    Bouteflika n’est plus le jeune ministre des années 70. Il est usé, malade et intellectuellement corrompu, et, même si ses intentions au départ étaient bonnes, et il n’y a aucune raison d’en douter, il s’est trompé sur la méthode. Il a choisi les anciens reflexes de zaïm à la place de la modernité. Il a choisi de ressembler à Castro plutôt qu’à Mandela, et c’est regrettable de la part d’un homme qui aurait pu mieux faire pendant qu’il en avait les moyens.

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                    • Bonjour Postra,


                      Avant de te répondre, je tiens à te dire que chacun est libre de se faire l'opinion qu'il veut sur un programme, sur un bilan ou sur une personnalité politique. Ce que j'ai dénoncé, c'est le manque d'arguments à la base de certains de ses jugements d'un côté comme de l'autre (voir la mauvaise foi). Ce que je déplore, c'est le manque de tolérance: traiter les pro-Bouteflika de tous les noms d'oiseaux, je trouve cela déplacé.

                      Maintenant, puisque le débat s'est déplacé, je me permets de répondre à certains de tes arguments quant aux griefs que tu portes au Président actuel:

                      Par contre je voulais rappeler une chose importante, pour ce qui est de notre façon de discuter, il ne faut pas oublier qu’en Algérie actuelle il n’existe plus de lieu d’échange, si ce n’est un forum internet comme ça dans quel endroit pouvons nous discuter !
                      Plus de cinéma, plus de théâtre, plus de bibliothèques, plus de clubs jeunes, à part des salles octroyé à des partis politiques ou des galas rien
                      Ce n'est pas tout à fait vrai. Sous Bouteflika, et grâce à la relative accalmie, l'activité culturelle en Algérie a beaucoup évolué depuis les années 90. Je trouve que le nombre de concerts et d'opéra est en constante progression.
                      Pour les bibliothèques et les maisons de jeunes, elles existent comme elles ont toujours existé: c'est-à-dire avec les lacunes qui étaient déjà là avant l'élection de Bouteflika.

                      Quant aux lieux d'échange, je trouve qu'il y a une liberté de ton en Algérie qu'on ne trouve pas dans beaucoup de pays voisins: tu peux critiquer avec les mots les plus crus le gouvernements algériens dans les cafés sans être inquiété.
                      Si tu parles des "Universités d'été", ce n'est pas à l'Etat des les organiser mais aux partis politiques. Si ces derniers ne jouent pas leur rôle en dehors des périodes électorales, ce n'est pas de la faute du Président ni du gouvernement.


                      On a chassé même l’expression politique de l’université qui est devenu exclusivement un lieu de restauration et prédilection sexuelle ?
                      Comme elle aurait déjà dû l'être bien avant. Je te rappelle que la franchise universitaire interdit les réunions à caractère politique au sein de la Fac, et compte-tenu de l'histoire récente de l'Algérie et des retombées tragiques de la politique du laisser-aller dans les campus (l'islamisme politique dans les années 70's-80's), je ne peux que saluer cette éviction.
                      Les Universités sont des lieux de savoir et non des tribunes politiques (il existe un cadre légale pour ces dernières). L'Université algérienne a perdu beaucoup d'énergie à traiter de problèmes politiques au lieu de se concentrer sur ses manques pédagogiques.

                      Maintenant si tu fais référence au désintérêt que porte les étudiants à la politique, je te dirais que cela ne concerne pas seulement l'Algérie et que ce n'est en aucun cas de la faute du gouvernement. Après tout, les gens sont libres de décider ce qui les intéresse ou non.


