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En raison de sa tenue vestimentaire:Une jeune étudiante menacée d’exclusion

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  • #16
    je suis d'avis qu'on interdise les kamis savates dans la fonction publique, des agents de l'etat en kamis est chose inconcevable , qu'on les interdise dans les amphi , les lyces pkoi pas si l'etat sent la force de le faire , mais en meme temps il faut interdir aussi el 3ra , venir en classe avec le nombril en l'air et les sous vetements apparents c plus que nauseabond , les filles portant tchador et jilbab de part leur choix s'excluent d'office de certaines activités , mais celà ne me generai pas qu'elle accedent a l'université ..
    en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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    • #17
      je suis d'avis qu'on interdise les kamis savates dans la fonction publique, des agents de l'etat en kamis est chose inconcevable
      Théoriquement dans les ministères, le port du costume est imposé aux hommes.
      Pour des raisons culturelles, l'université a une législation spécifique dont on peut entrevoir les contours à travers le concept de franchise universitaire. Pour des raisons d'identification le tchador devrait effectivement être interdit dans ces lieux (peut-être est-ce déjà le cas ?)
      Dernière modification par Dandy, 06 juin 2009, 11h08.

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      • #18
        N.. bark !!!

        j'ai fait 4 ans d'études en sciences de gestion où on devait partager le campus avec des étudiants de chari3a (sciences islamiques), deux mondes complètement différents, d'un coté des tchadors et des kamis, de l'autre coté des mini-jupes et des jeans troués, on se croisait quotidiennement dans les couloirs, au Résto U, dans les arrêts de Cous, ou à la gare, y a jamais eu d'altercations, ni des "a3oudou billah", alors pitié pour les gens qui sont toujours préts à debiter des tonnes d'analyses et tirer des conclusions hatives en se basant sur des articles de presse bidons, cessez de nous raconter notre Algérie qu'on vis tous les jours à votre maniere, on vous lisant on se croirais à kaboul, et rassurez vous, les islamistes ou les extremistes, appelez les comme vous le voulez, demeurent toujours minoritaires dans ce pays et ne causent pas plus de problemes que ces jeunes désoeuvrés, accros au psychotropes, qui n'hesitent pas une seconde à vous poignarder pour un téléphone portable c'est ça le probleme de l'Algérie de 2009...
        from the cradle to the grave.

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        • #19
          Paniquez pas, ce sont les deux extrémistes qui s'affrontent, moi ça me fait marrer.
          Les moralisateurs en herbe me rabâchent à longueur de journée que la petite culotte nous envahit chaque jour beaucoup plus dans les rues et ruelles d'Alger et d'Oran et les ceux qui se sont trompés de peuple de ces histoires insérées ci-haut à dormir debout.

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          • #20
            J'ai fais mes études supérieur aussi à Alger, et j'ai compris pourquoi le voile, la barbe et toutes ces futilités sont interdites.

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            • #21
              J'ai fais mes études supérieur aussi à Alger, et j'ai compris pourquoi le voile, la barbe et toutes ces futilités sont interdites.
              1- Le voile et la barbe ne sont pas interdits dans les universités.
              2- Pourquoi devraient-ils l'être selon toi ?

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              • #22
                A l'école où j'ai fais mes études, les filles ne sont pas autorisées à mettre leurs voiles, et même s'elles sont voilées, elles sont priées à l'enlever durant la formation : c'est à dire tout les jours de la semaine, sinon ==> conseil de discipline et exclusion.

                Pour les barbes, aucun commentaire, laisser une barbichette peut être une justification non-discutable sur ton exclusion bien sûr après avoir passer par un conseil de discipline.


                Ces lois , et ces régles ont été instaurées parce qu'on a payé une facture cher , qui a couté 200 000 âmes

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                • #23
                  Tot le monde a fait l'université en Algérie, et ni le voile ni la mini jupe n'ont été interdit..

                  Y avait même des gens avec kamis et chador..

                  Y en a toujours, on les voit tous les jours..

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                  • #24
                    bizarre !!!

                    Salut à tous,

                    L'autorité administrative a -t-elle réagit au communiqué du journaliste de Liberté , comme son droit de réponse l'y autorise ? Bizarre...

                    Si les faits décriés s'avèrent vérifiés et vérifiables : c'est tout simplement scandaleux ! Si aujourd'hui dans ces temples du savoir et de l'instruction , des personnes pratiquent un tel prosélytisme en toute impunité, il y a un danger pour l'éducation de la jeunesse Algérienne. Coment voulez vous que des étudiants étrangers viennent poursuivre leur cursus et s'y épanouir au contact de leurs camarades universitaires Algériens et Algériennes ?

                    Quant à la sacro-sainte morale et pudeur soi disant algérienne : il faut arrêter de placarder des "effets de manche" qui ne sont que pudibonderies, et tartufferies ...qui ne vont plus ni rêver ou rire personne !

