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Des centaines d’enfants dans la plus grande décharge d’Algérie

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  • #46
    je crois que c'est plus digne de ramasser des materiaux recyclables et recuparables dans une decharge a l'humiliation de la mendicite ,soutout qu'on on est un faux mendiant ,voila la difference entre vous et nous mon frere ,ici on ne conçoit pas l'idee d'aller mendier alors qu'on est a l'abris ,sinon comment expliquer ce phenomene
    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

    Gödel

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    • #47
      C'est clair nos amis algériens ne cessent de critiquer, de cracher sur le maroc mais parmis les plus privilégiés d'entres eux ils séjournent tous au maroc régulièrement, sont fascinés par nos us et coutumes mais ne peuvent se l'avouer aux fonds d'eux mêmes, qu'on les dépasse sur tous les tableau
      roumi
      as tu visite l'algerie?

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      • #48
        dje7 j'aurai été d'accord avec toi si ce que tu disai était vrai mais :


        Alger malade de ses mendiants


        Au cœur d’Alger, lorsqu’on arrive de Tafourah pour aller vers la Grande-Poste, des mendiants de tous âges et sexes opposés défient les automobilistes en leur tendant une main audacieuse, à la recherche de pièces de monnaie.


        “Ya khoya, aide une femme faible comme moi, Rabi te le rendra plus tard “, s’écrie d’une voix implorante une femme à l’adresse d’un conducteur. Ce dernier, l’air méfiant, la rabroue en augmentant le son de sa radio. La mendiante ajuste son foulard noir, puis se dirige précipitamment vers un autre automobiliste. Elle lui cite un verset du Coran d’une voix rapide et tend son bras décharné en lui disant : “Tu es un brave homme et tu sembles bon. Aies pitié d’une pauvre femme qui a peut-être l’âge de ta mère ou de ta sœur .“ Le chauffeur, à peine la trentaine, à la fois hésitant et mécontent par ces “satanés problèmes de la circulation”, se décide finalement à lui glisser une pièce de dix dinars dans la main. La femme s’avance vers une autre voiture, tandis que d’autres mendiants, installés plus bas, tentent leur chance avec les conducteurs, à la recherche d’âmes charitables. Nous poursuivons notre marche à pied.
        À l’entrée du tunnel des facultés, à la rue Docteur-Sâadane, un vieil homme portant des lunettes de vue est accroupi, la main tendue vers les passants, en évitant sciemment de les regarder. Ses vêtements, même usés, sont propres. À quelques mètres de lui, plus précisément à la sortie du tunnel, se trouve un autre mendiant tenant dans ses bras un petit garçon endormi, d’environ 7 ans, qui porte un bandage sur la tête. De sa main libre, l’homme demande l’aumône. Deux femmes passent à ce moment précis. L’une d’elles, compatissante, cherche nerveusement son porte-monnaie, puis donne de l’argent au mendiant. Nous l’accostons et lui demandons le pourquoi de son geste. “Katâali qalbi son fils. Je n’ai pas pu résister, c’est plus fort que moi. Ces gens-là ont besoin de notre solidarité”, répond-elle le plus sérieusement du monde. La femme qui l’accompagne est, quant à elle, très sceptique. “J’ai beaucoup de doute au sujet des mendiants. Je sais que les plus nécessiteux paient pour les faux mendiants. Je préfère alors réserver mon aide de façon rationnelle aux personnes qui sont dans le besoin et que je connais”, explique-t-elle.
        Nous traversons le carrefour en nous dirigeant vers la place Audin. Non loin du grand salon de thé Dallas, une femme, toute dépenaillée, est installée à l’entrée des escaliers du tunnel. Deux enfants chétifs et sales, une fillette et un garçonnet, âgés d’à peine 6 ou 7 ans, tournent autour d’elle, puis s’éloignent en traînant devant des clients attablés dehors, avant de revenir souriants vers la bonne femme. Pour ceux qui ont l’habitude de passer par là, cette dernière et les deux enfants leur sont familiers puisqu’ils ont élu domicile en cet endroit depuis quelque temps.
        Un peu plus loin, deux femmes sont assises par terre, entourées de trois enfants. Devant l’une d’elles, celle qui semble la plus jeune, a un bébé qui dort sur un morceau de carton recouvert d’un tissu fin aux couleurs douteuses. La seconde femme, la main droite sur sa longue robe sombre, suit des yeux les deux enfants qui, debout, s’amusent bruyamment à cache-cache.