                      Encore une fois désolé tout ça est venu avec Bouteflika, le matraquage des étudiants et de grévistes
                      Absolument pas. Je te dirais que cela a même diminué avec lui.
                      Il existait une véritable répression sous Boumèdienne et Chadli qui n'existe pas sous Bouteflika. Lors des événements de 2001, la police a réagi avec beaucoup de tact à Alger (je te rappelle qu'elle n'est pas intervenu à l'intérieur de la faculté de Bouzzaréah alors que les étudiants la détruisait en s'en prenant aux édifices publics).

                      l’emprisonnement de journalistes
                      ,

                      Qu'entends-tu par emprisonnement de journaliste.
                      Si tu fais référence a des citoyens qui exerce le métier de journaliste, comme d'autres sont menuisier, il est normal qu'ils doivent respecter la législation en vigueur pour tous les citoyens. Il est indécent de prendre la "liberté de la presse" pour se couvrir de délits relevant du droit commun (infraction de Benchicou).

                      Si tu fais référence au procès intenté à des journalistes dans le cadre de leur métier, permet-moi de te dire qu'il existe plusieurs cas de figures:
                      - La plupart sont attaqués par des citoyens qui estiment avoir été bafoués. Et si la justice établi qu'il y a eu préjudice, il est normal qu'ils soient condamnés et ça existe partout dans le monde. Il n'y a pas de liberté sans devoir et sans responsabilité.
                      - Si tu évoques de la censure, personnellement je ne la vois pas (alors qu'elle existait clairement jusqu'à Chadli et pour cause: la circulaire "d'ouverture" date de 90). Mais si ils enfreignent les circulaires régissant leur métier, il est normal qu'ils soient poursuivi.


                      Le tire à balles réelles sur des jeunes manifestants,
                      A ma connaissance, et bien que cela soit toujours préjudiciable, il n'y a pas eu de politique systématique mais des dépassements individuels (il me semble que pendant certains événements, la police a été désarmé, ce qui est un comble).
                      Maintenant, cela dépend de ce que tu entends par "Manifestants". Si tu fais référence à des hordes détruisants tout sur leur passage, s'en prenant aux forces de l'ordre, aux édifices de l'Etat et aux particuliers, je n'appelle pas ça des "manifestants" mais des casseurs. Je t'assure que tu risques de prendre une balle pour moins que ça sous des cieux dits démocratiques.
                      Sinon pour ce qui est de la répression brutale, il suffit de te remémorer certaines scènes durant les années 80 pour te rendre compte que ce n'est pas une pratique apparue en 99.

                      La naissance d’un mouvement pour l’autonomie
                      TU parles du mouvement autonomiste pour la Kabylie, il me semble que la sensibilité est antérieure à la création officelle du mouvement. Je te rappelle que Bouteflika est le 1er président algérien a avoir consacré les dialectes régionaux (ce n'est pas un jugement) en langues nationales; chose qui était impensable sous d'autres présidents.

                      le lynchage policier pour un petit baisé avec sa copine, chose qu’on n’a pas vu même à l’époque du parti unique !
                      C'est des faits divers, je peux te coller deux millions de pages là-dessus, de l'Inde aux USA.

                      Cordialement
                      Dernière modification par absent, 27 décembre 2008, 14h00.

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                      • les anti boutef et les canassons

                        bjr tout le monde,
                        Quand j'étais petit et qu'on faisait du chahut dans la classe le prof nous disait "c'est la foire ici?.."
                        Maintenant que je suis grand et que les Présidentielles arrivent on ne parle que de chevaux et de canassons, un ami m'a dit "est ce une écurie?.."
                        Pour mettre fin à votre polémique de je suis pour ou contre je propose :

