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Qui peut être le prochain président??

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  • les hommes prividentiels n'existent pas, exemple boutef, un homme vulnérable, qui subit et qui ne réagit plus.
    Dans tous les pays arabes on idéalise un homme on le charge, une fois mort, c'est soit rebelotte soit le chaos.
    Ainsi chaque pays, se voit contraint de suivre la direction et la vitesse du vent. est-ce un mal nécessaire, je ne le pense pas.

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    • salam solas

      l'autre disait tant qu'il y aura des hommes
      solas mon frere l'algerie makhletch mina rijel , il y a des hommes elhamdoullah ils sont en exil , ils se sont mis en veilleuses face un regime dictateur et meurtrière , je les comprend , on n'a qu'une vie solas mon ami , et ils ont vue ce qu'il est arrivé a el merhoum boudiaf , mais le jour ou le peuple pourra leur garantir une certaine securité , crois moi qu'on trouvera des hommes qui sauront gouverné
      le borné au pays des aveugles et roi , ils ont lynché , ils ont assassiné , ils ont chassé et pourchassé , tous ceux qui pouvaient leur faire de l'ombre ou demasqué leur politique et leur manège
      mais le jour ou ses hommes sauront que le peuple les soutiennent et est derriere eux crois moi qu'ils reviendront , il y a des centaines d'algeriens qui pourront occupé ses postes de responsabilité

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      • ouyahia est un mal necessaire
        Parle pour toi Solas
        Le mal, il faut l'extirper et non le suporter !
        Point de salu pour L'Algerie si elle ne coupe pas les ponts avec cette caste qui a tenue le pays depuis des decennies.

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        • Bonjour à tous,

          Ne vous inquiétez pas trop, le régime est bien en place malheureusement!!! je pense que d'ici là, ils vont encore nous sortir un nouveau nom qui deviendra "président".

          De toute façon, le rôle de président chez nous est juste d'être une vitrine. Qu'il s'appelle Ouyahia, belkhadem ou autre, on ne verra pas de changement tant que la chape du haut n'est pas tombé. Une chape pour laquelle la question posée ici est leur dernière préocupation.

          Certe, des gens intèges et sincères de la trampe de Boudiaf ellah yerahmou existe en Algérie ou à l'étranger, mais si nous le peuple ne faisons rien pour s'organiser, on ne mérite pas de les avoir comme président.
          ----->>>no comment<<----

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          • >>>Ne vous inquiétez pas trop, le régime est bien en place malheureusement

            Y a de quoi s'inquiéter, Bouteflika est pratiquement en fin de règne, il y aura inévitablement quelqu'un, l'idéal serait de se débarsser dans la foulée du système qui a paralysé l'algérie. Le système tremble à chaque changement, profiter de la relève de la garde pour abolir ce pouvoir ne ferait que du bien au pays, on ne peut pas faire pire.

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            • Je suis tout à fait d'accord avec toi citoyen. Mais espérer d'un seul homme de tels objectifs c'est trop espérer.

              Si la société civile était organisée autours d'une personne qui a joué son rôle d'opposition, la tache serait plus facile. Hors chez nous, il n y a pas une telle vision. C'est pour ça que je pense que les changements que nous espérons tous ne seront pas pour cette fois-ci. Le régime est mieux organisé que la société. Donc à mon avis, ils ne trouveront pas de diffucultés à remplcer Boutef. La preuve est que la majorité des noms proposés ici (belkhadem, ouyahia,...) ont participé de loins de ou de près à nous mettre dans la situation où on se trouve!!

              Nos dirigeants ont créé un tel vide dans le champ politico-médiatique qu'on dirait que leurs protégés sont les seuls à être capables de relever une responsabilité aussi importante que celle de Président.

              Bref, ça reste mon avis!
              Dernière modification par Tardelli, 13 mai 2007, 14h25.
              ----->>>no comment<<----

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              • Sur les 30 Millions, il y a forcément 95% qui ont n'ont pas gouté au miel.
                Rien de plus exact, Citoyen.

                Néanmoins, on parle de qui remplacera le président de la république. Et c’est là où il faut séparer l’utopie du réalisable.

                Plusieurs contributions, ont à juste titre, plaidé pour qu’une nouvelle génération soit aux commandes du Pays. Idée noble, sensée et judicieuse.

