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« De grandes gueules aux bras écourtés » : les « vérités » de Yasmina Khadra sur les

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  • #46
    Je n'ai jamais prétendu que Khadra était un nostalgique de l'Algérie française; je dis seulement qu'en tant que responsable du CCA, le ton de sa réponse est inapproprié et choque par sa violence...En tant qu'écrivain, il aurait pu; mais en tant que haut-fonctionnaire, c'est très limite.
    oui, je suis d'accord avec toi. Il m'a déçu ce coup ci...Pour la raison que tu invoques et pour défendre un Camus militant de l'Algérie française.

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    • #47
      Pour la raison que tu invoques et pour défendre un Camus militant de l'Algérie française.
      Bachi, défend-il les thèses de Camus ou le débat sur et autour de lui?

      Je cite Khadra:
      « Les motivations qui m’ont amené à m’investir dans cette démarche sont simples : proposer aux Algériens, notamment à nos étudiants, un débat intelligent sur un grand écrivain, né en Algérie, adulé par les uns et vilipendé par les autres, prix Nobel de littérature. Notre pays tente timidement de renouer avec la chose intellectuelle. J’essaie de contribuer à ce sursaut sans lequel la médiocrité et l’ignorance squatteraient notre esprit. »

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      • #48
        Bachi, défend-il les thèses de Camus ou le débat sur et autour de lui?
        Selon moi, il défend Camus l'Algérien, c'est le thème de cette caravane.
        Je lui reproche pas d'aimer les talents de Camus l'écrivain...

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        • #49
          On peut difficilement demander a l'ecrivain et a l'homme qu'il est de changer parcequ'il est devenu fonctionnaire.
          Lorsqu'il a ete a dans ce poste il fallait s'y attendre.
          Je suis d'accord qu'il aurait du faire preuve de plus de retenu etant donne sa fonction.
          Biensur il n'insulte pas Les algeriens mais une certaine categorie.

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          • #50
            Salut Bachi,

            Qui sont ces détracteurs de Khadra dont tu parles? Dans la lettre qui circule, on s'en prend plutôt aux instittutions.
            ¬((P(A)1)¬A)

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            • #51
              je suis rassurée, propos sortis de leur contexte encore une fois.

              Merci Bachi
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #52
                Salut Bachi,

                Qui sont ces détracteurs de Khadra dont tu parles? Dans la lettre qui circule, on s'en prend plutôt aux instittutions

                J'ai cherché en vain la pétition qui circule et intitulée "Alerte aux consciences anticolonialistes" initiée par Mustapha Madi et Mohamed Bouhamidi. Cette pétitition, parait-il, est une très dure charge contre la caravane Camus et ceux qui la soutiennent.

                Ce qui explique la violence dans la réplique de Khadra qui le défend.

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                • #53
                  ça doit être celle-ci:
                  Face aux menées du lobby néocolonial autour de Camus
                  Alerte aux consciences anticolonialistes
                  Le Quotidien d’Oran, 01/03/2010