                        1)Désigner le futur PRESIDENT à l'applaudimètre comme "star academy" sans aller aux urnes (économie oblige).
                        2) Ce 3eme mandat peut aller jusqu'au 6eme sans passer par le 4eme et le5eme.
                        3) Ce 6eme mandat ira jusqu'au 9eme sans passer par le 7eme et le 8eme.
                        Ils passeront comme les vents venant de l'EST.
                        Les marins Italiens puis les notres apelle cela le 3 - 6 - 9. Les vents venant de l'Est soufflent en principe pendant 3 jous s'ils ne s'arrêtent pas ils iront jusqu'au 6eme sinon au 9eme.
                        La relègue pour les detenus c'est le 3- 6- 9. Le détenu doit purger 3 ans sans faute sinon il fera 6 et puis 9.
                        Voilà votre solution même les fêtards seront déboussolés.
                        On enverra vos résultats au conseil constitutionnel qui après validation proclamera les 3 mandats successifs. Vous imaginez l'économie que je vous fais. L'Argent gagné sera automatiquement mis en sachets de préférence noirs et transformé par UN PÔVRE à DUBAI ou ABOU DHABI en prestigieuses villas et hotels *****
                        Un programme 100% OPPOSANT TRANQUIL.

                        PLEURE Ô PAYS BIEN AIME
                        Dernière modification par che1, 27 décembre 2008, 18h55.

                        Commentaire


                        • CHE1

                          Je vois que tu habites prés d'un port de pêche.C'est vrai que le 3-6-9- existe mais le malheur c'est que le jour ou le vent d'est s'arrête la mer est glacée et les pauvres pêcheurs a la ligne, rentrent bredouilles chez eux .
                          Si l'on applique le systeme vent d'est ,on ne sortira jamais de l'auberge .
                          Ce la m'a fait sourire , car j'aime bien pêcher, mais uniquement quand le vent d'ouest souffle et qu'il s'arrête au coucher du soleil .
                          Amities .
                          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                          Commentaire


                          • Avant de te répondre, je tiens à te dire que chacun est libre de se faire l'opinion qu'il veut sur un programme, sur un bilan ou sur une personnalité politique. Ce que j'ai dénoncé, c'est le manque d'arguments à la base de certains de ses jugements d'un côté comme de l'autre (voir la mauvaise foi). Ce que je déplore, c'est le manque de tolérance: traiter les pro-Bouteflika de tous les noms d'oiseaux, je trouve cela déplacé.

                            Maintenant, puisque le débat s'est déplacé, je me permets de répondre à certains de tes arguments quant aux griefs que tu portes au Président actuel:
                            Bonjour Ulysse213

                            Je ne vois pas de mauvaise foi dans les arguments des anti-Boutef, parce que c’est des gens qui essayent de défendre comme ils peuvent et comme ils le savent la réalité des faits, que le système et ses acolytes de tout genre essayent de démentir,
                            Nous avons toujours une intolérance totale en vers la dictature, et je tiens à vous rappeler qu’on est ici dans un forum populaire et pas dans colloque de réconciliation !
                            Et je te rappel aussi que je porte des « griefs » comme tu les appelle contre le régime toute entier et pas seulement contre la personne de Bouteflika qui n’est qu’un produit contrefait de ce système trabandiste !

