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Une révolution dans le monde de l'édition

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  • Désolé, j'ai rien compris de ce que tu as écrit. Serait-il possible de reformuler ton raisonnement,
    oh là je vais essayer mais c'est pas gagné

    AT(ou non croyant, agnostique, idolâtres..) et croyant(avec la bonne religion ) sont des créatures de dieu
    -comment est ce possible que des créatures(croyants) peuvent défendre dieu contre d'autres créatures(AT et autre)?
    -dieu n'est pas capable de se défendre tout seul?
    -n'est ce pas dieu qui jugera et qui punira celui qu'il estimera coupable?
    est ce que dieu est la propriété ou un proche parent des croyants mais pas des AT?
    bref dieu n'est pas l'exclusivité des croyants, donc chacun pense, dit ce qu'il veut de son dieu, entre autre ne pas croire en lui, puisque c'est le dieu de tous à égalité....
    plus simple, ça sera un dessein et comme je dessine mal

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    • @Bachi

      Afin d'y voir plus clair: aurais-tu un exemple d'un verset mal interprété littéralement et la bonne interprétation qu'il faudrait lui appliquer ?

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      • AT(ou non croyant, agnostique, idolâtres..) et croyant(avec la bonne religion ) sont des créatures de dieu
        -comment est ce possible que des créatures(croyants) peuvent défendre dieu contre d'autres créatures(AT et autre)?
        -dieu n'est pas capable de se défendre tout seul?
        -n'est ce pas dieu qui jugera et qui punira celui qu'il estimera coupable?
        est ce que dieu est la propriété ou un proche parent des croyants mais pas des AT?
        bref dieu n'est pas l'exclusivité des croyants, donc chacun pense, dit ce qu'il veut de son dieu, entre autre ne pas croire en lui, puisque c'est le dieu de tous à égalité....
        plus simple, ça sera un dessein et comme je dessine mal

        Pardon en fin de compte, il s'avère que Rica aurait reçu un fichier Excel et non un Fax et un SMS comme précédemment rapporté. Désolé pour l'erreur.

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        • @Annabi

          Soit que tu ne cherches pas la légitémité, mais sur quoi tu te bases alors pour déclarer que les littéralistes manquent l'essentiel? C'est quoi l'essentiel? Un sens allégorique au corpus coranique avec différents niveaux de compréhensions dont seule l'élite de l'élite peut comprendre le sens?
          Il se trouve que les juifs ont différents niveaux pour comprendre leur Khomas et même leur Talmude et Midrash.

          La lecture d'un Kohen, n'est pas comme celle d'un Rabbin qui n'est pas Kohen. Alors qu'un Agoy pour un juif n'a aucun acces pour l'enseignement de la Torah puisce qu'elle est un livre révélée pour les juifs.

          Peut-être que cette lecture dont bachi cherche!!

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          • @Bachi

            ... Pas toujours. Mais généralement, oui ...

            Si "généralement" équivaut à un minimum de 60 à 70% d'un groupe X, cela reviendrait à relire autant (et autrement de ce qui le parait) 60 à 70% de ce qui compose notre religion, et reconnaitre en passant que celle-ci n'aurait pas été correctement transmise durant tout ce temps !

            Et puisque une lecture du genre "profond" (allégorique ? ésotérique ?) est forcément variable, et cela reviendrait à dire que notre religion devrait être revue et revue et revue à l'infini et à une proportion pas inférieure à 60 ou 70% de sa consistance !

            BACHI, ce n'est plus une religion ça, c'est de la philosophie !
            Dernière modification par Harrachi78, 30 mars 2010, 17h46.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • L'édition française. Pour juger de la démarche éditoriale de Nabe

              "Au fond, il en est de la vie littéraire française de ces trente dernières années comme de la Sicile de la fin du XIXe siècle : "Si nous voulons que tout reste tel que c'est, il faut que tout change." Par ce mot lancé par Tancredi à son oncle, "Le Guépard", Tomasi di Lampedusa entendait que l'évolution des mentalités et le bouleversement des esprits s'inscrivent plus harmonieusement dans le quotidien lorsque les formes demeurent immobiles. De ce côté-là, ce que nous appelons pompeusement "la République des lettres", et qui a souvent des allures de principauté de type monégasque, n'a rien à craindre. Luxe, calme et volupté. On a rarement vu un milieu aussi conservateur que celui de l'édition.