                  Le corps de Jeanson, le dernier de nos martyrs, n’a pas encore vraiment refroidi, que des institutions officielles algériennes rejoignent, dans une «émouvante communion» et un tapage médiatique sans précédent, la caravane célébrant l’écrivain et journaliste colonial Camus, militant avéré et définitif de l’Algérie française.
                  La caravane qui sillonne aujourd’hui l’Algérie, associant nos institutions à celle de l’État français, ne lui rend pas seulement un hommage qui envahit tout l’espace médiatique algérien, de la télévision aux titres privés et qui a été constamment refusé notamment à Francis Jeanson. Elle constitue aussi une réhabilitation du discours de l’Algérie française. Le lobby néocolonial en est à sa deuxième campagne. La première a eu lieu en 2004 et 2005 accompagnant et légitimant la mise en place de la loi française du 23 février 2005. La campagne d’aujourd’hui encouragée après l’absence de réactions en 2005 va plus loin : elle criminalise nos maquisards, délégitime leur combat et les compare à l’OAS réactivant l’ancienne appellation de terroristes pour nos combattants et faisant passer les crimes de l’armée coloniale, de l’usage du napalm et de la torture à la corvée de bois, pour une violence légitime et légale. La participation d’institutions officielles algériennes, les émissions télé et articles de la presse écrite dithyrambiques, l’accueil officiel, la décision de donner son nom à un édifice public et de lui ériger une stèle sera une première grande victoire de ce lobby néocolonial. Leur prochaine étape sera le centenaire de sa naissance en 2013. Avec la force de pénétration de ce lobby et ses capacités d’anticipation, il est clair que le manège commencera en 2012, année du cinquantenaire de notre indépendance. Ce lobby va submerger ce grand événement sous la fête camusienne avec comme message : o combien de malheurs vous auriez évité en restant sous tutelle française. A la base de cet hommage une immense mystification veut nous faire passer l’image d’un Camus sensible à cette terre et à notre peuple. Il n’est rien de tout cela. Sur le plan esthétique Camus était un écrivain colonial. Edward Saïd en a dressé le portrait, dévoilé la fonction idéologique : «Camus joue un rôle particulièrement important dans les sinistres sursauts colonialistes qui accompagnent l’enfantement douloureux de la décolonisation française du XXe siècle. C’est une figure impérialiste très tardive : non seulement il a survécu à l’apogée de l’empire, mais il survit comme auteur «universaliste », qui plonge ses racines dans un colonialisme à présent oublié.»
                  Pas si oublié que cela ! Oh, cher Edward Said. Sur le plan politique, il a été un militant de l’Algérie française. Dès 1937 et jusqu’en 1939, Camus n’a cessé d’appeler à des mesures de charité pour couper l’herbe sous les pieds des nationalistes avec point d’orgue sa couverture du procès de Messali Hadj en 1939. En 1945, il s’est tu. En 1952, en pleine guerre de libération du Vietnam, il publie un texte disqualifiant toute révolte par ses résultats supposés sur la négation des libertés. Il a, dès 1955, développé la contre offensive idéologique contre l’ALN, renvoyant la violence révolutionnaire légitime au même plan que la violence coloniale incessante et permanente. Il a réduit notre guerre à une entreprise inspirée et dirigée par Nasser, la ravalant à une manipulation. Il a, dès 1955, toujours, accusait nos amis français, en réalité Francis Janson pour son livre «L’Algérie hors la loi», de vouloir la démission de l’état c’est-à-dire en clair de trahir la France, accusation qui fut l’argument essentiel au procès de ce réseau en 1960. Pour cet homme la dignité de la dénomination d’algériens se réservait aux seuls pieds noirs pour lesquels il rêvait d’une «Algérie blanche» indépendante et toujours
                  française. Malgré la lutte armée déjà portée par notre peuple, il ne nous concède que la vague reconnaissance d’une vague «personnalité arabe» nous refusant l’égalité et l’unité des statuts.
                  Et enfin refusera de nous nommer autrement que par une incertaine notion d’«Arabes» nous parquant selon l’analyse de Fanon, dans un «autre compartiment» de l’humanité. Jusqu’à sa mort il défendra cette Algérie Française en nourrissant l’espoir à peine caché que se réalise une république blanche sur le modèle de compartimentage. L’Algérie officielle se rend-elle compte qu’en accueillant avec cette chaleur le chantre de l’Algérie française, elle ridiculise par avance son projet de loi criminalisant le colonialisme la vide de son sens et devient nul ? L’année 2010 devait être pour nous l’occasion de célébrer le 50ème anniversaire des indépendances des ex colonies françaises en Afrique ce lobby l’a transformé en célébration d’un militant convaincu de la colonisation ! L’année 2010 est également le cinquantenaire de la parution en 1960 du livre de Jeanson : Notre guerre, immédiatement saisi. Symbole des porteurs de valises, de l’engagement et de la commune destinée de tous les humains.
                  Cette alerte est un témoignage pour que nul ne dise qu’il ne savait pas ce qui se trame derrière l’immense entreprise de falsification de l’histoire, de mensonges, de mystifications. Car ce lobby ne continue pas seulement une guerre du passé mais construit la domination néocoloniale d’aujourd’hui. La preuve par le concret reste qu’à chaque émission sur Camus c’est le retour de l’Algérie française quand on nous chantait la séparation de l’art et de la politique ? Nous en appelons à la mobilisation de toutes les consciences anticolonialistes pour honorer le combat des justes.
                  ¬((P(A)1)¬A)