                            Ce n'est pas tout à fait vrai. Sous Bouteflika, et grâce à la relative accalmie, l'activité culturelle en Algérie a beaucoup évolué depuis les années 90. Je trouve que le nombre de concerts et d'opéra est en constante progression.
                            Pour les bibliothèques et les maisons de jeunes, elles existent comme elles ont toujours existé: c'est-à-dire avec les lacunes qui étaient déjà là avant l'élection de Bouteflika.
                            Quant aux lieux d'échange, je trouve qu'il y a une liberté de ton en Algérie qu'on ne trouve pas dans beaucoup de pays voisins: tu peux critiquer avec les mots les plus crus le gouvernements algériens dans les cafés sans être inquiété.
                            Si tu parles des "Universités d'été", ce n'est pas à l'Etat des les organiser mais aux partis politiques. Si ces derniers ne jouent pas leur rôle en dehors des périodes électorales, ce n'est pas de la faute du Président ni du gouvernement.
                            Je trouve que c’est normal et même courageux de dire le font de votre pensée en défendant la politique du président actuel et son gouvernement, mais si tu parle de l’Algérie actuelle, je ne pense pas qu’on parle de la même Algérie !
                            De quelle activité culturelle vous parlez qui est en évolution, les festivals de Khalida, je vois bien que les galas n’arrêtent pas dans les villes du pays et bien sur ils mettent ça dans le budget « activités culturelles » c'est-à-dire les budgets que les autorités refusent aux associations qui ne sont pas dans leur sillon politique, qui n’apporte pas un soutien à la Zourna Bouteflikiste,
                            c’est vrai depuis l’ère Bouteflika, on est rentré encore gravement dans la culture du spectacle de consommation, pour combler le vide culturel et sociale cruel avec le retrait et l’exile en pagaille de nos artistes qui sont gavé par la promotion de l’art ridicule et la médiocrité,
                            il faut sortir un peu de la capitale et des vitrines fausses comme ElHamma et le palais de la culture, pour aller voir le désert qu’a laissé le désengagement des citoyens du champ culturel que le pouvoir veut a tout prix manipulé, les salles de cinémas et théâtres fermés réhabilité en foires commerciales, le désert à travers les communes et village ou la jeunesse sans travail ne trouve pas de loisirs. Malgré le désengagement de l’Etat les jeunes se prennent en charge des fois et créent des associations pour offrir un loisir encore là la culture de l’Etat c’est mettre les bâtons dans les roues !

                            et ne me dite pas que Bouteflika n’a rien à voir avec ça, parce que aujourd’hui on trouve que c’est grâce à ces gens qu’il est président, c’est eux qui animent les comités de soutien à l’homme du consensus,

                            Oui comme tu dis on peut critiquer le gouvernement autant qu’on veut maintenant dans les cafés sans être inquiéter par les flics civiles,

                            mais parce que tous les champs sont bouchés, n’importe quel citoyen normal vous dira au café ça ne sert à rien, pourquoi ? parce que mon vieux ils ont été capables d’assassiné des jeunes en plain rue, on les a vu, vous voulez qu’on fasse quoi, critiquer, critiquons pour passer le temps mais ne soyons pas efficaces parce que là il aura de la casse,
                            on ne parle pas de la même Algérie à ce qui il me semble, je vous parle d’une Algérie ou règne un climat de frayeur insoutenable,

                            rien que la gendarmerie après les assassinats, ses dépassements, tortures et expéditions punitives à même dans l’intérieur des foyers respectables, ce corps militaire est devenu une Gestapo !

                            Je ne fais pas des spéculations, demandez aux jeunes qui vivent sous le climat tari de l’Algérie actuelle si vous êtes un peu loin du pays pour une raison ou une autre !
                            Et vous osez dire que c’est la faute aux partis politiques s’ils n’assument pas leurs rôles, à vous écouter c’est aussi facile que ça l’organisation de la vie politique à l’université et en Algérie sous ce régime, avant et maintenant avec Bouteflika,

                            moi aussi j’en veux aux partis électoralistes cette tradition de n’être actifs que pendant les élections, mais comment oublier toutes les techniques d’intimidations dans la vie politique que subissent les militants, l’embargo sur les manifestations hostiles au pouvoir, le sabotage et les tentatives de corruption de militants et débutés de partis, Bouteflika à réussi les coups d’Etats les plus spectaculairement sordides dans des partis comme le RND et le FLN en douce, une petite secousse dans le PT à fait de ce parti ouvrier un parti corporatiste tourné vers la stabilité du régime à l’exemple de l’UGTA. Il reste presque aucune possibilité de travailler politiquement dans l’atmosphère d’opportunisme qui règne, tout le monde du plus petit collaborateur avec le régime au plus haut des responsables la politique est devenu une passation de services au dépend des problématiques qui épuise le citoyen.

                            Passant sur la réforme de la vie universitaire qui a l’objectif de liquider les comités autonomes et de casser les liens entre l’université et la société. Les avantages donné aux associations intégristes et khoubzistes pour compressé les structures autonomes, passant sur la désinformation, l’intox, les ministres qui nous traitent de voyous ex… mais enfin j’ai rien à vous raconté puisque vous êtes de l’autre coté !

