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IL A ÉTÉ ASSASSINÉ PAR LE FIDA EN 1997 Il y a dix-neuf ans, disparaissait Abdelhak Benhamouda

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  • IL A ÉTÉ ASSASSINÉ PAR LE FIDA EN 1997 Il y a dix-neuf ans, disparaissait Abdelhak Benhamouda

    IL A ÉTÉ ASSASSINÉ PAR LE FIDA EN 1997

    Il y a dix-neuf ans, disparaissait Abdelhak Benhamouda

    “Ils nous ont trahis ya khouya Kamel”, ce sont là les derniers mots prononcés par Abdelhak Benhamouda, avant de rendre l’âme, en ce jour de Ramadhan, le 28 janvier 1997, alors qu’il était encore allongé sur l’esplanade de la Maison du peuple, le corps ensanglanté et criblé de balles. L’horrible attentat sera revendiqué, dans un communiqué, quelques jours plus tard, par le Fida, une organisation terroriste islamiste dirigée alors par un certain Ahmed Abou El-Fida.Un jour avant son assassinat, Benhamouda, qui était l’invité de la Radio nationale, avait appelé les Algériens à faire face à ceux qui, par leur “idéologie désastreuse, veulent instaurer un État théocratique en Algérie”. Le responsable charismatique de l’UGTA n’était pas seulement un syndicaliste mais c’était surtout une icône et un farouche défenseur d’une Algérie républicaine. C’est cet engagement qui faisait de lui une cible prioritaire des terroristes notamment pour avoir créé et présidé le Comité national pour la sauvegarde de l’Algérie (CNSA) avant de jeter les fondements pour la création d’un parti politique républicain et démocratique. Un projet qui ne sera jamais achevé comme l’avait souhaité et voulu Abdelhak Benhamouda. Et c’est pour ses idées et ses projets engagés foncièrement pour une Algérie républicaine que l’ancien instituteur de Constantine avait été déjà pris pour cible, une première fois en 1993, non loin de son domicile à Garidi (Alger), soit trois ans avant son élection à la tête de l’UGTA. Son frère et son oncle seront, eux aussi, assassinés à Constantine par les mêmes hordes terroristes. Fervent défenseur des droits des travailleurs, Abdelhak Benhamouda avait contesté avec un grand courage certaines décisions prises à l’époque par le gouvernement, notamment celles liées à la politique économique du pays ou encore le licenciement des travailleurs et la liquidation des entreprises publiques entreprise suite aux injonctions du FMI. Les travailleurs et les citoyens qui se souviennent de ses positions courageuses et son franc engagement lui rendent aujourd’hui un grand hommage. Une cérémonie de recueillement sera organisée aujourd’hui par le secrétariat national de l’UGTA avec la participation de nombreux syndicalistes, en hommage à l'homme qui s’est sacrifié pour une Algérie juste, prospère et républicaine.

    M. T.

    Liberté
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Hommage à Ben hamouda , il est mort en Martyr de la république , son combat et ses idées lui survivent. Allah Irahmou

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    • #3
      Allah yarahmou, paix à son âme

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      • #4
        Il s’apprêtait à transformer l'UGTA en parti politique pour soutenir ZEROUAL.

        Ceux qui voulaient faire partir ZEROUAL ne pouvaient pas tolérer ça. Ils l'avaient fait exécuter.

        P.

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        • #5
          Il s’apprêtait à transformer l'UGTA en parti politique pour soutenir ZEROUAL.

          Ceux qui voulaient faire partir ZEROUAL ne pouvaient pas tolérer ça. Ils l'avaient fait exécuter.

          P.
          Encore un adepte du "qui tue qui"

          Tu aurais pu au moins commencer par dire " allah yarhmou".

          Mais non , tu ne connais pas .
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • #6
            Algérie: Exécutions sommaires:
            Rachid Medjahed