                  Commentaire


                  • #54
                    Sidi Noun

                    Ou celle là :

                    Face aux menées du lobby néocolonial autour de Camus
                    Alerte aux consciences anticolonialistes
                    Le corps de Jeanson, le dernier de nos martyrs, n’a pas encore vraiment refroidi, que des Institutions officielles algériennes rejoignent dans une « émouvante communion » et un tapage médiatique sans précédent la caravane célébrant l’écrivain et journaliste colonial Camus, militant avéré et définitif de l’Algérie française. La caravane qui sillonne aujourd’hui l’Algérie, associant nos institutions à celle de l’état français, ne lui rend pas seulement un hommage qui envahit tout l’espace médiatique algérien, de la télévision aux titres privés et qui a été constamment refusé notamment à Francis Jeanson. Elle constitue aussi une réhabilitation du discours de l’Algérie française.
                    Le lobby néocolonial en est à sa deuxième campagne.
                    La première a eu lieu en 2004 et 2005 accompagnant et légitimant la mise en place de la loi française du 23 février 2005.
                    La campagne d’aujourd’hui encouragée après l’absence de réactions en 2OO5 va plus loin : elle criminalise nos maquisards, délégitime leur combat et les compare à l’OAS réactivant l’ancienne appellation de terroristes pour nos combattants et faisant passer les crimes de l’armée coloniale, de l’usage du napalm et de la torture à la corvée de bois, pour une violence légitime et légale.
                    La participation d’institutions officielles algériennes, les émissions télé et articles de la presse écrite dithyrambiques, l’accueil officiel, la décision de donner son nom à un édifice public et de lui ériger une stèle sera une première grande victoire de ce lobby néocolonial.
                    Leur prochaine étape sera le centenaire de sa naissance en 2013. Avec la force de pénétration de ce lobby et ses capacités d’anticipation, il est clair que le manège commencera en 2012, année du cinquantenaire de notre indépendance.
                    Ce lobby va submerger ce grand événement sous la fête camusienne avec comme message : o combien de malheurs vous auriez évité en restant sous tutelle française.
                    A la base de cet hommage une immense mystification veut nous faire passer l’image d’un Camus sensible à cette terre et à notre peuple. Il n’est rien de tout cela.
                    Sur le plan esthétique Camus était un écrivain colonial Edward Saïd en a dressé le portrait dévoilé la fonction idéologique :
                    « Camus joue un rôle particulièrement important dans les sinistres sursauts colonialistes qui accompagnent l’enfantement douloureux de la décolonisation française du XXe siècle. C’est une figure impérialiste très tardive : non seulement il a survécu à l’apogée de l’empire, mais il survit comme auteur « universaliste », qui plonge ses racines dans un colonialisme à présent oublié. »
                    Pas si oublié que cela ! Oh, cher Edward Said.
                    Sur le plan politique, il a été un militant de l’Algérie française.
                    Dès 1937 et jusqu’en 1939, Camus n’a cessé d’appeler à des mesures de charité pour couper l’herbe sous les pieds des nationalistes avec point d’orgue sa couverture du procès de Messali Hadj en 1939. En 1945, il s’est tu. En 1952, en pleine guerre de libération du Vietnam, il publie un texte disqualifiant toute révolte par ses résultats supposés sur la négation des libertés. Il a, dès 1955, développé la contre offensive idéologique contre l’ALN, renvoyant la violence révolutionnaire légitime au même plan que la violence coloniale incessante et permanente. Il a réduit notre guerre à une entreprise inspirée et dirigée par Nasser, la ravalant à une manipulation. Il a, dès 1955, toujours, accusait nos amis français, en réalité Francis Janson pour son livre « L’Algérie hors la loi », de vouloir la démission de l’état c'est-à-dire en clair de trahir la France, accusation qui fut l’argument essentiel au procès de ce réseau en 1960. Pour cet homme la dignité de la dénomination d’algériens se réservait aux seuls pieds noirs pour lesquels il rêvait d’une « Algérie blanche » indépendante et toujours française. Malgré la lutte armée déjà portée par notre peuple, il ne nous concède que la vague reconnaissance d’une vague « personnalité arabe » nous refusant l’égalité et l’unité des statuts.. Et enfin refusera de nous nommer autrement que par une incertaine notion d’« Arabes » nous parquant selon l’analyse de Fanon, dans un « autre compartiment » de l’humanité. Jusqu’à sa mort il défendra cette Algérie Française en nourrissant l’espoir à peine caché que se réalise une république blanche sur le modèle de compartimentage.
