@taghiti
non c'est faux c'est encore de la démagogie ce que tu dis ... le combat pour la reconnaissance de la dimension amazigh a été initié par des kabyles durant la crise berbériste de 1949 ... et tout les actes se sont déroulés en kabylie 1980, 1994, 1998, 2001 ... nul part ailleurs la revendication n'était aussi effective et importante et surtout populaire qu'en kabylie on est bien d'accord sur ça !!! ... et si tamazight en est la ou elle est aujourd'hui (enseignement, médias, nationalisation ...) et si les autres berbéres en profites (mozabites, touareg, chaoui chenoui ) c'est grâce aux kabyles ... ce n'est qu'un peu plus tardivement que des intellectuels et artistes chaoui commençaient a se faire entendre et s'est enfin dessiné un pôle revendicatif dans les aurès pour prendre la même forme que ce qui se faisait en kabylie (mais en moindre intensité) ... mais je ne le leur reproche pas ... les berbérophones des aurès n'ont pas d'agglomérations urbaines importantes avec des campus universitaires qui leur est acquise pour organiser des grandes manifestations de rues ... comme tizi ouzou béjaïa bouira pour les kabyles ... mais on sentait qu'ils voulaient faire quelque chose et on l'a vue en 2002 !!!
par contre dans le sud (mozabites et touareg) on dirait que ça ne les concerne pas ... ils ont très bien conservé leur langue dans "l’enceinte de leur ksour" certes mais sans plus ... ces populations ne sont pas conscientes de la nécessité de la reconnaissance officielle de leur langue
le vrai défi ce n'est pas de conserver sa langue parce qu'on est isolés de tout ou renfermés sur soi même comme les mozabites
non c'est faux.....c'est de la récupération á deux balles ce que tu dis, car le tamazight n'est pas une affaire exclusivement kayble,
par contre dans le sud (mozabites et touareg) on dirait que ça ne les concerne pas ... ils ont très bien conservé leur langue dans "l’enceinte de leur ksour" certes mais sans plus ... ces populations ne sont pas conscientes de la nécessité de la reconnaissance officielle de leur langue
le vrai défi ce n'est pas de conserver sa langue parce qu'on est isolés de tout ou renfermés sur soi même comme les mozabites
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