        20% de la population algérienne vivent dans le dénuement...
        En allant de la place du 1er-Mai jusqu’à la place des martyrs, en passant par les rues Hassiba Ben-Bouali, Larbi Ben-M’hidi, Abane Ramdane et Bab-Azzoun, on se rend compte combien les nouvelles voix et les nouveaux regards, de plus en plus nombreux, se sont imposés dans le décor quotidien de la capitale. La présence des plus faibles, c’est-à-dire des femmes, des vieillards, des enfants et des aveugles, ainsi que des handicapés mentaux et moteurs, tendant la main à l’entrée des immeubles, devant les boulangeries, les pâtisseries, les pizzerias, les magasins et les arrêts de bus, a de quoi bouleverser, pour peu qu’on prenne conscience de toute cette tragédie humaine.
        Dans cette affaire qui interpelle l’État et la société civile, les citoyens ont leur mot à dire. “Il y a des manières de demander l’aumône. Je crains que la mendicité soit devenue un vice”, soutient vivement une jeune étudiante, mais elle précise très vite : “Il y a des gens qui mendient par besoin et ceux qui abusent de la gentillesse d’autrui. Je me demande d’ailleurs où est passé l’argent du téléthon destiné pour les diar errahma”. Un employé à la Caisse de sécurité sociale de Port-Saïd parle carrément de “coins stratégiques” qui sont, selon lui, prisés par les “mendiants professionnels”, en citant notamment la poste, les banques, les trains et la gare routière. “Je prends tous les jours le train, mais il m’arrive de monter quelquefois dans les bus. Les mendiants qui choisissent ces lieux sont pour la plupart des professionnels. Ils ne vous lâchent que lorsqu’ils ont eu gain de cause”, indique-t-il. À hauteur de la rue Didouche-Mourad, à proximité du cinéma Algeria, un jeune policier interviewé nous avouera que des enfants et des adolescents se lancent de plus en plus dans la mendicité, généralement en cachette de leurs parents. “Ils veulent acheter des tas de trucs dont ils sont privés chez eux et préfèrent alors tendre la main plutôt que de voler les gens, parce qu’ils ont encore peur des conséquences”, relève-t-il avant de nous quitter.
        Un autre interlocuteur, en l’occurrence un cadre au ministère du travail et de la Sécurité sociale ayant requis l’anonymat, nous renseignera davantage sur ce fléau. “La mendicité date depuis des années, en particulier depuis la dernière décennie. C’est le résultat de la pauvreté, de la fermeture d’unités et d’entreprises, de la crise de l’emploi et du terrorisme, qui a poussé des familles entières à fuir leur village et à aller vers les grandes villes pour s’installer dans des bidonvilles. Mais, c’est aussi la conséquence du code de la famille. La capitale n’est pas représentative du phénomène de mendicité à Alger”, atteste-t-il. Le plus terrible pour ce fonctionnaire, “c’est que des gens dorment dans la rue, sous les ponts et les arcades ou à l’entrée des immeubles, même pendant l’hiver”. Il rappellera à juste titre les chiffres publiés par le dernier rapport du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). “L’Algérie figure parmi les pays où la pauvreté ne cesse de croître. 20% de sa population vit déjà dans la misère.
        Beaucoup de familles n’arrivent plus à faire face à la cherté de la vie. C’est le cas des familles qui n’ont ni revenu ni domicile, celles vivant d’une pension de retraité très maigre qui parfois ne dépasse pas les 7 000 DA ou d’un salaire insuffisant par rapport au coût de la vie”, soutient-il. Est-il possible de mettre fin au phénomène de mendicité ? Si c’est le cas, comment y parvenir ? De l’avis de notre interlocuteur, la solution doit passer forcément par “une nouvelle répartition des richesses nationales et de la manne pétrolière”. Une répartition qui se traduira, selon lui, par notamment la création d’emplois et la mise en place de nouvelles structures d’aide aux personnes nécessiteuses, en plus de celles existant déjà et qui ont besoin d’être consolidées. “Depuis la moitié des années 1980, les entreprises publiques n’ont pas connu d’investissements. Bien au contraire, nous assistons depuis des années à la destruction du tissu industriel”, commente-t-il, sans toutefois cacher ses appréhensions. “La mendicité, dévoile-t-il d’un air inquiet, si elle n’est pas prise en compte rapidement par les autorités du pays, peut ouvrir la voie à la prostitution et aux autres formes de délinquance, tels que les vols et le banditisme.”