                            Comme elle aurait déjà dû l'être bien avant. Je te rappelle que la franchise universitaire interdit les réunions à caractère politique au sein de la Fac, et compte-tenu de l'histoire récente de l'Algérie et des retombées tragiques de la politique du laisser-aller dans les campus (l'islamisme politique dans les années 70's-80's), je ne peux que saluer cette éviction.
                            Les Universités sont des lieux de savoir et non des tribunes politiques (il existe un cadre légale pour ces dernières). L'Université algérienne a perdu beaucoup d'énergie à traiter de problèmes politiques au lieu de se concentrer sur ses manques pédagogiques.
                            L’université est un lieu de savoir et de toutes les dynamiques sociales et politiques qui anime la société,

                            pourquoi les responsables invoquent cet argument que l’université n’est pas un lieu de politique uniquement face à l’opposition et jamais face aux appareils qui leurs sont dévoué,
                            les étudiants ont le droit d’avoir des tendances politiques, ils ont le droit indiscutable d’exprimer leurs convictions dans des cadres associatifs et des conférences ex… ils interviennent souvent dans des comités et des assemblées générales, jamais en qualité de partis politiques en direct, mais plus pour protester contre le pourrissement !
                            contrairement aux autres tendances des troupes de la réconciliation et de l’alliance qui affichent leur subjectivité ostentatoirement !

                            la franchisse universitaire doit interdire aux flics de venir assisté aux assemblées générales des étudiants pour faire des rapports, elle doit interdire à des mafiosos qui n’ont aucun lien avec l’université de venir embêter les étudiants.
                            Dernière modification par postra, 27 décembre 2008, 23h45.
                            Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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                            • Maintenant si tu fais référence au désintérêt que porte les étudiants à la politique, je te dirais que cela ne concerne pas seulement l'Algérie et que ce n'est en aucun cas de la faute du gouvernement. Après tout, les gens sont libres de décider ce qui les intéresse ou non.
                              J’aime bien écouter cet argument « cela ne concerne pas seulement l’Algérie ou ça ne ce passe pas uniquement en Algérie, pas mal de pays vivent cela ? »
                              Et alors, il y a des pays qui vivent la famine, cela justifié que des familles algériennes vivent la sous-alimentation, désolé mais vous tomber des fois dans le raisonnement rétrograde alors que je pensais être avec vous dans un stade avancé du débat !

                              « ce n'est en aucun cas de la faute du gouvernement »

                              Pourtant meme Ouyahia a reconnu la responsabilité de son gouvernement, et reconnait ces manques,

                              si l’Etat n’est pas responsable c’est qu’il n’a rien fait pour, et heureusement que nos étudiants ne réfléchissent pas de cette manière, ils se battent encore contre le désengagement de l’Etat, pour une université populaire ouverte sur la modernité, heureusement que la politique est là sinon d’où peut venir cette conscience pour lutter afin de préserver ses droits qui sont remis en cause à chaque rentrée universitaire,
                              si ce n’était que la pensée du gouvernement les universités algériennes serait devenus des porcheries au sens propre du terme il y a longtemps, il faut le savoir !

                              et il ne faut pas me sortir cet argument de l’activité islamiste au sein du campus parce que les frérots sont bien installés avec leurs salles de prières devenues de vraies Zaouiya avec leurs prêches, leurs conférences ex.. ça représente un autre appui de pression pour l’administration sur les syndicats étudiants, ils ont pas le droit à cela parce que il existe des grandes mosquée à l’extérieur, ce qui manque c’est des salles de lecture et autres commodités indispensables aux étudiants qu’on trouve pas à l’extérieur.

                              Je vous cite des problèmes réels qui son la base de mes arguments et non des détails futiles… il y a une corrélation logique entre tous ces éléments. Mais vous essayez toujours de séparer les situations afin qu’on ne comprenne rien à ce qui ce passe !