                L’utopie consisterait à ce qu’une part des 95% attende l’extinction ou l’implosion du « système » (nébuleuse que j’ai du mal à définir, identifier et cerner).
                L’utopie consisterait à ce qu’un beau jour, cette relève soit invitée à investir « El Mouardia », le « golf » ou le « boulevard Zighoud youcef ».

                Le réalisable, est que cette eventuelle relève fasse ses preuves. Un seul moyen investir le champ politique, associatif ou culturelle pour s’attaquer au « système » en « Embedded » (de l’intérieur).

                Le monde d’aujourd’hui (comme celui d’hier d’ailleurs) ne connaît pas de lutte de « Luxe ». De luttes à moindre cout. Je ne plaide pas pour une révolution mais attendre que les circonstances sont favorables pour une accession aux commandes …. Est non seulement illusoire mais est une preuve d’incompétence.

                Qu'on ne me dise surtout pas que cette relève n'a pas eu la chance de faire ses preuves. La chance dans certains cas, doit se provoquer. Particulièrement en ce qui nous concerne (par ce Topic).
                Dernière modification par jawzia, 13 mai 2007, 14h41.

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                • En sommes,

                  Si le "Quoi faire" fait unanimité, il restera sans valeur sans le "Comment faire".

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                  • >>>Le monde d’aujourd’hui (comme celui d’hier d’ailleurs) ne connaît pas de lutte de « Luxe ». De luttes à moindre cout. Je ne plaide pas pour une révolution mais attendre que les circonstances sont favorables pour une accession aux commandes …. Est non seulement illusoire mais est une preuve d’incompétence.


                    Tu dis qu'il ne s'agit pas d'une révolution mais tu en donnes les grandes lignes et une définition simplifiée.

                    -Faire adhérer les citoyens à l'idée que le système algérien a atteint la saturation est déjà en soit une tâche qui rentre dans le catégorie "comment faire".

                    -Le citoyen algérien s'est desngagé car il ne croit plus aux paroles de ses gouvernants, mais il est soumis sytématiquement au matraquage médiatique local, les portraits, les discours fleuve etc. J'aurai bien voulu que notre presse, nos médias, les masses prennent le risque d'un affrontement frontal idéologique avec le pouvoir, il n'en est rien on continue à compter les coups et les droites qu'il assène de temps en temps à tout ceux qui se lèvent. Tout est vérouillé, y compris les élections.

                    Faut-il déclarer l'état de beillgérance et rentrer dans une logique de conflit avec ces gouvernants ?

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                    • Tu dis qu'il ne s'agit pas d'une révolution mais tu en donnes les grandes lignes et une définition simplifiée.
                      Pas vraiment. Par "luttes de luxe", je veux evoquer le fait que sans un investissement personnel (dans les limites de ce que prévoit la loi), douloureux quelques fois ... il ne faut rien attendre.

                      Je vais te donner un exemple (dont tu capteras certainement la substance) :
                      L'université a connu une multitude de grèves depuis les années 70. Un invariant jusqu'à récemment etait que les jours de grève (certainement contrairement à la législation) était payés.

                      Depuis la fameuse grève de 95, la supension de salaire est devenue systématique. certains collègues s'en sont offusqués, d'autres trouvèrent une raison (que je comprend) pour suspendre leur grève...

                      C'est une donnée, qu'il faut dorénavant integrer. il n'y a plus de grève de luxe. Le portefeuille s'en ressentira, les pressions administratives y en aura...