              Les prix littéraires. Malgré le salutaire renouvellement du jury Goncourt, l'ensemble du système fonctionne de la même manière depuis un petit siècle. Là encore, on ne meurt pas. Ou alors en prenant son temps, convaincu, comme l'a dit un moraliste, que le mieux est de mourir jeune, mais le plus tard possible. Sauf qu'il y a de plus en plus de prix. Et que tout de même, évolution notable, des prix décernés par des jurys de lecteurs ou d'auditeurs regroupés par de grands médias (prix du livre Inter, Grand Prix des lectrices de Elle, prix RTL-Lire...) ont le culot, depuis une dizaine d'années, de faire parfois la nique à l'un ou l'autre des six patrons de l'automne (Goncourt, Femina, Renaudot, Interallié, Médicis, Académie française) en propulsant leurs lauréats avant les leurs en tête de la liste des meilleures ventes. Les époques de l'année auxquelles ils ont choisi de sévir ne sont pas étrangères à l'invention d'une seconde rentrée littéraire, fort bien venue, au début de l'année.

              Les listes, justement, parlons-en. Il y a encore quinze ans, celle de L'Express dominait sans partage. Aujourd'hui, instituts de sondages et magazines rivalisent de critères savants et sophistiqués pour s'imposer, à commencer par Livres Hebdo, organe de la profession, très lu par les libraires et bibliothécaires ; mais nul n'est vraiment satisfait, les éditeurs récriminant à bon droit lorsque leurs chiffres de vente ne correspondent pas à ceux de listes qu'il faudra bien, une fois pour toutes, prendre comme des indicateurs de tendances, rien de plus, rien de moins.

              Les libraires, justement, parlons-en. Ils devraient tous les jours allumer un cierge avec intention de prière à Jack Lang, pour la loi sur le prix unique du livre. Grâce à cette disposition, les petits peuvent encore lutter contre les grands, les indépendants contre les chaînes, et le lecteur s'y retrouver. Si vous avez un doute, promenez-vous dans ce qui reste des librairies en Angleterre où l'on pratique la liberté des prix, ou allez observer dans la belle librairie de Divonne-les-Bains, la seule de la ville, comment les lecteurs de Suisse romande, en général, et du canton de Vaud, en particulier, n'hésitent pas à prendre leur voiture pour faire provision de littérature. Ne reste plus aux libraires qu'à bien négocier le virage du livre numérique, des readers ou "liseurs" et de la vente en ligne.

              En attendant, ils ont le don d'écarter les murs chaque fois qu'ils reçoivent un écrivain dans leur librairie, pour mettre de plus en plus de chaises afin de recevoir de plus en plus de monde, avide de conseils et d'échanges avec les auteurs. Les théâtres s'y mettent à 18 heures, qui louent leurs salles pour des conférences littéraires et des débats d'idées, quand ce n'est pour des lectures-spectacles. En un temps où tout et tous se dévoilent sans pudeur aucune à la télévision, il y a là une recherche d'une intimité à laquelle les auteurs eux-mêmes sont de plus en plus sensibles.

              La prescription, justement, parlons-en. Car là, les choses ont vraiment changé. Il y a dix ou vingt ans, Bernard Pivot était le grand prescripteur national. A son âge d'or, ce qui ne passait pas par son plateau pâtissait d'une visibilité réduite et d'une existence éphémère. Nombre d'éditeurs et d'auteurs espéraient une invitation de Bernard Pivot à "Apostrophes" et redoutaient une exécution d'Angelo Rinaldi dans L'Express. Aujourd'hui, la prescription ne passe plus par le même canal car ce n'est plus à la télévision que ça se passe. Même si une apparition au "Grand journal" de Michel Denisot sur Canal+ ou un enthousiasme matutinal de Nicolas Demorand sur France Inter ont un effet certain, les forces de promotion d'un livre se sont diluées dans l'ensemble des médias.