        Les techniques du “métier”

        Peut-on décemment parler de “techniques” de la mendicité ?
        La question posée autour de nous a suscité plusieurs réactions. Pourtant, la réponse est positive. Au-delà des aspects liés à la pauvreté et aux problèmes sociaux en général, celles et ceux qui tendent la main, agissent souvent en connaissance de cause.
        Il suffit de déambuler en plein Alger pour se rendre à cette évidence : plusieurs “accessoires” sont mis en avant par des mendiants, pour apitoyer les passants. Cela va de l’exhibition d’un bras ou d’un pied amputé jusqu’à l’utilisation de bébés et d’enfants en bas âge, le plus souvent loués pour la journée à “200 dinars l’unité”. Chacun de nous a dû rencontrer des personnes invalides, notamment des handicapés moteurs, qui, de leur poste stratégique, un dos d’âne ou un passage pour piétons, tentent de culpabiliser les automobilistes ou les marcheurs, avec l’intention de récupérer quelques pièces de monnaie.
        Dans les endroits proches des marchés, des arrêts de bus, de la gare ferroviaire ou d’une station routière, des mendiants, femmes, hommes ou enfants, viennent demander l’aumône, en présentant une ordonnance médicale non payée, en exhibant la pompe de Ventoline pour asthmatiques ou en motivant leur besoin d’argent par leur sortie d’hôpital ce jour-là. Le monde de la mendicité tolère d’autres comportements et d’autres vices. Dans certaines places de la capitale, non loin des mosquées et des jardins publics, des handicapés, notamment des aveugles, sont quotidiennement déposés par les membres de leur famille, puis récupérés en fin de journée avec l’argent de la manche. Ailleurs, des mendiants s’insultent et en viennent parfois aux mains, lorsqu’un nouveau gueux débarque et cherche à empiéter sur leur “territoire”. Mais la dispute peut aussi éclater, quand un des mendiants s’installe sans gêne dans un coin, jusque-là squatté par un autre...


        source: algerie-dz

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        • #49
          je crois que c'est plus digne de ramasser des materiaux recyclables et recuparables dans une decharge a l'humiliation de la mendicite ,soutout qu'on on est un faux mendiant ,voila la difference entre vous et nous mon frere ,ici on ne conçoit pas l'idee d'aller mendier alors qu'on est a l'abris ,sinon comment expliquer ce phenomene
          Dje 7 hbibi arrête de nous faire croire des balivernes sur la mendicité qui n'existe pas en algérie, plus personne n'est dupe et cela fait régulièrement les titres de quotidiens dz qui s'alarment de l'ampleur que cela prend:
          cela a déja fait débat sur fa voici le lien
          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...t%E9+alg%E9rie

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          • #50
            laayoun
            je n'ai jamais nier l'existance de mendicite en algerie ,mais au maroc elle est plus imprtante ,et c'est inutile de gooler et fouiner dans les archives de presse
            Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

            Gödel

            Commentaire


            • #51
              Roumi
              C'est clair nos amis algériens ne cessent de critiquer, de cracher sur le maroc mais parmis les plus privilégiés d'entres eux ils séjournent tous au maroc régulièrement, sont fascinés par nos us et coutumes mais ne peuvent se l'avouer aux fonds d'eux mêmes, qu'on les dépasse sur tous les tableaux
              Et en particulier sur le tableau de la stupidité...
              Je ne parle pas des Marocains mais de l'auteur de cette reflexion fumeuse
              ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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              • #52
                ameur

                roumi
                as tu visite l'algerie?
                Pourquoi faire je ne suis maso!!!