                    L’Algérie officielle se rend-elle compte qu’en accueillant avec cette chaleur le chantre de l’Algérie française, elle ridiculise par avance son projet de loi criminalisant le colonialisme la vide de son sens et devient nul ?
                    L’année 2010 devait être pour nous l’occasion de célébrer le 50ème anniversaire des indépendances des ex colonies françaises en Afrique ce lobby l’a transformé en célébration d’un militant convaincu de la colonisation !
                    L’année 2010 est également le cinquantenaire de la parution en 1960 du livre de Jeanson : Notre guerre, immédiatement saisi. Symbole des porteurs de valises, de l’engagement et de la commune destinée de tous les humains.
                    Cette alerte est un témoignage pour que nul ne dise qu’il ne savait pas ce qui se trame derrière l’immense entreprise de falsification de l’histoire, de mensonges, de mystifications. Car ce lobby ne continue pas seulement une guerre du passé mais construit la domination néocoloniale d’aujourd’hui. La preuve par le concret reste qu’à chaque émission sur Camus c’est le retour de l’Algérie française quand on nous chantait la séparation de l’art et de la politique ?
                    Nous en appelons à la mobilisation de toutes les consciences anticolonialistes pour honorer le combat des justes.
                    Premiers signataires :
                    Maitre Ali Haroune -Samia Zennadi éditrice _ Mustapha Madi universitaire _ Mokhtar Chaalal écrivain _Abdou.B,jouranliste et consultant- Bouzid Harzellah poète et journaliste _ Amar Belhimeur, universitaire et chroniqueur - Hassen Bachir Cherif directeur « La Tribune » _ Mohamed Bouhamidi philosophe et chroniqueur _Ahmed Halfaoui journaliste et consultant_ Abdelkrim Hammada Journaliste _ Aberrahmane Zakkad écrivain_ Yasmina Chaalal, retraitée-Zine El Abidine Artebas, Directeur entreprise-Amel Artebas, cadre commercial-Djamel Lahmar, cadre entreprise-Assia Lahmar, femme au foyer-Ouaret Fayçal, architecte et écrivain-Bourboune Fateh, écrivain-Chafik Ahmim universitaire- Mohammed Elkorso historien(Ass.8 mai 45) -Aziz Boubakir universitaire et chroniqueur -Ahmed hamdi,-doyen de faculté-Ahmed Menour ,professeur et critique littéraire-Habib sayah Romancier –abdelkerim ouzeghla journaliste et ecrivain-Kérouani Fatah, architecte, fils du Chahid Mohamed Kérouani.Mezaache Khaled, cadre CNASAT.Saadna Mustapha, Entrepreneur en retraite.Saadna H'lima, retraitée des services hospitaliers.Mezaache Amel, enseignante.Samai Abderahmane, chef d'entreprise.Latri Abdelhamid, pharmacien.Messahal Nourdine, universitaire.Bousbaa Abdelhakim, -médecin.Zineb Derbal, ex. cadre au cca(Paris)-Mezaache Yacine, cadre commercial.Reggad Azzouz, commercial . Ammar Hamma,, Cadre supérieur de l’état en retraite-Abdelkrim Ghezali Directeur de la rédaction La Tribune-Soumia Salhi Militante syndicaliste et féministe-Abdelnasser Chiker ingénieur et archéologue_Naitbarek Chabane journaliste-Mahmoud Rechidi, Juriste-Fatah Agrane - AIDALI HAMU-Rabah Moulla (Ancien journaliste Alger Rép)-Yassine Temlali Journaliste-Yahia Yahiaoui- Retraité
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #55
                      Nous en appelons à la mobilisation de toutes les consciences anticolonialistes pour honorer le combat des justes.
                      Pour moi, c'est une mentalité de colonisables!
                      L'Algérie a chérement payé son indépendance, elle est libre et souveraine, le reste n'est que mentalité pourrie qui essaie de tenir notre histoire en otage et d'en faire un fond de commerce!