              On ne sait jamais rien du sort d'un livre, Gaston Gallimard ne cessa de le répéter ; mais le bouche-à-oreille fait toujours l'essentiel. Il est entendu que ce phénomène prend désormais le nom de "buzz". L'Internet, chambre d'écho et caisse de résonance sans pareil, lui a donné une dimension simplement planétaire. La blogosphère francophone s'adresse à 200 millions de personnes lorsqu'elle s'empare d'un livre pour le plébisciter et le recommander, souvent en liaison avec une librairie en ligne ; le phénomène est encore balbutiant mais il est appelé à une rapide croissance, proportionnelle à celle du nombre de téléphones portables.

              La promotion, justement, parlons-en. L'écrivain est devenu le représentant de lui-même. Rien ne l'y oblige, sinon l'air du temps, le sens du devoir et la gratitude vis-à-vis de sa maison d'édition. Pas une ville digne de ce nom désormais qui n'ait son festival littéraire, son salon aux auteurs, sa foire du livre. Parfois, lorsque la nourriture de l'Hexagone menace sa ligne, il accepte une échappée vers des instituts culturels et des alliances françaises dans les coins les plus reculés du globe, avant de regagner Paris.

              Paris, justement, parlons-en. On n'en sort pas. Dans leur expédition en haute intelligentsia, publiée sous le titre Les Intellocrates il y a trente ans, Hervé Hamon et Patrick Rotman inspectaient le triangle des Bermudes de la vie littéraire française compris entre Saint-Germain-des-Prés, le Quartier latin et Montparnasse. Rien n'a changé malgré la réussite d'Actes Sud à Arles, de Verdier à Lagrasse, des Editions du Rouergue à Rodez, et de quelques autres plus modestes mais non moins exigeantes en toutes choses. Tout se décide à Paris exactement dans les mêmes cafés (Flore, Deux Magots, Sélect), les mêmes restaurants (La Méditerranée, Casa Bini, Marco Polo, Le Perron, Le Montalembert) où éditeurs, critiques et attachés de presse n'ont qu'à prêter l'oreille à la table voisine pour savoir ce qui se trame.

              Le paysage, parlons-en, justement. La toile de fond n'est plus la même. Il y a trente ans, un intellectuel s'adossait à la génération des prestigieux aînés (Aron, Lévi-Strauss, Barthes, Lacan, Foucault, Derrida, Bourdieu...), tandis qu'un jeune romancier sentait encore l'ombre tutélaire de Breton, d'Aragon, de Giono, de Morand, de Queneau ou de Jacques Laurent. Tous ces gens se connaissaient, soit qu'ils appartenaient aux mêmes groupes, soit qu'ils s'étaient affrontés entre bandes rivales. Ce monde-là est enfui et n'a pas eu d'héritiers. Ne reste plus que les polémiques pour égayer la vie littéraire.
              Pierre Assouline "

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              • Harrachi

                Libre à toi de lire que le Mont Sinai a été dressé sur les têtes des négateurs, au premier degré.
                Or, Nous n’en fîmes pas moins, ensuite, alliance avec vous, et Nous élevâmes le mont Sinaï au-dessus de vos têtes,
                s A A...


                Le Coran est le livre premier de l'Islam et il n'y a rien de plus profond pour un musulman. Le seul problème est que le superficiel, celui qui s'arrête au premier degré n'a absolument rien gagné en enseignements.

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                • Je laisse Garaudy t'expliquer pourquoi les littéralistes sont la maladie de L'Islam.
                  Tiens je ne résiste pas (obscurantisme oblige) à poster une fatwa ici au sujet de Garaudy... Elle est longue, argumentée, alors faites au moins l'effort de la lire avant de critiquer ( ceux à qui je m'adresse se reconnaitront).




