Envoyé par Benam
C'est un paradoxe. Aujourd'hui, c'est pire qu'il y a 20 ans, quand l'Algérie subissait l'ajustement structurel du FMI. Ajoute à cela la bourse misérable qui n'atteint pas 50 DA/jour et qui laisse l'étudiant non aidé par sa famille complètement à la merci des oeuvres universitaires.
Je pensais à la situation d'avant le PAS.
C'est triste, tout de même, si la situation ne s'est pas améliorée malgré l'embellie financière. Mais bon, le plus important, c'est ce qu'on fait des cartes pas les cartes elles-même. Pas étonnant, vu la gestion des affaires de la cité.
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