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Ce que fut l'Alger ottoman avant que la France coloniale n'en détruise les deux-tiers

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  • #16
    Envoyé par Mistaaywa
    il est pas influencè par les orientalistes meme si il lui arrive de faire des contre arguments il s'en sort tres bien...
    oui j'ai lu quelques unes de ses chroniques sur le site huffpost dédié au Maghreb et en effet, avec ce petit aperçu il nous informe des faits historiques de l'Algérie d'avant et pendant la colonisation sans rentrer dans le fantasme ou la mythologie...

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    • #17
      wiwla
      Un autre hymne de l'empire ottoman aux cris de Allahou Akbar
      sous titré en arabe......il est magnifique

      Allahou-Akbar ( Dieu est Grand ) , ce Dieu qui est grand , ne l'est pas uniquement pour les musulmans , et encore moins pour les arabes et les turcs ...

      Alors pourquoi cet amalgame à vouloir passer DIEU , pour la propriété exclusive des musulmans , des arabes , et voilà aussi des turcs ? ...

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      • #18
        Ce que fut l'Alger ottoman avant que la France coloniale n'en détruise les deux-tiers
        La France coloniale avait détruit les 3/4 du peuple algerien. En 1830, le taux d'analphabetes etait de 15%, avant d'atteindre les 85% en 1962 !!!

        Les 15% des lettrés comptaient au moins 5% d’endoctrinés et occidentalisés de la promotion Lacoste, placés à la tête du Pouvoir putschiste en 1962, un esprit toujours aux gouvernails du pays à nos jours !

        "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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        • #19
          Allahou-Akbar ( Dieu est Grand ) , ce Dieu qui est grand , ne l'est pas uniquement pour les musulmans , et encore moins pour les arabes et les turcs ...

          Alors pourquoi cet amalgame à vouloir passer DIEU , pour la propriété exclusive des musulmans , des arabes , et voilà aussi des turcs ? .
          Tu es taré ou quoi !
          Des musulmans s'approprient le bon dieu, j'arrive pas à croire que tu vas dans tes sottises à ce point !
          Tout compte fait l'endoctrinement FLNISTE est supportable et moins aveuglant que le tiens !
          Dernière modification par pioto, 22 juillet 2016, 23h36.

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          • #20
            Tu es taré ou quoi !
            Des musulmans s'approprient le bon dieu, j'arrive pas à croire que tu vas dans tes sottises à ce point !
            Tout compte fait l'endoctrinement FLNISTE est supportable et moins aveuglant que le tiens !
            Dernière modification par pioto ; Aujourd'hui à 00h36.
            pioto est déconnecté Signaler un message hors-charte


            Pourquoi donc ces vociférations " Allah ouakbar " à longueur de journée , et au moindre fait du quotidien !

            Oui je persiste et signe , globalement le musulman à force de crier et de répéter cette formule , croit mettre le Dieu dans sa poche ; ou tout au moins il a les faveurs de celui ci ! ...

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            • #21
              @Arbia

              Ça commence avec un peu trop d'approximations je trouve, ce qui ne prélude jamais de trucs bien lorsque le sujet est historique. Bref, en gros :

              Elle s'appelait Djazaïr des Beni Mezghenna, du nom de la tribu amazighe qui y habitait, puis Djazaïr Ethaaliba, en référence à une tribu hilalienne arabe qui s'y est établie à partir du 13 et 14è siècle ...
              Jamais une telle dénomination n'a jamais figuré sur aucune source médiévale. Lorsque la ville et sa région entrèrent sous le pouvoir des nomades Tha3âliba on disait tout bonnement El-Djazaïr, depuis belle lurette et jusqu'à nos jours. Il n'y eut aucun changement de toponymie à ce moment. En plus, les Thâaliba n'était pas un clan hilalien, c'était une branche des Mâ3aqil qui ont fait leur taghrîba ("Migration vers l'Ouest") dans une seconde phase et non avec les Béni Hilâl.

              ... Une ville bâtie en forme d'amphithéâtre à la mode grecque antique depuis qu'Alger ...
              Il y aurait eu une "mode grecque antique" pur construire les villes en amphithéâtres ? Première nouvelle déjà ! Par ailleurs, Alger est une fondation phénicienne (et non pas grecque) et son site originel réponds plutôt aux usages phéniciens en matière de constructions de villes et de comptoirs commerciaux (un isthme ou une île proche d'un rivage ... etc.)