                  Louange à Allah, Seigneur de l’univers, que les prières et la paix soient sur notre
                  prophète Mohammad , sa famille et ses compagnons.
                  Ensuite :
                  Depuis ces derniers temps, on entend beaucoup parler dans les magazines d’un
                  dénommé Roger Garaudy, un communiste français qui prétend avoir accepté l’Islam par
                  conviction et amour. Certains musulmans se sont réjouis de cela et l’ont accueilli
                  généreusement. Ils l’ont pris pour une personne fiable et l’ont fait membre du Conseil
                  Supérieur International des Mosquées de la Ligue Islamique Mondiale. Il participa ensuite à
                  des réunions et des rencontres qui étaient organisées dans le monde musulman au sujet de
                  l’Islam et donna des conférences et participa à divers débats. C’est par la suite qu’allait être
                  dévoilée la réalité à son sujet, ce que son coeur cachait de haine pour l’Islam et pour les
                  musulmans, à savoir qu’il était toujours resté sur son Koufr et sa déviation (Ilhaad). Il s’est
                  donc rallié à ses semblables parmi les hypocrites, ceux dont Allah dit : (Quand ils vous
                  rencontrent, ils disent : « Nous croyons »; et une fois seuls, de rage contre vous, ils se
                  mordent les bouts des doigts.) Aalou ‘Imraan : 119.
                  Dernièrement, dans une entrevue publiée par le magazine « Al-Majallah », no. 839, il
                  dit ne pas avoir embrassé l’Islam qui est pratiqué aujourd’hui par les musulmans, L’Islam
                  avec lequel Allah a suscité son prophète , mais plutôt un autre Islam, celui qu’il a lui-même
                  imaginé dans son esprit, un mélange de trois religions: le judaïsme, le christianisme et l’Islam.
                  Et il dit que ce (prétendu) Islam est la religion d’Abraham, car selon lui Abraham était le
                  premier musulman et c’est à son époque que l’Islam commença. Il a dit : « Abraham n’était
                  ni juif, ni chrétien, ni musulman au sens historique du terme (c’est-à-dire celui qui est suivi
                  2
                  par les musulmans aujourd’hui) », et il a menti en disant cela, car l’Islam, qui est de faire
                  d’Allah l’unique objet de son adoration (Tawhid) et d’abandonner l’adoration de tout autre
                  que Lui, existe depuis avant Abraham, à l’époque d’Adam, de Noé et des prophètes après lui.
                  C’est la religion de tous les messagers et c’est la religion avec laquelle Mohammad  a été
                  envoyé par Allah, comme Il l’a dit : (Puis Nous t'avons révélé: ‹Suis la religion
                  d'Abraham qui était voué exclusivement à Allah et n'était point du nombre des
                  Moushrikines›.) An-Nahl : 123. Et c’est la religion des musulmans qui ont suivi
                  Mohammad , et Allah dit : (Certes, la religion acceptée d'Allah, c'est l'Islam.) Aalou
                  ‘Imraan : 19. (Dis: ‹Voici ma voie, j'appelle les gens [à la religion] d'Allah, moi et ceux
                  qui me suivent, nous basant sur une preuve évidente. Gloire à Allah! Et je ne suis
                  point du nombre des Moushrikines.) Youssouf : 108.
                  Et la religion d’Abraham n’était pas un mélange de vérités et de mensonges, comme
                  le prétend cet égaré. Sa religion était le pur Tawhid (l’adoration pur d’Allah Seul) et le
                  désaveu du Shirk et de ceux qui le commettent. Le Très Haut dit : (Certes, vous avez eu un
                  bel exemple [à suivre] en Abraham et en ceux qui étaient avec lui, quand ils dirent à
                  leur peuple: ‹Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d'Allah.
                  Nous vous renions. Entre vous et nous, l'inimitié et la haine sont à jamais déclarées
                  jusqu'à ce que vous croyiez en Allah, seul›.) Al-Moumtanahah : 4. Et c’est la religion
                  avec laquelle Allah a suscité Mohammad . Toutefois cet égaré croit que le désaveu du
                  Koufr et du Shirk que suivent les Juifs, les chrétiens et les païens idolâtres est une religion
                  d’égarement, parce que pour lui l’Islam signifie, selon son imagination, l’union et le
                  rapprochement entre les musulmans et les non-musulmans. Il veut un Islam qui unit les
                  contradictions et les opposés et déclare mécréants les musulmans qui s’opposent à lui en
                  cela.
                  Il croit également que la Sounnah du messager  ainsi que le Fiqh (les règles du droit
                  Islamique) tiré du Qor’an et de la Sounnah ne sont plus valables pour notre temps, parce
                  qu’ils étaient seulement destinés à une époque particulière. C’est pourquoi, selon lui, nous
                  devons inventer un nouveau Fiqh et fabriquer une nouvelle religion, en abandonnant la
                  religion du messager , car cette dernière n’est plus applicable à notre époque. Or tout cela
                  n’est rien d’autre qu’un rejet de la foi concernant le message du prophète, qui est général,
                  valable pour tous les temps et pour tous les lieux, pour chaque génération, et pour
                  l’humanité tout entière, jusqu’à l’heure du Jugement. Et c’est également un rejet de la foi
                  concernant la finalité du message transmis par le dernier prophète, Mohammad . et
