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Considérez vous le Colonel Amirouche comme un sanguinaire ?

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  • #61
    je ne parlais pas de la ville de BBA ... mais du nord et l'ouest de la wilaya de BBA...
    Et moi je te parle men el lyachir h'ta l'stif

    mais comme toujours on y favorisa l'arabisation
    Le complot, ourdi par les sino-franco-trurc tendant à sémitiser ces beaux et grands blonds aux yeux azurs...

    viens le demander à ceux qui habitent près de l'Ouad Aïssi et l'oued Sébaou ... ou ceux qui sont venu s'installer dans des villages berbérophones des Biban
    Tu conviendras qu'il vaut mieux être kabyle à Batna ou à Oran que non-kabyle à Tizi-Ouzou....

    -traduit en Kabyle N'lounis revient- est un célèbre générique.
    LOOOL

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    • #62
      Et moi je te parle men el lyachir h'ta l'stif
      c'est des relais pour routier ça lemhir et El yachir aux alentour c'est des kabylophones je suis a moitié de Mansourah.

      Le complot, ourdi par les sino-franco-trurc tendant à sémitiser ces beaux et grands blonds aux yeux azurs...
      je voi qu'on se comprend

      Tu conviendras qu'il vaut mieux être kabyle à Batna ou à Oran que non-kabyle à Tizi-Ouzou....
      pas du tout.

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      • #63
        Zyriab

        Ulysse ne t'est pas d'un grand secours
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #64
          Pour en savoir un peu plus sur se Grand Héros qu'est AMIROUCHE:
          ---------------------
          Amirouche Aït Hamouda, plus connu sous le nom de Colonel Amirouche, est un colonel de l'Armée de Libération Nationale, né en 1926 dans le village de Tassaft Ouguemoune (faisant actuellement partie de la commune d'Iboudraren) dans les montagnes du Djurdjura en Kabylie (Algérie). Fils posthume d'Amirouche Aït Hamouda et Fatima Aït Mendès.

          Initié au militantisme par Bachir Boumaza au lendemain de la Seconde Guerre mondiale sur le chantier de construction du barrage de Kherrata, il s'installe à Relizane (ouest de l'Algérie) où son activité et son courage physique font l'admiration des militants de la cause nationale. A la création de l'O.S (Organisation Spéciale), groupe paramilitaire chargé de la préparation des combattants pour la lutte armée, il est l'adjoint de Ounès Benattia auquel il succède après l'arrestation de ce dernier.
          En 1950, sur ordre de ses chefs, et dans le cadre de la crise profonde qui secoue alors le mouvement national, il quitte l'Algérie pour la France où son engagement dans les rangs des durs lui vaut un passage à tabac qui le laisse pour mort après un meeting houleux à la Mutualité à Paris. Il y reste jusqu'en septembre 1954 date à laquelle il revient en Algérie et participe à la préparation du déclenchement de la lutte armée aux environs de l'Arbâa des Ouacifs où il est initié au maniement des explosifs par Mokhtar Kaci-Abdallah.
          Le premier novembre 1954, il entre dans la clandestinité sous les ordres de Amar Aït Chikh et assiste en 1955, impuissant, au simulacre de procès, organisé, à l'instigation de Krim Belkacem, qui aboutit à l'assassinat d' Amar Ould Hamouda (figure connue du mouvement national). Dur au mal, infatigable, habile tacticien, il gravit rapidement les échelons de la hiérarchie jusqu'au grade de commandant.
          C'est à ce titre, et en qualité de responsable de la zone de la Soummam en basse Kabylie, qu'il assure la sécurité du Congrès de La Soummam qui jettera les bases idéologiques du combat libérateur et assoira le socle de l'État Algérien moderne.
          Lors de la crise de la Wilaya 1, après la mort de Mostefa Ben Boulaïd et la liquidation de chefs prestigieux tels Abbas Laghrour, Bachir Chihani et quelques autres, il est chargé par le CNRA (Conseil National de la Révolution Algérienne) de remettre de l'ordre dans les rangs des combattants. Il s'acquitte avec brio de cette mission et redonne à la Wilaya 1 son unité perdue et récupère, en lui sauvant la vie, le futur colonel Haouès (Ahmed Ben Abderrazzak).
          Lors du départ de Saïd Mohammedi vers l'extérieur, le conseil de Wilaya le désigne comme successeur, ce qu'il refuse pour ne pas violer la règle de l'ALN qui exige que le poste revienne à l'officier le plus ancien dans le grade, en l'occurrence, Saïd Yazouren dit Vrirouche. Ce dernier, envoyé à Tunis, y est maintenu pour permettre la désignation d'Amirouche au grade de colonel.
          L'épisode douloureux du complot dit de "la bleuite" affecte profondément la wilaya 3 et donne lieu à des liquidations physiques massives au sein des unités combattantes. Grâce à l'abnégation d'adjoints prestigieux, tels les commandants Ahcène Mahiuoz, H'Mimi (Ahmed Feddal), Moh Ouali (Slimani Mohand Ouali), Ali Azzi, Lamara Hamel, il remet en route les unités combattantes mais souffre de l'absence totale d'approvisionnement en armes en provenance de l'extérieur. Il décide alors, avec le colonel Haouès de se rendre à Tunis demander des comptes au GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) et envoie une mission d'approche vers la Wilaya 2 dont le chef, le colonel Ali Kafi avise Lakhdar Bentobbal de l'arrivée prochaine des colonels. Ce dernier avise Krim Belkacem et Abdelhafid Boussouf et ils décident ensemble de laisser le temps au service français du chiffre de décoder les messages de l'ALN.
          Suivi à la trace par les troupes françaises, le groupe des colonels, escortés par le commandant Amor Driss, tombe dans une embuscade mortelle au lieu dit Djebel Thameur le 29 mars 1959