                    Tout comme les sociétés occidentales et orientales, la société Algérienne est pétrie de contreverses, de contradictions, de vices, de pratiques sexuelles débridées, avec les affres et les tourments que cela entraine dans la cellule familiale infra et extra muros ...Et tout cela est mis sus le boisseau : jamais nommé, non parler, non débattu ...et cela participe à rendre encore plus violente une société où la population se nourrit déjà de frustrations.
                    Je n'ose imaginer l'utilté de la sacro sainte pudeur ( un pansement sur une jambe de bois) lorsque la société Algérienne sera parvenue à un développement technologique, économique, culturelle et sociale suffisant pour améliorer les conditions de vie de ses concitoyennes et concitoyennes. L'épanouissement de la population recherché forcément à ce moment précis prendra l'aspect d' une lame de fond qui jettera aux orties les détritus constitués par ce genre de pratique.
                    J'espère simplement que d'ici là d'autres victimes expiatoires n'auront pas la douleureuse expérience de payer dans leur dignité et/ou de leurs vies pour que les bas instincts de ces êtres frustrés et malfaisants soient momentannément assouvies.

                    Donc vigilance toujours et encore , eu égard aux événements passés.

                    Pas de Religion d'Etat.

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                    • #25
                      A l'école où j'ai fais mes études, les filles ne sont pas autorisées à mettre leurs voiles, et même s'elles sont voilées, elles sont priées à l'enlever durant la formation : c'est à dire tout les jours de la semaine, sinon ==> conseil de discipline et exclusion.
                      Pour les barbes, aucun commentaire, laisser une barbichette peut être une justification non-discutable sur ton exclusion bien sûr après avoir passer par un conseil de discipline.
                      A part les écoles militaires, il n'existe pas à ma connaissance d'établissement imposant des restrictions de ce type.

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                      • #26
                        Sincèrement, je me suis toujours demandé comment on pouvait vivre dans ces pays musulmans où toutes les femmes sont noir vêtues/cachées derrière leur voile ou leur burka/tchador et qui sortent qu'en compagnie d'un homme.


                        Ça doit sacrément être étouffant/frustrant quand on sait que pour un mec qui vit en Occident, la femme fait partie des joies de vivre. Et pas seulement sur le plan sexuel mais également sur le plan humain.


                        Quoi de plus beau que le doux parfum d'une femme, dont le printemps fait rétrécir les vêtements. Perso, je pourrais passer des heures et des heures assis sur un banc à contempler les femmes passer

                        Mais même en dehors du côté "chimicobiologique" qui attrait aux rapports homme/femme, j'ai toujours mal ressenti cet apartheid des deux sexes.


                        Moi, qui suis parfois entouré que d'amies femmes, je plains sincèrement ces algériens contraints forcés socialement parlant de n'avoir de compagnie que des hommes.

                        Ceci d'autant plus quand on sait que le kamis et le tchador n'encouragent vraiment pas à beauté physique.


                        Je pense que le flirt et la séduction sont quelque chose de naturel qu'il faut non pas encourager mais tolérer, sans quoi on fini par avoir une société de frustrés sexuels contreproductive puisque déviant naturellement l'homme frustré vers des pratiques homosexuelles.


                        D'ailleurs, la société algérienne est une société de frustrés sexuels qui finira par exploser en révolte genre mai 68...
                        Dernière modification par hydre, 06 juin 2009, 12h01.

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                        • #27
                          bizarre !!!

                          Salut à tous,

                          L'autorité administrative a -t-elle réagit au communiqué du journaliste de Liberté , comme son droit de réponse l'y autorise ? Bizarre...

                          Si les faits décriés s'avèrent vérifiés et vérifiables : c'est tout simplement scandaleux ! Si aujourd'hui dans ces temples du savoir et de l'instruction , des personnes pratiquent un tel prosélytisme en toute impunité, il y a un danger pour l'éducation de la jeunesse Algérienne. Coment voulez vous que des étudiants étrangers viennent poursuivre leur cursus et s'y épanouir au contact de leurs camarades universitaires Algériens et Algériennes ?

                          C'est de l'ordre de la Responsabilité Politique ! Que fait le Ministre d'Etat de l'Education Nationale ?

                          Quant à la sacro-sainte morale et pudeur soi disant Algérienne : il faut arrêter de placarder des "effets de manche" qui ne sont que pudibonderies, et tartufferies ...qui ne vont plus ni rêver ou rire personne !