                  concernant le fait que son message est valable pour tous les lieux et toutes les époques. C’est
                  donc une forme de Koufr claire et une parole très laide, en totale contradiction avec ce
                  qu’Allah a dit : (Dis: ‹Ô hommes! Je suis pour vous tous le Messager d'Allah) Al-
                  A’raaf : 158. Et Il dit : (Et Nous ne t'avons envoyé qu'en tant qu'annonciateur et
                  avertisseur pour toute l'humanité.) Saba’ : 28. Et Il dit : (Et Nous ne t'avons envoyé
                  qu'en miséricorde pour l'univers.) Al-Anbiya : 107. Et Il dit : (Qu'on exalte la
                  Bénédiction de Celui qui a fait descendre le Livre de Discernement sur Son serviteur,
                  afin qu'il soit un avertisseur pour les mondes.) Al-Fourqaan : 1.
                  3
                  Et le prophète  a dit : « Les prophètes étaient envoyés pour leur peuple en
                  particulier et j’ai été envoyé à l’humanité toute entière» Rapporté par Al-Boukhari et
                  Mouslim.
                  Et il a dit  : « Par celui qui tient mon âme dans sa main! Personne de cette
                  Oummah, qu’il soit juif ou chrétien, n’entend parler de moi, puis ne meurt sans avoir
                  cru au message avec lequel j’ai été envoyé, excepté qu’il sera parmi les gens du feu. »
                  Rapporté par Mouslim. Et les versets et les Hadiths à ce sujet sont nombreux.
                  Et les savants (parmi les compagnons et ceux qui les ont suivis après eux) sont tous
                  d’accord sur le sujet, et ils ont établi un consensus définitif sur le fait que Mohammad Ibnou
                  ‘Abdullah Ibn ‘Abdoul-Mouttalib  est le messager d’Allah envoyé à tous les hommes et à
                  tous les Jinns, et il est le dernier des prophètes et nul prophète après lui.
                  Ensuite cet athée passe au deuxième des cinq piliers de l’Islam, les cinq prières
                  établies par le Qor’an et par la Sounnah, une chose connue de la religion par nécessité. Il
                  croit qu’il n’y a que trois prières le jour et la nuit, et non cinq, et prétend que c’est ce que le
                  Qor’an dit. Cette parole fausse est en fait un acte de Koufr clair qui est le résultat de sa
                  mécréance en la Sounnah, laquelle explique et clarifie les ordres qui sont venus dans le
                  Qor’an, et dont fait partie la prière. La Sounnah authentique transmise par une quantité très
                  grande prouve que les prières obligatoires sont au nombre de cinq durant le jour et la nuit, et
                  les musulmans sont tous d’accord là-dessus.
                  Puis cet égaré a clarifié la prière dont il parle en disant qu’elle ne contient pas les
                  mouvements qui consistent à se tenir debout, à réciter le Qor’an, puis à se prosterner, mais
                  que c’est plutôt une méditation profonde sur l’être divin. Et il médite ainsi le jour et la nuit,
                  24h par jour ! Cette prière est en réalité celle des athées ésotériques (Al-Baatiniyyoun) et non
                  celle des prophètes et de leurs fidèles. Cette parole est une forme de Koufr claire et une
                  forme d’apostasie de l’Islam selon tous les savants.
                  Il passe ensuite au 4ième pilier de l’Islam, qui est le jeûne. Il dit : Ce n’est pas de
                  s’abstenir de nourriture et de boisson, car les significations et les buts seuls sont importants.
                  Puis il permet aux gens habitant les régions polaires de ne pas jeûner, car ce pilier ne peut
                  pas être appliqué à leurs régions, étant donné qu’ils ne savent pas à quel moment le soleil se
                  lève et se couche. Or cela est une négation de ce qu’Allah et son messager ont ordonné et du
                  consensus des musulmans sur le fait que le jeûne est l’abstention de nourriture et de boisson
                  et de tout ce qui annule le jeûne. Allah dit : (mangez et buvez jusqu'à ce que se
                  distingue, pour vous, le fil blanc de l'aube du fil noir de la nuit. Puis accomplissez le
                  jeûne jusqu'à la nuit.) Al-Baqarah : 187. Et le prophète  a dit : « Quand Bilal fait
                  l’appel de la nuit, alors manger et buvez, jusqu’à ce que Ibn Oumm Maktoum fasse
                  l’appel. » Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim. Donc, parmi les plus grandes causes
                  d’annulation du jeûne, il y a le fait de manger et de boire. Quant au fait de se limiter à la
                  signification et au but du jeûne, ce n’est pas une conception du jeûne qui est en accord avec
                  la Shari’ah. C’est le jeûne des gens de la secte des Batiniyyahs (ésotériques), de ceux qui
                  disent : « le jeûne signifie garder les secrets », et il s’agit là d’une déformation de la religion
                  d’Allah. De plus, aucun habitant d’aucune des régions de la terre n’est excusé du jeûne, car
                  4
                  les règles de la Shari’ah sont générales pour tous les hommes, où qu’ils soient, mais le
                  musulman ne jeûne que selon sa capacité. Et la façon dont les habitants des régions polaires
                  jeûnent a été discutée par les savants musulmans, tant aujourd’hui que dans le passé, et ils
                  ont établi leur opinion à ce sujet selon ce qui leur est apparu des preuves du Qor’an et de la
                  Sounnah.

