Le meeting tenu aujourd’hui en fin d’après-midi au niveau de la salle omnisport du Khroub par le candidat à la présidentielle Ali Benflis à Constantine s’est caractérisé par une grande présence non seulement des citoyens, mais aussi du staff dirigeant de l’APC du Khroub, conduite par le FFS.
Ainsi le P/APC du Khroub, le Pr Abdelhamid Aberkane a accompagné le candidat, tandis que ses proches collaborateurs ont encadré la rencontre, la première au niveau de cette ville depuis le lancement de la campagne électorale. Dans la salle, une présence significative des transfuges FFS a été constatée et parmi les invités figure l’ancien cadre du FFS, Abdeslam Ali-Rachedi.
Notons que le Pr Aberkane a été du côté d’Ali Benflis lors des présidentielles de 2003, raison pour laquelle a été écarté lui est sa femme, respectivement du son poste de ministre de la Santé et du poste de la présidente du conseil d’Etat.
Mais apparemment, le Pr Aberkane et même s’il a changé d’appartenance politique, son engagement avec Ali Benflis n’est pas à démontrer. Autre présence fort remarquée, celle des militants du FLN venus en force pour applaudir leur candidat, il s’agit notamment de l’équipe sortante de l’APW et de l’APC de Constantine représentée notamment par l’ex P/APW le Dr Boussouf et l’ex-P/APC, le Dr Chibane.
Quant au discours prononcé devant l’assistance, le candidat s’est longuement attardé sur les causes de la crise qui secoue notre pays en estimant qu’elle est « pluridisciplinaire » et que le volet sécuritaire « doit être traité à la base ». A cet effet, il expliquera qu’il était « de ceux qui ont mis préparé la loi sur la concorde civile et aujourd’hui mon programme prévoit d’aller au fond de la réconciliation nationale ».
« Je suis venu pour rendre les droits à leurs ayants et ouvrir une nouvelle ère pour une réelle réconciliation plus large », a-t-il ajouté avant de s’interroger « comment les choses peuvent-elles évoluer si l’Etat ne prenne pas ses responsabilités et ne reconnaisse pas ses erreurs ? comment prétend-on à une réconciliation, alors qu’il ya des personnes ne jouissant pas de leurs droits civiques et politiques ? ».
Interrompu à chaque fois par des applaudissements, Benflis demanda aux présents d’être patients pour qu’il puisse expliquer son idée qu’il divulguera pour la première fois depuis l’annonce de sa candidature à la présidentielle.
« Je m’engage devant Dieu et devant le peuple à trouver une solution définitive pour la crise sécuritaire nationale » a-t-il soutenu avant de poursuivre « je m’engage à lancer un dialogue national regroupant tous les acteurs, les partis politiques quelque soit leur tendance, la société civile sans aucune exclusion pour aboutir à une résolution consensuelle qui sera soumise à l’approbation du peuple par un référendum. C’est ainsi mon engagement pour résoudre la crise politique, le problème de la légitimité et de la démocratie en Algérie ».
Sur un autre registre, le candidat à la présidentielle du 17 avril a courtisé les voix féminines et celles du corps de l’enseignement en les qualifiant de « façonneurs » de générations. Ces derniers, dit-il, doivent avoir tout le mérite et un statut qui leur garantira la dignité » et de conclure par une promesse liée à la révision à la hausse de la bourse des étudiants.
M.E.H. 30.03.2014
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Ainsi le P/APC du Khroub, le Pr Abdelhamid Aberkane a accompagné le candidat, tandis que ses proches collaborateurs ont encadré la rencontre, la première au niveau de cette ville depuis le lancement de la campagne électorale. Dans la salle, une présence significative des transfuges FFS a été constatée et parmi les invités figure l’ancien cadre du FFS, Abdeslam Ali-Rachedi.
Notons que le Pr Aberkane a été du côté d’Ali Benflis lors des présidentielles de 2003, raison pour laquelle a été écarté lui est sa femme, respectivement du son poste de ministre de la Santé et du poste de la présidente du conseil d’Etat.
Mais apparemment, le Pr Aberkane et même s’il a changé d’appartenance politique, son engagement avec Ali Benflis n’est pas à démontrer. Autre présence fort remarquée, celle des militants du FLN venus en force pour applaudir leur candidat, il s’agit notamment de l’équipe sortante de l’APW et de l’APC de Constantine représentée notamment par l’ex P/APW le Dr Boussouf et l’ex-P/APC, le Dr Chibane.
Quant au discours prononcé devant l’assistance, le candidat s’est longuement attardé sur les causes de la crise qui secoue notre pays en estimant qu’elle est « pluridisciplinaire » et que le volet sécuritaire « doit être traité à la base ». A cet effet, il expliquera qu’il était « de ceux qui ont mis préparé la loi sur la concorde civile et aujourd’hui mon programme prévoit d’aller au fond de la réconciliation nationale ».
« Je suis venu pour rendre les droits à leurs ayants et ouvrir une nouvelle ère pour une réelle réconciliation plus large », a-t-il ajouté avant de s’interroger « comment les choses peuvent-elles évoluer si l’Etat ne prenne pas ses responsabilités et ne reconnaisse pas ses erreurs ? comment prétend-on à une réconciliation, alors qu’il ya des personnes ne jouissant pas de leurs droits civiques et politiques ? ».
Interrompu à chaque fois par des applaudissements, Benflis demanda aux présents d’être patients pour qu’il puisse expliquer son idée qu’il divulguera pour la première fois depuis l’annonce de sa candidature à la présidentielle.
« Je m’engage devant Dieu et devant le peuple à trouver une solution définitive pour la crise sécuritaire nationale » a-t-il soutenu avant de poursuivre « je m’engage à lancer un dialogue national regroupant tous les acteurs, les partis politiques quelque soit leur tendance, la société civile sans aucune exclusion pour aboutir à une résolution consensuelle qui sera soumise à l’approbation du peuple par un référendum. C’est ainsi mon engagement pour résoudre la crise politique, le problème de la légitimité et de la démocratie en Algérie ».
Sur un autre registre, le candidat à la présidentielle du 17 avril a courtisé les voix féminines et celles du corps de l’enseignement en les qualifiant de « façonneurs » de générations. Ces derniers, dit-il, doivent avoir tout le mérite et un statut qui leur garantira la dignité » et de conclure par une promesse liée à la révision à la hausse de la bourse des étudiants.
M.E.H. 30.03.2014
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