              ... Pour Athènes, notre capitale se nommait : Icosium ...
              Les phéniciens, ces fondateurs, l'ont nommé Ikosîm, et c'est les Romains qui en feront Icosium et non les grecs.
              Dernière modification par Harrachi78, 24 juillet 2016, 00h10.
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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              • #22
                Envoyé par Harrachi
                Jamais une telle dénomination n'a jamais figuré sur aucune source médiévale. Lorsque la ville et sa région entrèrent sous le pouvoir des nomades Tha3âliba on disait tout bonnement El-Djazaïr, depuis belle lurette et jusqu'à nos jours. Il n'y eut aucun changement de toponymie à ce moment.
                c'est dommage qu'il n'ait pas appuyé cette affirmation sur les dénominations de El Djazaïr sur des sources historiques et vérifiables en effet... pour ce qui est de l'amphithéâtre moi aussi cette anecdote m'a interpellé, mais bon on peut dire que c'est un modèle architectural greco-romain que les phéniciens ont certainement pris comme modèle à leur tour...

                c'est vrai que dans la forme du texte il y a quelques approximations pour reprendre ton terme, en revanche dans le fond, l'auteur reste plus ou moins fidèle de ce à quoi ressemblait Alger sous le califat Ottoman... à moins que tu es quelques objections à nous faire partager ? si c'est le cas n'hésite surtout pas

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                • #23
                  @Arbia

                  Bon, je n'ai pas voulu aller trop dans le détail. Mais, si t veux, je n'aime pas trop ce genre d'articles car ça semble plus verser ans l’apologétique que dan la vulgarisation désintéressée.

                  En somme, le gars ne dis pas grand chose et tout n'est pas "faux" dans ce qu'il raconte, mais faire autant d'approximations et tant de simplifications dans un si petit texte enlève déjà une bonne partie de la crédibilité que j'aurais pu accorder à l'auteur ... lol Allez, prenons quelques passages comme échantillons et analysons :

                  ... Alger disposait d'infrastructures bien meilleures que celles des grandes villes méditerranéennes ou mondiales. Elle était dotée de plus de 60 cafés dont les plus célèbres étaient Al Qahwa El-kebira, EL-Qahwa Esseghira, Qahwet Laariche ...
                  Franchement, quelle que soit l'époque et en prenant pur argent comptant le chiffre qu'il avance, depuis quand le nombre de cafés publiques dans une ville est un paramètre pour juger d'une quelconque "supériorité" en infrastructures ? Et même en acceptant ce critère absurde, en quoi est-ce exceptionnel qu'une ville de 100.000 âmes dispose de 60 cafés ? Paris ou Londres manquaient-elles de tavernes à la même époque ?

                  ... Elle pouvait dormir tranquille grâce aux 12.000 soldats répartis entre 8 casernes qui veillait bien à sa sécurité contrairement à la thèse galvaudée par certains sur "l'occupation turque " ...
                  Là encore, en quoi le chiffre, même si il est vrai, est-il sensé démontrer une quelconque supériorité par rapport aux autres grandes villes méditerranéennes de l'époque ?! Et je n'arrive même pas à comprendre la place du passage souligné dans ce paragraphe !?
                  "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                  • #24
                    ...

                    ... c'est dommage qu'il n'ait pas appuyé cette affirmation sur les dénominations de El Djazaïr sur des sources historiques et vérifiables en effet ...

                    Il y en a pas sur ce point. Jamais un truc nommé "Djazaïr al-Thâaliba" (sic) n'a été cité nulle part dans une source. Toutes les cités du Maghreb central et leurs plaines ont fini par tomber sous le pouvoir d'une tribu arabe nomade par le jeu des concessions (iqtâ3) que les sultans Zianides ou Hafçides donnaient à ces tribus pour s'assurer leur soutien, et ce furent effectivement les Thâaliba dans le cas d'Alger et sa Mitidja, mais aucune source n parle d'un quelconque changement de toponymie au 13e siècle : El-Djazaïr était El-Djazaïr à ce moment, rien de plus.

                    ... pour ce qui est de l'amphithéâtre moi aussi cette anecdote m'a interpellé, mais bon on peut dire que c'est un modèle architectural greco-romain que les phéniciens ont certainement pris comme modèle à leur tour ...

                    Bah, le problème c'est qu'il n'existe pas de modèle urbanistique gréco-romain "en amphithéâtre". Ce n'est qu'une dénomination moderne et purement conventionnelle pour décrire la forme de certains sites urbains qui ressemblent justement à un amphithéâtre (qui lui est une création architecturale grecque). C'est d'une contrainte topographique qu'il s'agit et non d'une "mode" urbanistique.

                    Par ailleurs, lorsqu'on traite d'histoire, il faut toujours garder la chronologie à l’esprit : Ikosîm a été fondée a 1er Millénaire av. J.-C., c'est-à-dire à une époque ou la Grèce était à son époque archaïque alors qu'il faudra attendre l'époque classique (plus de 500 ans plu tard) pour que se fixent des "modes" architecturaux et urbanistiques proprement grecs et ensuite l'époque hellénistique (près de 800 ans plus tard) et ensuite romaine pour les voir se propager en méditerranée et devenir des modèles !