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                  • -comment est ce possible que des créatures(croyants) peuvent défendre dieu contre d'autres créatures(AT et autre)?

                    Peut-tu m'indiquer ou est-ce qu'il est question de défendre Dieu ici, alors qu'on discutait de la nature nominale de l'expression ''ennemi de Dieu''?
                    Si tu parles du concept de la guerre en Islam, alors là c'est un tout autre sujet...

                    -dieu n'est pas capable de se défendre tout seul?

                    Je ne vois pas le lien avec l'énoncé que tu essayes de réfuter et cette absurdité...

                    est ce que dieu est la propriété ou un proche parent des croyants mais pas des AT?

                    ---------------------

                    bref dieu n'est pas l'exclusivité des croyants, donc chacun pense, dit ce qu'il veut de son dieu, entre autre ne pas croire en lui, puisque c'est le dieu de tous à égalité....

                    Je ne comprends toujours pas le processus qui t'a permis d'affirmer une telle chose, surtout que l'énoncé du départ n'a rien à voir avec la réponse que tu te proposes d'avancer...

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                    • Puis cet athée traite les savants de l’Islam d’ignorants en disant : « J’ai travaillé avec
                      eux lorsque j’étais membre du Conseil Supérieur International des Mosquées et j’ai découvert
                      qu’ils étaient des gens ignorants. Et je dirais même que ce sont les gens les plus ignorants qui
                      soient. Ils ne font que répéter les Hadiths prophétiques et les opinions des savants du Fiqh
                      du Moyen Âge qu’ils ont appris par coeur. Je ne crois pas que je sois prêt à coopérer avec eux
                      en aucun cas, sur aucun sujet, à cause des mauvaises impressions qu’ils ont laissées sur mon
                      esprit.» Voilà ses sentiments envers les savants de l’Islam parmi les nombreux savants qui
                      ont été trompés par lui, qui ont eu de bonnes pensées à son sujet, qui l’ont honoré et qui
                      l’ont fait participer à leurs colloques et à leurs conférences. Et c’est une exhortation aux
                      savants à ne pas se précipiter quant à la confiance qu’ils donnent à ceux qui se montrent
                      appartenant à l’Islam, jusqu’à ce que l’on soit certain de leur cas, en particulier concernant
                      ceux qui, comme Garaudy, sont connus pour leur athéisme, leurs hérésies et leur
                      communisme avant leur prétention d’être dans l’Islam.
                      Et parmi les exemples de Koufr clairs de Garaudy, il y a ses appels à faire cesser
                      l’application de la peine pour le vol et à modifier le partage de l’héritage. En effet, il croit que
                      de couper la main du voleur ne soit plus convenable aujourd’hui, ce qui est une mise en
                      accusation de l’Islam, qui ne serait pas valable pour tous les temps et pour toutes les
                      époques. C’est également accuser Allah d’ignorance, car Il ne connaîtrait pas ce qui va se
                      produire dans l’avenir et ce qui conviendrait comme châtiment. Or Allah a ordonné de
                      couper la main du voleur et de la voleuse en punition de ce qu’ils ont acquis, et Il a terminé
                      le verset en disant : (Et Allah est le Tout-puissant, Le Sage.) Al-Maa-idah : 38. Allah a
                      déterminé pour chaque péché une punition qui convient et qui empêche la récidive à toute
                      époque et en tout lieu.
                      Puis il dit : « Si j’étais juge et qu’un frère et une soeur se présentaient à moi dans un
                      cas d’héritage, je donnerais à la fille le double de ce qui est donné à l’homme.» Et cela est en
                      contradiction avec la parole d’Allah en ce qui concerne les frères et les soeurs dans Sourah
                      An-Nisaa : (et s'il a des frères et des soeurs, à un frère alors revient une portion égale à
                      celle de deux soeurs.) An-Nisaa : 176. Et Il dit au début de cette Sourah : (Voici ce
                      qu'Allah vous enjoint au sujet de vos enfants: au fils, une part équivalente à celle de
                      deux filles.) An-Nisaa : 11. C’est donc un affront à Allah dans son jugement et cela est