                          Tout comme les sociétés occidentales et orientales, la société Algérienne est pétrie et traversée de contreverses, de contradictions, de vices, de pratiques sexuelles débridées, avec les affres et les tourments que cela entraine dans la cellule familiale intra et extra muros ...Et tout cela est mis sus le boisseau : jamais nommé, non parler, non débattu ...et cela participe à rendre encore plus violente une société où la population se nourrit déjà de frustrations.
                          Je n'ose imaginer l'utilté de la sacro sainte pudeur ( un pansement sur une jambe de bois) lorsque la société Algérienne sera parvenue à un développement technologique, économique, culturelle et sociale suffisant pour améliorer les conditions de vie de ses concitoyennes et concitoyennes. L'épanouissement de la population recherché forcément à ce moment précis prendra l'aspect d' une lame de fond qui jettera aux orties les détritus constitués par ce genre de pratique.
                          J'espère simplement que d'ici là d'autres victimes expiatoires n'auront pas la douleureuse expérience de payer dans leur dignité et/ou de leurs vies afin que les bas instincts de ces êtres frustrés et malfaisants soient momentannément assouvies.

                          Donc vigilance toujours et encore , eu égard aux événements passés.

                          Pas de Religion d'Etat.

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                          • #28
                            Interdire est aussi un extreme à mon avis. même si je ne suis ni fan de la barbe ni du Djelbabe.

                            Toute personne est libre de s'habiller comme elle le veut (même le nombril à l'air). Si quelu'un veut laisser pousser sa barbe et mettre un tchador, alors pourquoi pas. le tout est de ne pas Olbliger l'autre de se conformer à ces idées ou Dogme. c'est ce que je reproche le plus aux barbus. Pour certains d'entre eux, si tu n'es pas comme moi tu es contre moi.

                            Accepter l'autre comme il est aussi une affirmation de soit.

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                            • #29
                              article bidon, mensonger et "enfantin"


                              on est a la fin de l'année universitaire!!

                              ce n'est pas la premiere rencontre avec l"autre" (puisque vous voulez qu'il y'ait un autre) ni les enseigants avec les etudiants ni les etudiants avec leurs habits!!

                              ça doit etre la periode des examens..et comme on lui a demandé de changer de place une premiere fois....je suppose qu'elle a ete prise en flgrant delit de fraude..c'est la seule explication puisqu'on est en fin d'année

                              la decision a ete prise par l'etablissement de l'exclure (et c'est pas tout les jours qu'une université prend une decision d'une telle gravité)

                              mais comme meme croire qu'un recteur de l'université?? (le journaliste le nomme chef de l'etablissement???or je pense qu'il y'a des titres al'université)

                              dise "et sans aucune forme de procès : “H… a tout à fait raison, tu dois porter la tenue musulmane. Je vais te passer en conseil de discipline et t’exclure !”
                              est digne d'un conte que raconterai une grand mere ason petit fils avant de dormir

                              mais bon cela a permis a certains de vomir leur haine...

                              qui ne tolere pas qui??
                              « Puis-je rendre ma vie
                              Semblable à une flûte de roseau
                              Simple et droite
                              Et toute remplie de musique »

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                              • #30
                                1./ Selon l’article, il y a eu altercation parce que l’étudiante a refusé, au cours d’un examen, de changer de place comme le lui demandait la surveillante. Que celle-ci ait été en djilbab ou en bikini, ne change rien au fond du problème : l’étudiante n’avait absolument pas le droit de contester ce que lui a demandé la surveillante. Elle devait changer de place, un point et c’est tout. Cette contestation est devenue faute grave quand elle a été suivie d’une altercation. A partir de là, il n’est pas du tout anormal que l’attitude de l’étudiante soit suivie de mesures disciplinaire à son encontre.
                                Tout le reste, selon l’article même, a découlé du refus de l’étudiante à changer de place et non pas de remarques sur sa tenue vestimentaire.

                                2./ Quoi qu’il en soit, l’attitude de l’étudiante n’excuse nullement les propos de la surveillante et la position de l’administration quant à sa tenue vestimentaire. Si les propos de la surveillante, du prof et du chef de l’établissement (??) sont vérifiés (et surtout reconnus, ce qui est une autre paire de manches), la tutelle doit absolument réagir.
                                Benbouzid, avec tout ce qu’on peut lui reprocher, est déjà monté au créneau pour défendre la mixité dans les écoles, allant jusqu’à s’élever publiquement contre la séparation filles/garçons dans les salles de classe.

                                3./ Par ailleurs, il est vrai que Al-Wi-am Al-Madani et Al-Mousalaha Al-Watanya ont redonné, dans la société, du poil de bête à l’intégrisme islamiste ordinaire et moralisateur. Le retour au bercail des "égarés", officiellement "repentis" mais réellement aguerris, a redonné à la Daâwa agressive un nouveau souffle. Ainsi, les prêches contre "Tabarroudj", pour un "Houkm Islami", pour une "moralisation" à la Taliban de la vie sociale, enfin tout ce qui a fait le "succès" de l’islamisme obscurantiste et assassin des années 1980/90, refait surface et s’amplifie de jour en jour. On peut toutefois constater que la société, meurtrie par les agissements des intégristes, est de moins en moins perméable à leur discours et de moins en moins passive face à leur agressivité verbale et comportementale.


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