                    En un mot, l'Alger antique est plus vieux de quelques siècles que le "modèle" que notre ami lui assigne ...
                    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                    • #25
                      Salam Harrachi

                      merci pour les détails très enrichissants et je te l'accorde complètement pour donner un semblant de crédibilité à un texte ou à un ouvrage qui plus est historique il est primordiale en effet d'être fidèle à la chronologie... d'ailleurs je trouve dommage que l'on n'ait pas beaucoup d'historiens made in Algeria pour remettre les pendules à l'heure afin d'éviter de s'appuyer sur des textes et des ouvrages historiques algériens de l'époque coloniale qui pour la plupart du temps induisent les gens en erreur ou sont plus là pour glorifier leur présence qu'autre chose... c'est pour cela que j'ai ouvert ce sujet avec le texte de ce Monsieur Sadallah
                      Et je n'arrive même pas à comprendre la place du passage souligné dans ce paragraphe !?
                      certains historiens ou pseudo historiens font passer la présence turque comme étant tyrannique afin de minimiser la présence française et/ou d'en faire oublier la gravité et les méfaits d'où la réflexion de l'auteur...

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                      • #26
                        Il y en a pas sur ce point. Jamais un truc nommé "Djazaïr al-Thâaliba" (sic) n'a été cité nulle part dans une source.
                        Moi aussi ça m'avait interpellé mais je n'ai pas voulu soulever ce point.
                        il est vrai que la ville d'Alger est commandé par le chef des thaaliba vers le 15 éme siécle et l'arrivée des turcs,mais je n'ai pas souvenir avoir lu que la toponymie de la ville en avait été affectée .
                        Toutes les cités du Maghreb central et leurs plaines ont fini par tomber sous le pouvoir d'une tribu arabe nomade par le jeu des concessions (iqtâ3) que les sultans Zianides ou Hafçides donnaient à ces tribus
                        toutes les villes peut être pas,mais nombre de plaines oui .
                        les tribus arabes ou Berbères s’arrogeaient des droits d’impôts ou taxes dans leur voisinage quand les dynasties au pouvoir à Tlemcen s'affaiblissaient dans leur lutte continuelle avec les mérinides et les hafcides,quand le bled makhzen avance le bled siba recule et vice versa.
                        pour s'assurer leur soutien, et ce furent effectivement les Thâaliba dans le cas d'Alger et sa Mitidja
                        singulièrement,ce ne fut pas le cas des Thaaliba qui furent installés dans la mitidja non pas à la faveur d'une concession de territoire de la part du sultan mais à la suite de leur défaite face aux béni toudjin ,Maitres du tell et du titteri à ce moment de l'histoire,les thaaliba ,installé de force par le chef toudjin passent sous la protection d'une autre puissante tribu sanhajienne ,les béni Melikich ,cet etat de fait durera jusqu'a ce que les mérinides victorieux des ziyanides mettent fin également à la domination des Melikich ,ce qui laissera par la suite le champs libre aux Thaaliba dans la plaine algéroise jusqu'a l’arrivée des ottomans.
                        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                        • #27
                          @Arbia

                          ... je trouve dommage que l'on n'ait pas beaucoup d'historiens made in Algeria pour remettre les pendules à l'heure ...

                          Bah, c'est à l'image du pays et de sa société ARBIA. Ces "historiens" ne vont pas sortir du néant, pas plus que les autres disciplines. Tu le vois avec cet exemple même : on est encore plus dans l'apologie que dans la méthodologie, et chacun est plus mu par l'envie (consciente ou non) de justifier ses propres aprioris en leur trouvant des explications historiques que de chercher la réalité historique en elle-même. Dépasser ce stade exige à mon avis que la société elle-même atteignent un certain degrés de maturité. Ca viendra plus tard ... peut-être ...

                          ... certains font passer la présence turque comme étant tyrannique afin de minimiser la présence française et/ou d'en faire oublier la gravité et les méfaits d'où la réflexion de l'auteur ...

                          Tout est question de perspective et l'essentiel est d'éviter des jugements qui pêcheraient trop par anachronisme. Le reste peut-être discuté.

                          La "présence turque" comme tu dis se traduit essentiellement sur notre territoire par l'établissement d'un régime politique assez particulier et sur plus de 300 ans. Si l'on jugeait dans l'absolu, le régime en question était effectivement dur dans son fonctionnement et fermé sur une caste dans sa gestion. Mais, dans le contexte de l'époque, cette forme n'avais rien d'extraordinaire dans le monde musulman et les structures internes de la Régence avaient pratiquement repris tel quel le système de fonctionnement classique des Etats maghrébins (au moins depuis la période post-almohade) qui l'ont précédés avec ses tribus totalement autonomes, son makhzen, ses çoffs, sa m'halla annuelle ... etc.