                      suffisant comme Koufr et comme Ilhaad.
                      Ensuite il appelle les savants de l’Islam à faire avec la loi d’Allah ce que les chrétiens
                      ont fait avec le pape et à se révolter comme ils se sont révoltés contre l’Église. Il compare
                      donc la religion de vérité qu’est l’Islam avec la religion des papes et des gens d’Église qui ont
                      changé la loi d’Allah.
                      5
                      Pour finir, on ne peut déclarer (Roger Garaudy) apostat de la religion de
                      l’Islam, contrairement à ce que plusieurs ont cru. Il n’est en réalité qu’un mécréant
                      ordinaire qui n’est jamais entré dans l’Islam. Comme il le dit lui-même : « Je me suis
                      arrêté à l’islam sans renoncer à mes convictions personnelles et à mes idéologies. »
                      La religion de l’Islam ne se mélange pas avec les convictions des athées ni avec le
                      judaïsme et le christianisme, car ce sont deux religions déviées et abrogées par l’Islam, la
                      religion qu’Allah a révélée par son prophète , et auquel il a ordonné de dire : (Dis: ‹Ô
                      hommes! Je suis pour vous tous le Messager d'Allah, à Qui appartient la royauté des
                      cieux et de la terre. Pas de divinité à part Lui. Il donne la vie et Il donne la mort.
                      Croyez donc en Allah, en Son messager, le Prophète illettré qui croit en Allah et en
                      Ses paroles. Et suivez-le, afin que vous soyez bien guidés›.) Al-A’raaf : 158. Et le
                      prophète  a dit : « Par celui qui tient mon âme dans sa main! Personne de cette
                      Oummah, qu’il soit juif ou chrétien, n’entend parler de moi, puis ne meurt sans avoir
                      cru au message avec lequel j’ai été envoyé, excepté qu’il sera parmi les gens du feu. »
                      Rapporté par Mouslim. Et dans le Hadith de Jabir Ibnou ‘Abdillah, rapporté par Al-Boukhari
                      et Mouslim, le prophète  a dit : « J’ai reçu cinq choses que nul autre prophète n’avait
                      reçues avant moi : 1- Me fut donnée la victoire par la crainte (qui est mise dans le
                      coeur de mes ennemis) d’une distance d’un mois. 2- La terre entière fut établie pour
                      moi comme lieu d’adoration et comme source de purification. 3- Les butins me
                      furent permis et cela fut interdit aux prophètes avant moi. 4- J’ai reçu l’intercession..
                      5- Et les prophètes avant moi étaient envoyés à leur peuple en particulier, alors que je
                      fus envoyé pour toute l’humanité. »
                      Par ce Hadith, nous pouvons comprendre qu’il n’est permis à personne de cette
                      Oummah de suivre un autre prophète que le prophète Mohammad , qu’Allah n’acceptera
                      aucune autre religion provenant de quiconque après la venue du prophète , que sa religion
                      est l’Islam et qu’elle est valable pour tous les temps, jusqu’au Jour dernier. Allah dit :
                      (Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon
                      bienfait. Et J'agrée l'Islam comme religion pour vous.) Al-Maa-idah : 3. Allah dit :
                      (Certes, la religion acceptée d'Allah, c'est l'Islam.) Aalou ‘Imraan : 19. Et Il dit : (Et
                      quiconque désire une religion autre que l'Islam, ne sera point agrée, et il sera, dans
                      l'au-delà, parmi les perdants.) Aalou ‘Imraan : 85. Et Il dit : (Et lorsqu'Allah prit cet
                      engagement des prophètes: ‹Chaque fois que Je vous accorderai un Livre et de la
                      Sagesse, et qu'ensuite un messager vous viendra confirmer ce qui est avec vous, vous
                      devez croire en lui, et vous devrez lui porter secours.› Il leur dit: ‹Consentez-vous et
                      acceptez-vous Mon pacte à cette condition?› - ‹Nous consentons›, dirent-ils. ‹Soyezen
                      donc témoins, dit Allah. Et Me voici, avec vous, parmi les témoins.) Aalou
                      ‘Imraan : 81.
                      Traduit par Abou Hammaad Sulaiman Al-Hayiti.
                      Montréal, Québec, Jeudi le 12 Juin 2008.
                      Fatwa du Cheikh Ben Baz (rahimahoullah).