                              Il existait une véritable répression sous Boumèdienne et Chadli qui n'existe pas sous Bouteflika. Lors des événements de 2001, la police a réagi avec beaucoup de tact à Alger (je te rappelle qu'elle n'est pas intervenu à l'intérieur de la faculté de Bouzzaréah alors que les étudiants la détruisait en s'en prenant aux édifices publics).
                              Oui il existait une véritable répression sous Boumediene et Chadli, mais là encore il s’agit d’un système, c’était 3inani comme on dit en algérien,
                              le pouvoir Boumediene avait le nom de coup d’Etat, socialisme militaire et parti unique,
                              mais là avec Bouteflika c’est la remise en cause de toutes les luttes et les acquis de la démocratie algérienne, le multipartisme ex… qui n’a pas été édifié par l’Etat comme le prétend Bouteflika et ses amis, mais édifié avec le sang d’algériens libres, militants et journalistes comme Djaout et autres, qui l’ont payé de leur carrière et leur vie pour que l’Algérie ne tombe pas dans le faussé de l’obscurantisme total,

                              chaque mort était une prise de conscience, chaque combat dur à la fois contre l’intégrisme agressif et l’Etat policier était un espoir pour une autre Algérie, dans des conditions que Bouteflika n’a jamais connu !!!

                              aujourd’hui le pouvoir de Bouteflika porte le nom de Démocratie, et prétend qu’aucun pays arabe ne respecte les droits de l’homme comme le notre alors que, en même temps on brise les jambes à un citoyen parce qu’il refuse d’avancer du bakchich à un gendarme ! à l’heure ou toutes les conventions sont piétiné en matière économique et sociale !

                              Les réformettes sur les droits de la femme apportée dans le cadre de cette arnaque constitutionnelle abjecte pour ouvrir la seule barre devant l’autoritarisme ne valent rien!

                              Sinon la destruction des édifices publics est de la responsabilité plaine de ce pouvoir qui a fait de ces édifices "propriété privée" de l’Etat et non propriété du peuple, les jeunes ne voit plus cela comme public mais symbole du pouvoir !
                              c'est a dire à défaut de casser la gueule de Bouteflika ou Ouyahia on casse une plaque Stop et heureusement, car des choses comme cela vont venir un jour ou l’autre, les protestations vendalistes vont se radicalisé en fonction du dénigrement total que vous pratiquez en disant que tout va bien, rien n’est de la faute du gouvernement !

                              comme si le jeune pouvait être responsable de sa mal-vie, de son chômage, de la crise qui berce les générations ! impossible, alors il ne peut être responsable de vandaliser des choses qui sont là pour la forme… pour donner l’impression qu’il existe un certain ordre.

                              C’est le pouvoir qui est responsable de la privatisation, donc de la liquidation, donc de la privation, donc de la violence sociale que la déréglementation engendre !

                              est ce que les travailleurs qui avaient des postes sûrs dans les entreprises publiques sont responsables des détournements et voles qui ont ruiné ces entreprises, est ce que ils ont demandé la privatisation pour se retrouver en chômage non indemnisé et vivre en clochard après des années de loyal service !
                              Dernière modification par postra, 27 décembre 2008, 23h53.
                              Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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                              • Qu'entends-tu par emprisonnement de journaliste.
                                Si tu fais référence a des citoyens qui exerce le métier de journaliste, comme d'autres sont menuisier, il est normal qu'ils doivent respecter la législation en vigueur pour tous les citoyens. Il est indécent de prendre la "liberté de la presse" pour se couvrir de délits relevant du droit commun (infraction de Benchicou).
                                Laisse-moi te dire une chose, en matière d’arguments qui donnent une légitimité à toutes les pratiques de ce gouvernement tu n’apporte rien de nouveau, parce que on a entendu cela mainte fois de la bouche même de Zerhouni et de ses semblables.
                                Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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