histoire vraie des déboires d'un ami au Canada
J’ai un ami informaticien qui lui aussi est parti au Canada ça fait quelques années pour tenter l’aventure. Après presque une année de recherche d’emploi, il n’a rien trouvé. Déçu, il est revenu en Algérie, un mois après il a trouvé un super poste dans un opérateur mobile étranger où il a beaucoup évolué techniquement et touchait un très bon salaire. Il a profité de beaucoup de stages à l’étranger. Ces amis au Canada lui disaient maintenant le marché est beaucoup ouvert pour les informaticiens pourquoi tu ne revient pas ? Comme il avait toujours sa carte de résidence permanent (valide 3 ans), il a quitté son emploi chez cet opérateur et est revenu au Canada pour tenter sa chance une 2eme fois. Croyant maintenant qu’avec son nouveau CV et ses solides compétences, il n’aura pas de mal a trouvé un job. Hé bien, le pauvre est là bas depuis presque une année et il n’a pas encore trouvé un emploi dans son domaine. Il vit avec le bien aide social et travaille en noir. Il ne peut plus revenir en Algérie une 2eme fois. Il se contente maintenant de décrocher la citoyenneté canadienne pour aller en Europe ou dans les pays du Golf. Pourtant avec ses compétences et ses qualités humaines, il n’aura aucun mal a trouvé un job en France mais au Canada c’est une autre histoire. Il a fait sa conclusion que le problème n’est pas dans le marché de l’emploi mais dans l’accès à l’emploi. Les québécois ne veulent pas prendre de risques avec un immigré même s’il a les meilleures compétences au monde.
J’ai un ami informaticien qui lui aussi est parti au Canada ça fait quelques années pour tenter l’aventure. Après presque une année de recherche d’emploi, il n’a rien trouvé. Déçu, il est revenu en Algérie, un mois après il a trouvé un super poste dans un opérateur mobile étranger où il a beaucoup évolué techniquement et touchait un très bon salaire. Il a profité de beaucoup de stages à l’étranger. Ces amis au Canada lui disaient maintenant le marché est beaucoup ouvert pour les informaticiens pourquoi tu ne revient pas ? Comme il avait toujours sa carte de résidence permanent (valide 3 ans), il a quitté son emploi chez cet opérateur et est revenu au Canada pour tenter sa chance une 2eme fois. Croyant maintenant qu’avec son nouveau CV et ses solides compétences, il n’aura pas de mal a trouvé un job. Hé bien, le pauvre est là bas depuis presque une année et il n’a pas encore trouvé un emploi dans son domaine. Il vit avec le bien aide social et travaille en noir. Il ne peut plus revenir en Algérie une 2eme fois. Il se contente maintenant de décrocher la citoyenneté canadienne pour aller en Europe ou dans les pays du Golf. Pourtant avec ses compétences et ses qualités humaines, il n’aura aucun mal a trouvé un job en France mais au Canada c’est une autre histoire. Il a fait sa conclusion que le problème n’est pas dans le marché de l’emploi mais dans l’accès à l’emploi. Les québécois ne veulent pas prendre de risques avec un immigré même s’il a les meilleures compétences au monde.
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