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                      • Dandy

                        les athées sont nos amis, il faut les aimer aussi, connaissez-vous le nom, de nos charmants compagnons, laissez-moi vous présenter, nos bébêtes préférées".

                        C'est bien ça Rica ?
                        les bébé-bête sont en effet effrayés par les bébêtes, une totos (oups pardon une tétine), un doudou et les voilà rassuré, se sentant en sécurité auprès de papadieu qui les protège contre les méchants At (oups Athée

                        il s'avère que Rica aurait reçu un fichier Excel et non un Fax et un SMS comme précédemment rapporté. Désolé pour l'erreur.
                        bofff, ne soit pas désolé, on va pas t'en vouloir de t'arrêter sur la forme, toi même t'a tout misé sur elle, au point où la porte chez toi s'ouvre toujours sur le même grand trou qui n'a toujours pas servi aux fondations

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                        • C’est par la suite qu’allait être
                          dévoilée la réalité à son sujet, ce que son coeur cachait de haine pour l’Islam et pour les
                          musulmans, à savoir qu’il ( Garaudy) était toujours resté sur son Koufr et sa déviation
                          hahaha Et on viendra me dire qu'il ne s'agit pas de politique.

                          Un penseur musulman intéressant qui ose dire ce qu'il pense des littéralistes et hop, une fatwa et il devient un renégat déviant !

                          Ils se prennent vraiment pour Allah Lui-même, ces littéralistes, voilà le danger !

                          HB, ou tout autre athée, c'est vraiment un ange à côté

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                          • C'est quand même déplorable qu'un simple concept, une simple idée de l'esprit humain dans ses premiers balbutiements, le concept naïf de "Dieu" et le détournement archaïque de celui-ci par un homme du 6ème ait pu faire autant de dégâts dans la raison et l'esprit d'individu instruits du 21ème siecle.




                            Bachi, voilà que la personne que tu défends insulte en clair et en direct ton Dieu et ton Prophète sallallahu aalayhi wa salem... Prends en les conclusions qui devraient êtres prises...

                            Commentaire


                            • Charaf
                              HB n'insulte pas. Il dit ce qu'il pense et il a le droit de le dire.



                              STP, peux-tu me donner la sourece. C'est intéressant ce que dit Garaudy
                              qu’ils étaient des gens ignorants. Et je dirais même que ce sont les gens les plus ignorants qui
                              soient. Ils ne font que répéter les Hadiths prophétiques et les opinions des savants du Fiqh
                              du Moyen Âge qu’ils ont appris par coeur
                              En gros, c'est ce que je dis aussi sans être aussi documenté que Garaudy. C'est tellement simple à constater.

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                              • @charaf

                                Bachi, voilà que la personne que tu défends insulte en clair et en direct ton Dieu et ton Prophète sallallahu aalayhi wa salem... Prends en les conclusions qui devraient êtres prises...
                                Pour Bachi ça c'est rien, surtout que ça vient d'un athée. Parcontre ton texte est une insulte pour lui.

                                Wellah 3jab.

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