Cette jeune fille, âgée de 24 ans, dénommée S. S., est originaire de Zéralda, ville algéroise distante de 6 kilomètres de Koléa.
La semaine dernière, cette jeune fille se trouvait en voyage dans la ville de Koléa et devait retourner chez elle dans la soirée. Elle était là, au niveau de la gare routière de Koléa, dans l’attente d’un bus vers Zéralda. Il commence à faire sombre. La jeune fille panique et commence à interroger les personnes qui se trouvaient encore au niveau de la gare routière. Ce fut le dénommé R. F., âgé de 30 ans, un repris de justice, qui interpella la jeune fille pour lui offrir ses services.
Pour cela, il contacta, le dénommé T. A., 20 ans, possédant un véhicule de type Passat Wolksvagen, qui ne se fit pas prier pour «rendre service».
La victime, toute contente, que des gens l’aident pour être conduite à Zéralda, chez elle, se rendit compte au bout de quelques détours, que la voiture empruntait une piste sinueuse et se dirigeait vers une cabane sise, à la cité agricole de Berbessa, dans la commune de Chaïba, distante de 5 kilomètres de Koléa. Sitôt arrivée dans la cabane, la demoiselle fut l’objet d’innommables sévices, violences, abus sexuels et autres voies de fait.
Ils étaient huit personnes à la violer et à la photographier nue avec la menace de publier ses photos. Elle fut séquestrée et détenue durant près de 15 jours dans cette cabane.
A l’issue de cette période, la bande de malfaiteurs a décidé de conduire la victime vers les routes de la sortie de La Chiffa, dans une zone boisée de la wilaya de Médéa.
Toute meurtrie et ensanglantée, la victime en pleurs, se retrouve au bord de la route, avec des vêtements loqueteux et déchirés et des blessures saignantes sur tout le corps.
Des passants l’ont aidée et accompagnée auprès des services de sécurité de Koléa où elle a déposé plainte pour violence, agression et enlèvement. Les services de sécurité concernés de Koléa ont immédiatement localisé le véhicule ainsi que le reste de la bande de huit malfaiteurs, qui furent arrêtés et placés sous mandat de dépôt, pour les motifs d’enlèvement, séquestration, violence et abus avec détention forcée de plus de 15 jours.
Larbi Houari- Le Soir
La semaine dernière, cette jeune fille se trouvait en voyage dans la ville de Koléa et devait retourner chez elle dans la soirée. Elle était là, au niveau de la gare routière de Koléa, dans l’attente d’un bus vers Zéralda. Il commence à faire sombre. La jeune fille panique et commence à interroger les personnes qui se trouvaient encore au niveau de la gare routière. Ce fut le dénommé R. F., âgé de 30 ans, un repris de justice, qui interpella la jeune fille pour lui offrir ses services.
Pour cela, il contacta, le dénommé T. A., 20 ans, possédant un véhicule de type Passat Wolksvagen, qui ne se fit pas prier pour «rendre service».
La victime, toute contente, que des gens l’aident pour être conduite à Zéralda, chez elle, se rendit compte au bout de quelques détours, que la voiture empruntait une piste sinueuse et se dirigeait vers une cabane sise, à la cité agricole de Berbessa, dans la commune de Chaïba, distante de 5 kilomètres de Koléa. Sitôt arrivée dans la cabane, la demoiselle fut l’objet d’innommables sévices, violences, abus sexuels et autres voies de fait.
Ils étaient huit personnes à la violer et à la photographier nue avec la menace de publier ses photos. Elle fut séquestrée et détenue durant près de 15 jours dans cette cabane.
A l’issue de cette période, la bande de malfaiteurs a décidé de conduire la victime vers les routes de la sortie de La Chiffa, dans une zone boisée de la wilaya de Médéa.
Toute meurtrie et ensanglantée, la victime en pleurs, se retrouve au bord de la route, avec des vêtements loqueteux et déchirés et des blessures saignantes sur tout le corps.
Des passants l’ont aidée et accompagnée auprès des services de sécurité de Koléa où elle a déposé plainte pour violence, agression et enlèvement. Les services de sécurité concernés de Koléa ont immédiatement localisé le véhicule ainsi que le reste de la bande de huit malfaiteurs, qui furent arrêtés et placés sous mandat de dépôt, pour les motifs d’enlèvement, séquestration, violence et abus avec détention forcée de plus de 15 jours.
Larbi Houari- Le Soir
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