            Amnesty International, Novembre 1997

            Le 12 février 1997, des membres des forces de sécurité ont tué huit personnes, dont deux femmes et deux jeunes enfants, après avoir pris d'assaut un immeuble du centre d'Alger. Les autorités ont affirmé que les "terroristes " qui avaient été tués étaient ceux qui avaient préparé et mené à bien l'assassinat d'Abdelhak Benhammouda, dirigeant de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et personnalité d'envergure nationale, abattu le 28 janvier 1997 devant le bureau de ce syndicat en plein centre d'Alger. Cet homme avait annoncé peu avant sa mort qu'il allait prendre la tête du Rassemblement national pour la démocratie (RND) - nouveau parti politique "officiel" qui a remporté les élections législatives de juin 1997, deux mois à peine après sa création, et qui compte parmi ses membres et ses dirigeants des ministres et d'autres responsables gouvernementaux. Rachid Medjahed, après avoir été interpellé le 15 février 1997 et avoir "disparu "en détention secrète, est réapparu à la télévision nationale algérienne (ENTV) le 23 février 1997. Il a avoué avoir préparé et dirigé l'assassinat d'Abdelhak Benhammouda et a donné le nom des membres de son groupe qui avaient été tués par les forces de sécurité, lors du raid mené le 12 février dans un appartement situé en face du bureau de l'UGTA, à Alger.
            Après l'intervention de Rachid Medjahed à la télévision, sa famille, qui n'avait jamais été informée de son arrestation, a commencé sans succès à s'enquérir de son lieu de détention. Les démarches entreprises par les proches de cet homme et par son avocat, ainsi que par Amnesty International, auprès des autorités judiciaires sont restées sans réponse.A la fin du mois de mars 1997, l'organisation a appris qu'un rapport de police faisait état de la mort de Rachid Medjahed. Les parents de cet homme ont été informés le 3 avril 1997 de sa mort, et on leur a remis un certificat indiquant qu'il avait succombé à des blessures par balles. Ils ont été autorisés à voir le corps de leur fils, qui portait apparemment des blessures par balles sur le haut des cuisses, à l'abdomen, dans le dos et la nuque, mais ils n'ont pas pu obtenir la restitution du corps pour l'inhumer. Toutefois, lors d'un entretien le 8 avril 1997 avec des délégués de Human Rights Watch, le ministre de la Justice, Mohamed Adami, a affirmé que Rachid Medjahed était vivant et qu'il était soigné à l'hôpital. Kamel Rezzag-Bara, président de l'Observatoire national des droits de l'homme (ONDH), organisation officielle pour les droits de l'homme, a déclaré le 24 avril 1997 à Human Rights Watch qu'il n'avait pas encore reçu confirmation de la mort de Rachid Medjahed. Finalement, dans une lettre adressée le 25 mai 1997 à Amnesty International, le président de l'ONDH a affirmé que Rachid Medjahed était mort le 18 février 1997 des suites de blessures par balles infligées au moment de son arrestation. il ne présentait pourtant apparemment aucune blessure par balle lorsqu'il est apparu à la télévision, le 23février, et des personnes qui l'ont vu en détention ont affirmé qu'il n'avait pas été blessé au moment de son arrestation et qu'il avait probablement été sommairement exécuté.
            Le cas de cet homme illustre l'utilisation systématique de la détention secrète en dehors de tout contrôle des autorités judiciaires. Le fait que des personnalités gouvernementales comme le ministre de la Justice et le président de l'organisation officielle pour les droits de l'homme, rattachée directement au président de la République, ne soient pas parvenus pendant plusieurs semaines à obtenir des informations sur la mort de Rachid Medjahed, dont l'arrestation et le placement en détention avaient été confirmés par son apparition à la télévision, démontre l'effondrement total de l'Etat de droit et l'impunité quasi-totale qui protège les services de sécurité.
            La mort en détention de Rachid Medjahed a suscité de nouvelles questions à prourepos de l'assassinat d'Abdelhak Benhammouda. Amnesty International a demandé l'ouverture d'une enquête indépendante et impartiale sur la mort d'Abdelhak Benhamouda et de Rachid Medjahed.
            Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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            • #7
              Encore un adepte du "qui tue qui"
              J'en fais partie. Je reste convaincu que certains assassinats dont celui de Ben Hamouda sont l’œuvre du DRS.

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              • #8
                Il s’apprêtait à transformer l'UGTA en parti politique pour soutenir ZEROUAL.
                Ceux qui voulaient faire partir ZEROUAL ne pouvaient pas tolérer ça. Ils l'avaient fait exécuter.
                c est clair comme l eau de roche.....et dire que certains esprits naïfs continuent a croire en la version officielle

                Je reste convaincu que certains assassinats dont celui de Ben Hamouda sont l’œuvre du DRS.
                khalli el bir Bghtah
                أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                • #9
                  c est clair comme l eau de roche.....et dire que certains esprits naïfs continuent a croire en la version officielle
                  C'est pas de la naiveté Doc .. c'est juste que la version officielle coincide avec leur esprit partisan .. un esprit radical eradicateur qui n'est pas moins coupable que les autres acteurs de l'hecatombe .. revoir cette version c'est revoir tout le reste des versions ce qui n'arrange guere leur "politique" ..

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                  • #10
                    Allah yarhmou

                    Je ne connais pas Benhammouda

                    mais l'UGTA, pour moi, est une des institutions avec le FLN qui ont fait ce qu'est l'Algérie, le pays de la médiocrité.
                    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                    • #11
                      mais l'UGTA, pour moi, est une des institutions avec le FLN qui ont fait ce qu'est l'Algérie, le pays de la médiocrité.
                      Oui tout à fait, avant et après Benhamouda.

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                      • #12
                        Je suis un éradicateur .

                        Ceux qui ont tué Benhamouda, Djaout , Mekbel , ont été blanchi par le pouvoir actuel , avec la reconciliation .
                        D'autres ici même les innocentent carrément .
                        Dernière modification par Iska, 28 janvier 2016, 15h54. Motif: 'autres les innocentent carrément .
                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                        • #13
                          Le "qui tue qui" n'innocente aucun des deux, par contre il incrimine les deux.

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                          • #14
                            Le 'qui tue qui" incrimine UNIQUEMENT les forces de l'ordre, l'armée , la gendarmerie, qui ont sauvé le pays .

                            En France , ils ont aussi l'état d'urgence, l'armée est dans la rue , comme chez nous .
                            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                            • #15
                              La belle trouvaille ..
                              qui ont sauvé le pays ..
                              maintenant que les langues on commencé a se deliés tot ou tard vous allez devoir reconnaitre le gachis provoqué uniquement pour des considerations politiques et de pouvoir ..

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