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          • #65
            Merci myra21 pour cette biographie.
            le groupe des colonels, escortés par le commandant Amor Driss, tombe dans une embuscade mortelle au lieu dit Djebel Thameur le 29 mars 1959
            Dans une semaine , on commémorera le cinquantième anniversaire de la mort au champ d'honneur des colonels Amirouche et Si El-Haouas et de leurs frères d'arme , Allah yarhem echouhada.

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            • #66
              Pour tous ceux qui veulent juger Amirouche nous dirons ce qu'a repondu le celebre:Mohand Oulhadj apres la mort d'Amirouche:«Amirouche est mort, nous sommes tous des Amirouche»,
              عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

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              • #67
                Les Français n'ont tourné que les pages qui les dérangent , les crimes coloniaux , la collaboration avec le 3ème Reich mais ça ne les a pas empêché de juger Klaus Barbie qui rappelons le a nié les crimes dont on l'accusait alors qu'Aussaress les revendique sans jamais etre accusé ni jugé.
                Dernière modification par DZone, 12 mars 2009, 15h19.

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                • #68
                  Je rend hommage au colonel Amirouche combattant de la liberté , héros de guerre algérien parmis tant d'autres . Si on devait discuter de ses érreurs , Amirouche n'ait pas le seul qu'il faut blamé .

                  En espérant que les familles de ceux qui ont subie sa foudre lui pardonne ses érreurs . La kabylie peut être fier d'avoir eut des hommes et femmes courageux tel Ramdane , Belkacem , Amirouche , Fadhma n'soumer et j'en passe .

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                  • #69
                    A cisco...........:22: :22:

                    1/ Ce n'est pas les Algeriens qui ont été cherché le borgne aussares?
                    arrete de melamger resistant et occupant.
                    2/ On fait pas d'omelette sans casser les oeufs.
                    3/Dans toute revolution il y a eu de dégat.
                    4/ A te voir comparer un nationnalite Algeriens a des occupants ? je me demande si tu n'est pas un peit fils de Bachagha (Boualem ou Hamiche???).