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                      • #56
                        Soumia Salhi Militante syndicaliste et féministe
                        On retrouve encore une fois Soumia Salhi d'El Watan. Khadra va se faire un plaisir de réponde à celle qui soutient l'UNFA. "grandes gueules aux bras écourtés va effectivement parfaitement avec les personnages. C'est d'ailleurs drôle que Soumia Salhi éprouve le besoin de toujours signer qu'elle est militante et féministe car si elle ne l'écrivait pas, on ne le saurait pas.



                        « Des êtres forgés dans la suspicion chimérique, de grandes gueules aux bras écourtés, fainéants impénitents, terrés au fond des nullités et des absences insalubres, sordides jusque dans leurs «nobles» pensées. Les a-t-on jamais vus se rassembler autour d’un idéal probant? Les a-t-on jamais vus honorer un héros, un chantre ou bien un martyr? Ils sont là, les doigts dans le nez, à ne rien fiche de la journée, et dès qu’il y a l’ébauche d’une initiative, ils s’extirpent de leur sommeil post-digestif pour ruer dans les brancards », poursuit l’écrivain.
                        Ca c'est bien vrai et correspond parfaitement à certains qui l'attaquent. Des rapaces à l'affut de postes et d'argent facile qui sont toujours les premiers à critiquer toutes initiatives.
                        Dernière modification par zwina, 08 mars 2010, 21h38.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #57
                          La caravane qui sillonne aujourd’hui l’Algérie, associant nos institutions à celle de l’État français, ne lui rend pas seulement un hommage qui envahit tout l’espace médiatique algérien, de la télévision aux titres privés et qui a été constamment refusé notamment à Francis Jeanson.
                          Oui, Sidi, ca doit etre celle-là...

                          Une des institutions visées par la pétition est le CCA dirigé par Khadra...
                          Donc Khadra attaque à son tour tout ce beau monde de signataires.

                          Perso, je trouve qu'il y va trop fort...

                          Commentaire


                          • #58
                            Perso, je trouve qu'il y va trop fort...
                            Bachi, etre decu ou trouver que l'ecrivain y va trop fort est un avis personnel, (et tu fais bien de le mentionner). Mais le coeur du sujet est : est-ce qu'il a raison ou tort. Et la ce n'est qu'avec des contre-arguments qu'on peut refuter ce qu'il dit. Pas d'argumentation equivaut a confirmation. Je suivrais cette discussion pour voir si une contre argumentation serieuse se fait. Sinon tout porterait a croire que Khadra a totalement raison... Ce qui confirmerait pas mal de choses...
                            Dernière modification par ayoub7, 08 mars 2010, 21h38.

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                            • #59
                              Bachi

                              Il répond bien car la place au CCA attire bien des convoitises....
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                              • #60
                                Envoyé par Zwina
                                On retrouve encore une fois Soumia Salhi d'El Watan. Khadra va se faire un plaisir de réponde à celle qui soutient l'UNFA. "grandes gueules aux bras écourtés va effectivement parfaitement avec les personnages.
                                vous connaissez tous les signataires pour les insulter ainsi?
                                ¬((P(A)1)¬A)

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