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Port d’Oran Qui est derrière l’affaire des 700 kg de cocaïne ?

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  • #61
    L Interpol ( (OIPC) ) est active ..! plsrs réunions et conférences en Algérie pour combattre la drogue dans le monde .

    en plus le noyautage des réseaux international
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #62
      Pomaria,


      si ils ont publié des informations relatives a une enquete en cours et que ces informations étaient censées etre classées secret, c'est normal qu'ils soient entendus par la police.

      ∑ (1/i²) = π²/6
      i=1

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      • #63
        Alryib3
        si ils ont publié des informations relatives a une enquete en cours et que ces informations étaient censées etre classées secret, c'est normal qu'ils soient entendus par la police.
        Très possible. L'avenir nous le dira.

        Mais ils aurait pu faire çà selon les règles de droit.

        Jamais de la manière dont l'arrestation a été faite,
        - manu-militari avec des agents en civil,
        - avant le ftour un jour de ramadhan,
        - un jour férié,
        Dernière modification par Pomaria, 02 juin 2018, 03h26.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #64
          Ce sujet a suscité plus de questions, d'extrapolation et de scénarios que de réponses.

          Peut être que les choses sont plus simples (comme le dit Alryib) que ce que l'on imagine.

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          • #65
            Il y a des trafiquants de drogue algériens qui veulent empoisonné la fameuse jeunesse du pays.
            INCROYABLE!!!

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            • #66
              Le dossier confié au Pôle judiciaire spécialisé d'Alger:
              De nouvelles révélations dans l'affaire des 700 kg de cocaïne

              par Houari Barti

              En quelques jours seulement, le nombre de personnes interpellées, dans le cadre de l'affaire dite des 700 kg de cocaïne, saisis mardi dernier, au port d'Oran est passé de 14 personnes à plus de 40, actuellement, et pourrait augmenter davantage, au fur et à mesure, que l'enquête avance. Jusqu'à présent, on sait de sources officielles que parmi les personnes arrêtées, il y a bien évidemment l'importateur, le dénommé C. Kamel, dit ‘Kamel el Bouchi', patron de la société ‘Donya Meat', importatrice des conteneurs de viande surgelée, où justement la marchandise prohibée, des 701 kg de cocaïne, a été découverte, mardi dernier. Il y a, aussi, 3 personnes de nationalité philippine, parmi l'équipage du navire, transportant la marchandise, le ‘Vega Mercury', battant pavillon libérien.



              Mais il y a, surtout, de transit, dont l'interrogatoire par les services chargés de l'enquête a permis de lever le voile sur l'identité d'autres protagonistes ayant de supposés liens avec l'affaire, mais aussi, le ou les destinations que devaient prendre les conteneurs incriminés, notamment vers des ports secs et aires d'entreposage à Oran et à Alger où est justement domiciliée ‘Donya Meat', à Gué de Constantine.

              L'affaire a été confiée au Pôle pénal spécialisé d'Alger, vu que la majorité des personnes impliquées sont originaires de cette région. Le puzzle commence donc à se constituer, petit à petit, sans pour autant révéler tous ses secrets.

              La société ‘Donya Meat', située à Aïn-Naâdja est autorisée à importer différents produits alimentaires comme les viandes, les fruits et légumes, le sucre, le café, le cacao, entre autres.

              Des produits importés, principalement, de pays d'Amérique latine. Kamel C, connu par ses pairs sous le surnom de ‘Kamel el Bouchi', est un homme d'affaires âgé de 40 ans originaire de Lakhdaria.

              Selon les derniers éléments, ‘Donya Meat', possède déjà trois conteneurs frigorifiques censés contenir le même type de marchandise périssable mais qui sont en souffrance depuis plus d'une année, au port sec d'Es-Senia, sans qu'ils ne soient réclamés par leur propriétaire, ni qu'ils fassent l'objet de la moindre procédure de réexportation comme, il est d'usage en cas, par exemple, de différend avec le fournisseur.
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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