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                    • #70
                      Pour moi , c'est un Héros et le restera , c'est des Hommes comme lui qu'il faut en algerie .........chez nous les Héros soit on les tue , soit on fait tout pour salir leurs mémoire ...

                      les allergies ça se soigne
                      "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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                      • #71
                        Le vrai tort des algériens c'est qu'ils sont fiers d'une histoire qu'ils connaissent très mal, on se limite à ce qu'on nous raconte à l'école ou à la télé, et c'est tout à fait normal d'être choqués de découvrir les faces cachées, on refuse même de savoir et continuions à prétendre que ce qu'on croit est la bonne et la seule vérité.
                        Le geste du fils d'Amirouche est plein de bravoure et de courage, son père a fauté sciemment ou inconsciemment, et j'en suis certaine qu'il garde toute l'estime qu'un fils a pour son père et que tout algérien a pour les Amirouche, Belkacem, Ben mhidi ..Etc
                        Il n'est ni le premier ni le dernier chef qui croit bien faire et ne se doute pas du mal qu'il fait à sa cause, Dans le cas d'Amirouche beaucoup de ses frères d'armes ont désapprouvé ses tueries (Krim Belkacem entre autre)

                        Ps:je posterai ce soir quelques passages sur lui.
                        ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                        • #72
                          Prenons exemple sur les français qui ont su tourner la page des guerres pour avancer.
                          Tu te goures profondément mon cher !
                          Les français ont tourné la page mais ils ont gardé en mémoire ce qu'ils ont fait et ce qui leur a été fait !
                          Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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                          • #73
                            Tu te goures profondément mon cher !
                            Il ne se gourre pas , il sait ce qu'il dit et il le fait sciemment , certains ne loupent aucune occaz pour minimiser les crimes français en Algérie.

                            Comment peut on pardonner à quelqu'un qui n'a jamais demandé pardon et qui ne regrette pas les crimes qu'il a commis mais au contraire il en est fier et en veut à son pays de lui avoir retirer sa Légion d'Honneur pour avoir divilguer un secret de Poloichinel !

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                            • #74
                              Dz

                              Nul ne peut avancer ni même pardonner quand des actes sont dissimulés ou occultés. Minimiser les actes de l'armée française est une mauvaise chose mais minimiser et même excuser les massacres perpétrés par Amirouche n'est pas mieux. Il ne s'agit pas de le condamner mais simplement de raconter les faits tel qu'ils se sont passés pour réhabiliter la mémoire de ceux qui ont été tués alors qu'ils étaient innocents. Il est temps que les algériens sachent que les Messalistes furent parmi les premiers Moudjahidins et non pas des traitres comme le FLN a essayé de le faire croire pour se dédouaner de ses crimes. Ces massacres n'ont fait qu'affaiblir la Révolution et semer la division qui aujourd'hui existe encore.
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                              • #75
                                Non Zwina , je ne minimise rien du tout , je suis pour qu'on assume toute notre HISTOIRE , je suis fier de nos Chouhada qui ont consenti le sacrifice suprême pour la liberté du pays , avec peu de moyens , ils ont accompli un grand miracle.
                                La génération de 54 a compris une chose essentielle pour mener à bien la lutte pour la libération nationale , l'unité de tous les combattants et dans cette optique , les maquis messalistes faisaient désordre , celui de Bellounis etait armée par la France...quant à Messali Hadj qui a été réhabilité officiellement , tous les Algériens savent qu'il etait le premier nationaliste algérien à réclamer l'indépendance nationale contrairement à Ferhat Abbès qui etait pour l'assimilation.
                                L'ennemi utilisa tous ses moyens colossaux et de toutes natures (opérations militaires gigantesques, répression aveugle, torture systématique, isolement du pays dans les faits et par la diplomatie, propagande à grande échelle, complots sordides comme la bleuite, l'affaire K, l'affaire l'Oiseau bleu, la Paix des braves, les contre-maquis, Bellounis ou l'affaire Si Chérif, le contre-espionnage ou la désinformation… Ces actions indignes d'une grande nation, conçues avec la plus grande minutie par des stratèges de la «contre-révolution» et des spécialistes de l'«action psychologique» connurent le même sort, causant en plus de la honte à leurs auteurs, à leur tête les gouvernements successifs de la France coloniale

                                in http://www.eepad.dz/information/melh...e.php?ref=3411
                                Dernière modification par DZone, 12 mars 2009, 17h11.

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