                Commentaire


                • #53
                  ROUMI > Pour critiquer l'Algerie il faudrait déjà y avoir vécu au moins une fois dans sa vie. Sans ça , difficile d'être objectif.

                  Commentaire


                  • #54
                    Pourquoi faire je ne suis maso!!!
                    mais assez sado pour venir taper sur l'algérie dans un forum algérien... sans vraiment te mouiller ni meme maitriser ton sujet.
                    Rabhine n'katlokoum, wo Rhassrine n'katlokoum... Tahia JSD !!! même si souvent, elle deconne vraiment!!! enfin tout le temps même...

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                    • #55
                      laayoun
                      je n'ai jamais nier l'existance de mendicite en algerie ,mais au maroc elle est plus imprtante , il parait quelle fait partie de l'activite economique de votre pays c'est une proffession comme les autres ,est ce qu'ils payent les impots au moins
                      La mendicité au Maroc : Une activité florissante

                      On les retrouve à proximité des mosquées, des centres commerciaux, des boulangeries. Parfois, ils sont en horde et font du porte-à-porte dans les quartiers résidentiels. Ils, ce sont les mendiants. Leurs lieux de rendez-vous hebdomadaire, les vendredis, devant la maison d’un homme d’affaires ou une personnalité charitable.

                      La mendicité est un réseau bien organisé. On ne peut pas mendier n’importe où sans payer une somme d’argent aux propriétaires des concessions. Pour chaque zone, il y a un proriétaire auquel les mendiants doivent verser un droit d’occupation. Donc de mendier”.

                      À l’entrée de la gare Rabat-ville, je suis abordée par un jeune homme, d’une trentaine d’années, portant un costume couleur sombre, une chemise blanche et fraîchement rasé. D’une manière très polie, il me demande si je pourrais lui donner dix dirhams pour qu’il puisse prendre son ticket. Il m’a raconté qu’il était de Casablanca, qu’il est venu à Rabat pour régler des affaires administratives et qu’il a perdu son porte-feuilles. Je lui ai donné les dix dirhams et je suis partie en pensant que ce genre d’incident arrive. Comme dit l’adage marocain "moule taj ou kayehataje" (personne n’est à l’abri du besoin). À aucun moment, je ne me suis posé la question sur l’authenticité de récit. Il avait l’air sérieux, parlait d’une voix basse et semblait gêné de demander de l’argent à une inconnue. Néanmoins, le temps me prouvera que les apparences sont souvent trompeuses et que ce jeune homme que j’ai croisé n’est autre qu’un mendiant. La providence m’a mené à Rabat. En descendant du train, je vois le même homme.

                      Apparences

                      Il était à l’œuvre. Une autre victime l’écoutait attentivement. Je l’ai vu lui donner les dix dirhams. À ce moment-là, j’ai compris son stratagème et je décide de lui jouer un tour. Je me dirige vers lui. J’étais certaine qu’il n’allait pas me reconnaître. Effectivement, le même scénario se répète. "Excusez-moi, ma sœur, je suis très gêné de vous demander cela, mais je suis dans le besoin. J’ai égaré mon porte-feuille et je n’ai plus d’argent pour rentrer chez moi, à Casablanca. Si vous pouvez m’aider en me donnant une pièce de cinq ou dix dirhams pour acheter mon ticket", raconte le jeune homme. Je lui ai répondu que je pouvais mieux faire et que je lui propose de payer son ticket directement au guichet. Il m’a regardé, perplexe, et a accepté en me remerciant de ma générosité. À peine, ai-je eu le dos tourné qu’il a disparu. Je l’ai cherché partout, en vain. Je me suis décidée de rester sur place car j’étais sûre qu’il allait revenir. Ma pensée se confirme. Après une demi-heure, il est de retour et reprend sa place. Je l’approche encore une fois, je lui suggère gentiment de discuter de son histoire autour d’un café. Il accepte tout en restant sceptique. Son secret est celui-ci.

