menara dit :
Mort de rire l'Algérie protége le Maroc contraitre les terroriste je vous jure ici j'aurai tout entendus, comment l'Algérie protége le Maroc du terrorisme ? Elle le fait comme en 1994 avec l'attentat de l'hôtel Hasni, ou comme en 1993 quand Nezzar et partie récupérer un terroriste algérien qui n'était autres qu'un officiel algérien sensé planter au Maroc les graine du terrorisme
Mort de rire l'Algérie protége le Maroc contraitre les terroriste je vous jure ici j'aurai tout entendus, comment l'Algérie protége le Maroc du terrorisme ? Elle le fait comme en 1994 avec l'attentat de l'hôtel Hasni, ou comme en 1993 quand Nezzar et partie récupérer un terroriste algérien qui n'était autres qu'un officiel algérien sensé planter au Maroc les graine du terrorisme
L'algérie a livré beaucoup de terroristes marocains arrétés.Ils sont les alliés du gspc.
Evidement ils ont été cuisinés à la "sauce marocaine".Cela a permis d'arrêter des groupes de terroristes prêt à passer à l'action.
Je considère que les services algériens ont fait une érreur.Peut être que ces terroristes ne sont que des agents subversifs ou au moins une partie d'eux.
C'est cela la naiveté de certains algériens.Ils croient au père nokhel m6.

A lire pour menara :
Coopération sécuritaire algéro-marocaine:
Un GSPC marocain démantelé de justesse
La coopération algéro-marocaine dans le domaine de la sécurité a permis de tuer dans l'oeuf, récemment, une macabre tentative de mise sur pied d'un groupe salafiste pour la prédication et le combat sur le sol marocain, par l'interpellation, en Algérie de six marocains qui se sont infiltrés clandestinement pour s'entrainer dans des camps militaires du GSPC.
Fruit d’une coopération sécuritaire en l’Algérie et le Maroc, les autorités du royaume voisin on démantelé une cellule terroriste dans la périphérie de la capitale Rabat, composée de 13 jeunes islamistes de 18 à 30 ans. Selon la justice marocaine, les prévenus ont un rapport avec les terroristes algériens du groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), selon des sources sécuritaires.
Cette cellule qui a été démantelée en juillet dernier, en vertu de la loi antiterroriste après que les autorités sécuritaires algériennes eurent remis à leurs homologues marocaines six personnes de nationalité marocaine arrêtées sur le sol algérien alors qu’elles recevaient un entraînement militaire dans les camps du GSPC.
Selon les mêmes sources, les premières investigations menées avec les six prévenus ont permis l’arrestation du reste de la cellule, au nombre de sept. Les membres de cette cellule étaient, selon les aveux des personnes arrêtées, s’adonnaient au racket des citoyens sans défense et dont ils considéraient leurs biens spoliées comme « butin de guerre ».
Selon toujours les mêmes aveux, les terroristes arrêtés s’apprêtaient à perpétrer des actions visant à troubler l’ordre public a Maroc avec le soutien du GSPC.
Selon le communiqué publié hier par le parquet de Rabat, qui publie par ailleurs les noms des personnes arrêtées, ce sont les premiers éléments de ce groupe composé de 13 personnes qui ont été extradés d’Algérie. Le document précise que c’est sur la base des informations recueillies auprès des terroristes extradés que les autorités marocaines ont lancé leurs recherches ayant abouti à la découverte de la cellule terroriste en question.
Les spécialistes de la sécurité dans la région interprètent ce coup de filet marocain comme le résultat probant d’une coopération sécuritaire accrue en Afrique du Nord, notamment depuis l’attaque d’une caserne militaire au nord-est de la Mauritanie par des terroristes du GSPC algérien, soutenus par des mauritaniens recrutés sur place.
Les membres de cette cellule, dont le procès est prévu pour le mois de septembre, d’après le parquet de rabat, envisageraient de créer une organisation terroriste qu’ils voulaient appeler le groupe salafiste marocain pour la prédication et le combat, à l’instar du GSPC algérien.
Concernant le retard dans l’annonce de ce coup de filet, il serait imputable aux impératifs du bouclage de l’enquête des services de sécurité marocains depuis l’extradition des six marocains appréhendés dans les maquis du GSPC en Algérie. Les mis en cause encourent des peines de prison allant de 5 à 30 années.
Il va sans dire que cette coopération sécuritaire algéro-marocaine a provoqué un séisme chez la classe politique marocaine ainsi que chez les spécialistes des relations bilatérales entre les deux pays.
La classe politique et la presse marocaine qui continuent de voir ces relations sous le prisme du conflit du Sahara occidental, n’admettent pas que les relations puissent être détendues entre les deux pays, surtout qu'il s'agit d'une question de vie ou de mort pour les deux pays et la région maghrébine.
N.B :tu vois ça te bouche un coin ya fenara.Tu te trouves ridicule n'est-ce pas missiour bouzou.

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