Interpellation de Belhadj Ali

[ernestito]

@ normal;
reponds a sa question, montre nous une vidéo ou il dénonce le terrorisme, une seule, toi qui à l'habitude de le yutubé

[galem99]

Il le dénonce jours et nuits !! Tu ne l'as jamais entendu? il ajoute toujours qu'ils dénonce le terrorisme des deux cotes. Ce qui ne plaît pas aux vampires de l'algerie

quand ? une preuve stp ?

[mob_dz]

« Tuer les mécréants se trouve dans le coran. Belhaj ne l'a pas invente ».

Par quel bout prendre la chose ?

Accepter de discuter de l’intérieur du dogme ? Et là la question devient celle de l’érudition, de la capacité à interpréter les percepts de la religion.

Dénier à un intervenant dans le champ politique de se prévaloir d’une quelconque légitimation religieuse ; se refuser à toute dérive qui déplacerait le débat de son lieu naturel, qu’est le champ politique, vers le champ théologique ; et là vous apparaissez comme un islamophobe, ou pour le moins vous voilà sommé d’abdiquer l’inviolabilité de votre conscience…

Faisons court !

Si l’islam, conçoit comme légitime sa vision conquérante et belliciste, et n’entend de « paix » qu’en ses demeures ; alors il faudrait qu’il souffre que les « autres » croisés et dimi, usent du même bellicisme à son égard.
Il faut comprendre, que les visions extrêmes d’un camp alimentent leurs pareilles dans les autres camps.

[normal]

Bien que ses videos sans partout sur youtube. Je vous trouver une.
Et si je vous la montre arretez-vous de le blamer de la tragédie algerienne?

[galem99]

normal
es tu algerien?

[normal]

gallem99 oui je suis algerien.

[rodmaroc]

gallem99 oui je suis algerien.

gallem est le dépositaire des valeurs algéristes...tu vas t'y habituer normal.

[shadok]

@normal

Ali Benhadj est le premier responsable de l’écoulement du sang des algériens. En 1991, avant qu’il soit arrêté, il a publié une fetwa dans le journal El-Monquid du FIS dans lequel il demandait aux forces de l’ordre de désobéir. Il leur disait s’il y a de bons musulmans au sein de la gendarmerie et de la police, il faut qu’ils quittent leurs corps car si demain nous tuons quelqu’un par erreur, il sera jugé le jour du jugement dernier d’après son intention « Youhchar hassba niyatihi ». Il s’est référé à une fetwa d’Ibn Taymia sur les Tatars. C’est comme ca que les tueries de policiers, gendarmes et militaires ont commencé. Puis les attenats à la bombe sur les civils. Plusieurs terroristes arrêtés, dans les années 90, disaient qu’ils se référaient à la Fetwa de Ali Benhadj.

Ali Benhadj doit répondre devant dieu de la mort de milliers d'algériens.

[galem99]

gallem99 oui je suis algerien

marhba bik mon frere
le fis ou plutot les chefs de fis ont fais des grosse betises , on ne peut pas refaire l hstoire , tout est clair .

[absente]

Az-Zouaoui

Comme disait notre prophète (salla alalhou 3alayhi wa sallam) : Le pouvoir ne se donne pas à celui qui le demande! ( إنا لا نولي أمرنا هذا من طلبه)

il suffis juste de dire je suis prophète et le pouvoir vient tout seul

[andromed]

Ali Benhadj doit répondre devant dieu de la mort de milliers d'algériens.Qu'il reponde deja devant le peuple,dieu attendra

[Az-Zouaoui]

il suffis juste de dire je suis prophète et le pouvoir vient tout seul

Tu n'as qu'à essayer...
Un M3ascri avait tenté sa chance il y a un an mais il s'est retrouvé au commissariat pour une nuit au chaud!

[shadok]

@andromed

Il aurait dû être jugé perpete ou à la peine capitale. 12 ans ce n'est pas suffisant pour lui. Ali Benhadj est un danger public.

[galem99]

Mais les betises du pouvoir etaient pire et plus grave

malheureusement , l existence de certains amoureux de belhaj donne plus de force a ce pauvoir (metanhine mssaken ).

[mob_dz]

la violence avant l'arrêt du processus électoral

17 morts dans un nouvel accrochage L'armée algérienne a anéanti le commando islamiste responsable d'une attaque dans le Sud

Article paru dans l'édition du Monde du 11.12.91

Le démantelement du groupe islamiste qui, le 28 novembre dernier, a attaqué le poste frontière de Guemar, dans la wilaya d'El Oued, après avoir assassiné trois gendarmes et volé une cinquantaine d'armes, semble consommé. Lundi 9 décembre, dans l'après-midi, l'armée et la gendarmerie se sont violemment affrontées aux derniers fugitifs, au sud-est de Biskra. Treize islamistes et quatre militaires ont trouvé la mort dans cet accrochage.

Depuis le début des événements de Guemar, vingt-cinq islamistes ont été tués dans de véritables batailles avec l'armée lancée à leur poursuite. Une centaine d'arrestations ont été opérées, la plupart d'entre elles frappant des militants islamistes réputés avoir aidé les fugitifs sans, pour autant, avoir participé à l'attaque proprement dite. Les forces de l'ordre assurent que la quasi-totalité des armes volées lors de l'attaque de Guemar ont été récupérées.

D'après les premiers témoignages des islamistes arrêtés, leur groupe comportait une quarantaine de personnes. Plusieurs, parmi eux, avaient fait la guerre en Afghanistan, aux côtés des maquisards islamistes. Preuve de leur détermination, la majorité des assaillants de Guemar, bien qu'encerclés par un dispositif serré, ont préféré se battre jusqu'au bout plutôt que de se rendre. La détermination n'était pas moins grande du côté de l'armée, bien décidée à ne pas laisser s'échapper des hommes qui, si l'on en croit les images montrées, dimanche, à la télévision, se sont acharnés avec sauvagerie sur leurs victimes. Au cours des accrochages de ces derniers jours, au moins six militaires sont tombés, auxquels s'ajoutent les trois gendarmes du poste de Guemar.

Ce qu'il faut bien appeler un carnage produit déjà des retombées politiques. Dimanche, le général-major Khaled Nezzar, ministre de la défense, assurait que l'affaire n'avait, pour le moment, que des liens " indirects " avec le Front islamique du salut (FIS) _ la plupart des assaillants sont ou en ont été membres. Tout le monde, ici, a compris que le général s'exprimait par antiphrase et qu'il fallait s'attendre à des développements. Lundi, une source gouvernementale répétait que si des liens " directs " entre l'organisation islamistes et les assaillants étaient mis au jour, il faudrait bien envisager une dissolution du FIS, faute de quoi " l'opinion ne comprendrait pas notre faiblesse ".

Le FIS, pour sa part, paraît embarrassé. Les militants de base affirment que toute l'affaire a été montée par les services spéciaux pour discréditer le courant islamiste. A la direction du FIS, déjà divisée sur l'opportunité de la participation aux prochaines élections, l'assaut de Guemar est, en revanche, le prétexte à de nouveaux affrontements. Les adversaires du boycottage, qui ont déjà fort à faire pour convaincre leurs pairs, utilisent l'affaire pour faire valoir qu'il s'agit d'un piège tendu par le gouvernement pour écarter des urnes une formation qui a de bonnes chances de gagner. " Si le FIS n'est pour rien dans cette affaire, qu'il la condamne ", déclarait, lundi, un ministre. Mais la formation islamiste, partagée entre des courants antagonistes, s'est bien gardée de le faire.

MARION GEORGES