                      Tactiques

                      Ce jeune homme se prénomme Abdelkader, il est issu d’une famille modeste habitant au quartier Yacoub El Mansour, à Rabat. Niveau Baccalauréat, Abdelkader n’a pas trouvé de travail. Il a envoyé des demandes d’emploi partout, sans réponse. Son âge avancé ne pouvait pas lui permettre d’intégrer un atelier pour apprendre un métier, il est resté oisif. Ses parents ne peuvent le prendre en charge -son père est retraité et sa mère femme au foyer-, il devait subvenir à ses besoins. Abdelkader a opté pour la facilité. Il a pensé que le seul moyen pour se tirer de sa situation est de mendier, mais pas de n’importe quelle manière. Profitant de son physique avantageux et sa belle carrure, ce jeune homme rusé pense à une stratégie pour soutirer de l’argent aux gens sans tendre la main. "Je ne voyais pas une autre issue à ma situation. À chaque fois que ma mère me grondait et m’insultait, c’était une blessure qui s’ouvrait. Chaque jour, je me réveillais sur le même discours. Il faut que tu travailles et que tu ramènes de l’argent. Je répondais : est-ce que tu veux que j’aille mendier ? Un jour, je me dis et pourquoi pas ? Je vais commencer à le faire. C’etait très difficile au départ. Je me suis entraîné face au miroir pendant quelques jours et je me suis lancé sans hésitation", déclare Abdelkader. En effet, son idée est bien étudiée. Il a pensé à tout, même aux accessoires. Il a acheté son costume et sa chemise de Souk El Ghezl à Rabat. Il est tout le temps bien rasé et bien coiffé. De
                      bladi .net
                      Dernière modification par djet 7, 20 mars 2009, 17h54.
                      Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                      Gödel

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                      • #56
                        dje7
                        Mais moi je n'ai pas di qu'il n'y avait pas de mendiant au Maroc

                        Dis moi t'as compté le nombre de mendiants dans les 2 pays ?

                        T'as du aller beaucoup de fois et dans plusieurs regions du Maroc
                        Waouh c'est bien merhba bik fil maghrib

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                        • #57
                          bourguignon

                          ROUMI > Pour critiquer l'Algerie il faudrait déjà y avoir vécu au moins une fois dans sa vie. Sans ça , difficile d'être objectif.
                          Je te retourne la remarque ya hbibi laaziz pour tes compatriotes qui critiquent le maroc juste pour le plaisir.

                          Commentaire


                          • #58
                            Franchement vous êtes des idiots. Pendant que des enfants souffrent de ce système maffieux qui enrichit les plus riches et appauvris les plus pauvres, que l'on trouve dans un bon nombre de pays du "tiers monde", vous trouvez moyen à ressortir vos vieilles querelles de nationalistes qui croient parler au nom de leur peuple. Allez y passer quelques jours dans ces zones où chaque jour on est exposé à un risque et on verra si vous oserez dire "dans mon pays il y'en a moins que dans le tiens", vous direz "de ma situation tout à fait aisée, le *** bien au chaud, je ne m'imaginais pas que l'Homme pouvait encore subir pareille humiliation."

                            Commentaire


                            • #59
                              Je te retourne la remarque ya hbibi laaziz pour tes compatriotes qui critiquent le maroc juste pour le plaisir
                              ton pseudo reflete bien ta personnalite

                              Commentaire


                              • #60
                                Franchement vous êtes des idiots. Pendant que des enfants souffrent de ce système maffieux qui enrichit les plus riches et appauvris les plus pauvres

                                je crois que tu n'as pas vraiment compris...grand nombre de marocains qui fréquente ce forum fait partie de cette "classe", ecoutes-les parler de leurs revenus, de leurs vehicules, des servantes qu'ils emploient... ils n'iraient jamais taper sur leurs pairs.
                                Rabhine n'katlokoum, wo Rhassrine n'katlokoum... Tahia JSD !!! même si souvent, elle deconne vraiment!!! enfin tout le temps même...

                                Commentaire

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