                          La spécificité du régime algérien en question réside en un seul point : c'est qu'il est resté pratiquement figé jusqu'à la fin en matière d'exercice du pouvoir suprême et cela causa sa perte, à la fois subite et prématurée. Aucune ouverture ni aucun changement ne furent consentis par la caste dirigeante au cours de ces trois siècles, l'Odjaq ayant demeuré attaché à sa forme originelle, un peu comme les Mamelouks d'Egypte, contre vents et marrées. Ce système fermé à certes fonctionné durant les deux premiers siècles, mais de moins en moins bien à partir du 18e-19e alors que les régimes de "Régences-sœurs" comme l'Egypte ou la Tunisie commençaient déjà à se transformer vers un modèle plus moderne de dynasties locales et à se moderniser au contact des européens, y compris l'Empire ottoman lui-même. Alger restait sur le tempo de sa gloire maritime du 16e-17e siècle (alors que le monde avait totalement changé après les guerres napoléoniennes) et refusait de changer d'un iota tant dans sa gestion tant à l'international qu'en interne.

                          Bon, à la décharge de la Régence d'Alger c'est qu'elle tomba trop tôt car, en 1830, il n'y avait encore aucun pays musulman sous tutelle européenne (du moins dans le pourtours méditerranéen). On ne sait donc vers où l'évolution des choses aurait mené l'Algérie de l'époque, car tout le monde commence à changer de force ou de grès à partir des années 1850-1860. Peut-être aurions-nous eu un Mohamed Ali local, peut-être le régime aurait-il mué comme pour les Husseynides de Tunisie, peut-être aurait-il été abattu par une dynastie de chérifs locaux, peut-être les chérifs du Maroc aurait gagnés tout ou partie du pays à leur propre cause ... etc. Bref, tout autant de possibilités d'une évolution "naturelle" et dans le cadre maghrébin et musulman classiques que la conquête française vint interrompre définitivement.
                          Dernière modification par Harrachi78, 01 août 2016, 17h04.
                          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                          • #28
                            @Touba

                            Et si l'architecture de la Kasbah n'était pas turque mais berbère?
                            Et qui a dit qu'elle était "turque" cette architecture à la base ?
                            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                            • #29
                              @Xénon

                              ... toutes les villes peut être pas,mais nombre de plaines oui ...

                              A compter du 15e siècle, je ne connais aucune exception au Maghreb Central XENON. En 500 ans, la poussée des tribus hilaliennes (et consorts) fut lente mais constante, allant toujours d'Est en Ouest sur le couloir des Hauts-Plataux et des confins sahariens tout en poussant avec des pics Sud-Nord vers le Tell à travers les trouée de l'Atlas, pour enfin atteindre les plaines littorales dans une phase finale. Ils nomadisent d'abord sur un territoire qu'il dominent en imposant leur "protection" (plutôt tchoukîr) sur les villes et sur les tribus sédentaires des plaines autour, puis finissaient eux-mêmes par se sédentariser sur les lieux.

                              ... les tribus arabes ou Berbères s’arrogeaient des droits d’impôts ou taxes dans leur voisinage quand les dynasties au pouvoir à Tlemcen s'affaiblissaient dans leur lutte continuelle avec les mérinides et les hafcides,quand le bled makhzen avance le bled siba recule et vice versa ...

                              Ca, c'est la situation au 14e siècle. A la veille de la fondation de la Régence d'Alger en 1518, les vielles dynasties maghrébines n'exerçaient pratiquement plus de pouvoir en dehors de leurs villes capitales et le reste du pays était depuis longtemps livré à lui-même, les villes de la côte vivant pratiquement en cités-libres (c'était le cas d'Alger pare exemple) tandis que les tribus étaient totalement autonomes sur les territoires qu'elles dominaient et selon le jeu éternel des alliances et contre-alliances entre-elles. Au Maghreb Central la configuration était déjà en place : les tribus arabes dominaient les plaines et les hauts-plateaux tandis que les tribus berbères persistaient dans les massifs montagneux.
                              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                              • #30
                                Traité d'arithmitique d'Ibn Hamza Al Maghribi !

                                Traité d’arithmétique, composé à la Mecque en l’an 999 de l’Hégire (1591) par un
                                certain ‘Alî bin Wâlî Ibn Hamza al-Maghribî, originaire d’Alger et ayant vécu à
                                Istanbul. Bien que le traité fût rédigé en turc, son titre était purement arabe :
                                tuhfat al-a‘dâd li al-dhawî al-rushd wa al-sadâd, "le trésor des nombres, pour qui est doté de raison et de bon sens".

                                Le livre en question traite les logarithmes (1591), attribués injustement à Neper trente ans après (1620) !

                                http://www.math.unicaen.fr/~ageron/3...%20-%20339-359
                                "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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