                      Une grève est dorénavant un bras de force (douloureux - pour les profs comme pour les étudiants). Si on n'intègre pas cette donnée....faudra se contenter que quelques piquets ... c'est confortable et cela donne bonne conscience.
                      -Faire adhérer les citoyens à l'idée que le système algérien a atteint la saturation est déjà en soit une tâche qui rentre dans le catégorie "comment faire".
                      C'est vrai. Mais s'en contenter ... c'est faire du "gagne-petit".
                      -Le citoyen algérien s'est desngagé car il ne croit plus aux paroles de ses gouvernants, mais il est soumis sytématiquement au matraquage médiatique local, les portraits, les discours fleuve etc. J'aurai bien voulu que notre presse, nos médias, les masses prennent le risque d'un affrontement frontal idéologique avec le pouvoir, il n'en est rien on continue à compter les coups et les droites qu'il assène de temps en temps à tout ceux qui se lèvent. Tout est vérouillé, y compris les élections.
                      Et alors, le "système" n'abdiquera pas facilement. Un exemple, encore :
                      Desesperer les gens d'aller voter (et il faut une dose de courage que d'aller mettre un bulletin dans une urne ... dans le climat politique actuel) servira t-il le "système" ou ceux qui veulent le faire deguerpir. Il n'y a pas de geste vain. Tant qu'il s'inscrit dans une optique te surtout dans la perseverance.
                      Faut-il déclarer l'état de beillgérance et rentrer dans une logique de conflit avec ces gouvernants ?
                      Intellectuel, politique .... OUI.

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                      • Le vote proprement dit, peut être un alibi de taille pour le pouvoir. Dans une logique d'un canal d'information unique, il est facile de détourner le taux de participation au profit des magouilleurs qui ne sont guère dans les partis mais dans l'ombre pour perpétuer le système. Leur intérêt : élections démocratiques donc statut-quo...

                        Il faut s'attendre à un taux de participation médiocre pour cette fois, nous verrons aussi si des forces politiques nouvelles vont émerger...d'ici là le voile sera levé et nous allons donc avoir plus de précision sur les orientations futures.

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                        • Le matraquage médiatique n'est pas de l'apanage de l'Algérie seule, on a vu récemment comment les français ont été harcelés médiatiquement et "sondagiquement" et comment cet harcèlement a fait basculer la balance. Comment il a pu transformer les rattages d'un candidat en succès.
                          Cela il faut savoir gérer, et l'élevation du niveau des masses est une condition nécessaire mais pas suffisante (à ce titre l'exemple français est assez éloquent, le français a beau atteindre un niveau d'étude respectable, il reste, sur le plan idéologique, "un produit" des médias).

                          Pour ce qui nous concerne, il faut faire très attention, car l'espèce qui nous gouverne a une longévité qui bat tous les records, capable de repondir à tout moment et, plus grave, dotée d'une grande capacité de reproduction.

                          Je me permets de faire une parallèle avec le cas egyptien. ce systême qui a des similarités avec le notre a suivi une évolution fulgurante, s'adaptant à toutes les situation passant d'un régime islamo-communiste (eh oui!) à un régime de ultra libéral allant jusqu'à la compromission pour atteindre un niveau d'abjection jamais égalé.
                          Le systême est toujours là, en dépit des manifestations de la rue et de la mobilisation des intellectuels, il ne donne aucun signe d'esssoufflement, mieux il prépare très sérieusement la relève.

                          Ces gens, plus ils restent, plus ils s'enracinent.
                          Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                          • >>>Je me permets de faire une parallèle avec le cas egyptien. ce systême qui a des similarités avec le notre a suivi une évolution fulgurante, s'adaptant à toutes les situation passant d'un régime islamo-communiste (eh oui!) à un régime de ultra libéral allant jusqu'à la compromission pour atteindre un niveau d'abjection jamais égalé.
                            Le systême est toujours là, en dépit des manifestations de la rue et de la mobilisation des intellectuels, il ne donne aucun signe d'esssoufflement, mieux il prépare très sérieusement la relève.

                            Tu peux même confondre les deux systèmes, des systèmes clientélistes et tentaculaires tous simplement.

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                            • salam tlm

                              jawzia je partage ton analyse concernant ses propos et je suis tout a fait pour saisir cette opportunité qui nous est offerte

                              Qu'on ne me dise surtout pas que cette relève n'a pas eu la chance de faire ses preuves. La chance dans certains cas, doit se provoquer. Particulièrement en ce qui nous concerne (par ce Topic).

                              j'ai dis encore plus , j'ai proposé de ne pas dire ce que nous devrions faire , ni comment on devrait le faire , mais de se reunir , de se rencontrer , de bousculer , et provoquer le destin grace a ce forum et de faire tous ensemble ce que nous devons faire ,ce que tu resume par ta phrase

                              Si le "Quoi faire" fait unanimité, il restera sans valeur sans le "Comment faire".

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